Hongrie, Budapest – En réaction au programme de l’Union européenne face à la crise des migrants, le premier ministre hongrois Viktor Orbán a proposé son propre plan d’action, « Schengen 2.0 », qu’il a présenté le 15 avril lors d’une réunion de l’International démocrate centriste (IDC) à Lisbonne.
Le premier ministre a déclaré « qu’ il est inacceptable – comme ce serait le cas avec la proposition de la Commission – que quelqu’un à Bruxelles décide que les pays européens doivent résoudre leurs problèmes démographiques et économiques grâce à l’immigration ». Il a ajouté que « peut-être que certains pays dans l’UE souhaitent résoudre leurs problèmes de cette manière, mais d’autres non », en précisent que la Hongrie préférait résoudre ses problèmes grâce à des politiques économiques et familiales prudentes. « En d’autres termes, l’UE ne peut pas créer un système dans lequel elle laisse entrer les migrants et imposer ensuite des quotas obligatoires de réinstallation pour chaque État membre ». Viktor Orbán a expliqué que c’était pour cela qu’un referendum sur le système de quotas de la Commission européenne était important, car « maintenant, nous avons la proposition de Bruxelles sur la table, et la pression est énorme. […] Si nous n’arrêtons pas Bruxelles avec un référendum, ils nous imposeront […] des masses de population, avec qui nous ne souhaitons pas cohabiter ».
Ce plan Schengen 2.0 sera présenté aux autres pays du V4 et à d’autres pays de l’Union européenne durant les semaines à venir, le prochain étant l’Allemagne.
Extrait de: Source et auteur
Victor Orban a parfaitement raison. Il est inacceptable de voir l’UE imposer des quotas de migrants, car chaque pays