Christian Hofer: Dès le titre, la RTS formate le téléspectateur: Pour quelle raison les Suisses devraient-ils faire des concessions alors qu'ils sont dans leur pays? Visiblement pour cette télévision, nous devions obligatoirement nous remettre en question. Deuxièmement, pour la RTS, l'islam ne fait débat que depuis cette poignée de main. Comme si aucune tentative d'attentat dans notre pays n'avait jamais eu lieu, comme si Blancho n'avait pas déjà fait pression à de nombreuses reprises, comme si les provocations à l'encontre de notre pays n'avaient jamais existé. Cela semble être la stratégie de la RTS: Minimiser, occulter les faits et prétendre que nous devons modifier notre comportement parce que certaines ethnies s'imposent dans notre pays. Bien entendu, la RTS oublie de spécifier que la présence de la moitié des musulmans en Suisse découle d'une immigration voulue par la gauche sous l'excuse de la tradition humanitaire. Il ne faudrait surtout pas évoquer les responsables de la situation.
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Deux jeunes qui refusent de serrer la main de leur enseignante au nom de l'islam : depuis que l'affaire a éclaté, les pratiques de l'islam dans notre pays font débat.
Après le port du voile et les dispenses de piscine à l'école, ne pas serrer la main des femmes dans l'espace public est-ce acceptable en Suisse ? Que révèle cet évènement sur la cohabitation entre islam et société suisse ? L'ouverture prochaine d'un musée des civilisations de l'islam à la Chaux-de-Fonds peut-elle faciliter l'intégration ? Quelle place est-on prêt à accorder aux 400'000 musulmans de Suisse ?
Le titre de l’émission montre que les journalistes sont à côté de la plaque. Une démocratie n’a aucune concession à faire à quelque secte que ce soit. Elle doit au contraire édicter un certain nombre de lois qui empêcheront les délires sectaires de polluer l’espace public. C’est ainsi que l’on défend la laïcité, un combat vital dans le cas des adorateurs du chamelier.
Non, mais je rêve, c’est à nous de faire des concessions maintenant ? J’ai voulu regarder l’émission “Infrarouge”, mais j’ai vite changé de chaîne. C’était insupportable. Pourquoi donner tant d’intérêt à l’islam. Ceux qui ne se plaisent pas chez nous et qui veulent imposer leurs lois et ne pas respecter les nôtres, qu’ils retournent dans un pays musulman. On commence lentement à tout laisser faire et la suite elle sera comment ????
Pauvre peuple Suisse qui ne comprend toujours rien, l`islam n`est pas une religion de paix et d`amour, mais une bombe à retardement, le but est de s`emparer du monde et aucune intégration est possible. La solution est les renvoyer dans leurs pays, pas de compromis, nous sommes chez nous.
Gaston Siebesiech@
“Nos chers amis immigrés, doivent signer un papier (pour ceux qui entre sous contrôle) comme quoi ils reconnaissent comme seules lois, celles de la Suisse, point barre. Si non, retour à la case de départ, pas d’entrée chez nous et sans avocats, Cesla et Marra.”
Saviez-vous que l’UDC avait lancé une proposition similaire sur un forum qu’elle avait en ligne?
Cette émission montre deux mondes qui n’arrivent pas à s’entendre. C’était très révélateur du comportement des musulmans qui conçoivent une société qui ne correspond pas à nos valeurs. Les musulmans ne font effectivement aucun effort de dialogue et de compréhension envers notre mode de vie. (Même la présentatrice, Mme Mamarbachi a perdu patience devant des réponses lors de l’émission qui nous sont incompréhensible). Les valeurs des musulmans sont opposés aux nôtres. Effectivement, ne pas serrer la main d’une femme pour les musulmans est un signe de respect. Ne pas serrer la main à une femme dans nos sociétés est une insulte. La prière à heure fixe même sur le lieu de travail est une obligation pour les musulmans. La prière dans nos sociétés est du domaine du privé. etc… Avec cette mentalité, l’intégration dans une société autre que islamique n’est pas possible et les musulmans continueront à avoir des problèmes dans le monde entier.
Nos chers amis immigrés, doivent signer un papier (pour ceux qui entre sous contrôle) comme quoi ils reconnaissent comme seules lois, celles de la Suisse, point barre. Si non, retour à la case de départ, pas d’entrée chez nous et sans avocats, Cesla et Marra.
A quand une émission infrarouge intitulée : Devons-nous expulser les envahisseurs et interdire l’Islam dans notre pays ?
Il faut absolument faire une initiative visant à réformer la SSR et virer tous ces journaleux internationalistes pour les remplacer par de vrais journalistes neutres et pratiquant l’information factuelle.
L’islam n’étant ni une race ni une religion mais une législation étrangère, on peut l’interdire en Suisse. On considère aussi que l’islam est une idéologie, comme par exemple le nazisme. Le nazisme est interdit en Suisse, donc l’islam peut aussi être interdit en Suisse.
Émission insupportable : éteint la télé après les 10 premières minutes. La langue de bois du porte parole de la mosquée de Lausanne, voulait tout dire. Quel plaisir de voir Esther Mamarbachi perdre patience face à ce Pinocchio. Serait-elle en train de changer de bord?
Cour européenne des droits de l’homme : incompatibilité de l’islam avec nos lois
L’islam est incompatible avec les droits de l’homme, la démocratie et l’égalité homme-Femme.
Cour européenne des droits de l’homme : arrêt du 31 juillet 2001
La Cour européenne des droits de l’Homme a proclamé l’incompatibilité entrela charia et les droits de l’homme, tels que mentionnés dans la Déclaration universelle des droits de l’homme édictée par l’ONU en 1948.
Par un arrêt du 31 juillet 2001, la Cour statuant sur la validité de l’interdiction par la Cour constitutionnelle turque d’un parti islamique, le Refah Partisi (Parti de la Prospérité), exaltant des valeurs conformes à la charia, a entériné la dissolution.
La Cour a jugé que ces valeurs étaient en contradiction avec celles prônées par la Convention européenne des droits de l’homme de 1950 : « La Cour estime que dans la présente affaire, les sanctions infligées aux requérants peuvent raisonnablement être considérées comme répondant à un « besoin social impérieux » pour la protection de la société démocratique, dans la mesure où les responsables du Refah Partisi, sous le prétexte qu’ils donnaient au principe de laïcité un contenu différent, avaient déclaré avoir l’intention d’établir un système multi-juridique fondé sur la discrimination selon les croyances, d’instaurer la loi islamique (la Charia) qui se démarque nettement des valeurs de la Convention et avaient laissé planer un doute sur leur position quant au recours à la force afin d’accéder au pouvoir et, notamment, d’y rester » (www. echr.coe.int)
Arrêt confirmé par la Grande chambre de la Cour européenne des droits de l’homme : 13 février 2003
Extraits : • La Cour rappelle que la liberté de pensée, de conscience et de religion représente l’une des assises d’une « société démocratique » au sens de la Convention. Cette liberté figure, dans sa dimension religieuse, parmi les éléments les plus essentiels de l’identité des croyants et de leur conception de la vie, mais elle est aussi un bien précieux pour les athées, les agnostiques, les sceptiques ou les indifférents.
• Il y va du pluralisme – chèrement conquis au cours des siècles – qui ne saurait être dissocié de pareille société. Cetteliberté implique, notamment, celle d’adhérer ou non à une religion et celle de la pratiquer ou de ne pas la pratiquer.
• Par ailleurs, dans une société démocratique, où plusieurs religions coexistent au sein d’une même population, il peut se révéler nécessaire d’assortir la liberté en question de limitations propres à concilier les intérêts des divers groupes et à assurer le respect des convictions de chacun
• Selon la Cour, dans une société démocratique, l’Etat peut limiter la liberté demanifester une religion, par exemple le port du foulard islamique, si l’usage de cette liberté nuit à l’objectif visé de protection des droits et libertés d’autrui, de l’ordre et de la sécurité publique
• Nul ne doit être autorisé à se prévaloir des dispositions de la Convention pour affaiblir ou détruire les idéaux et valeurs d’une société démocratique.
• la Cour partage l’analyse effectuée par la chambre quant à l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie.
• A l’instar de la Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictés par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.
• Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.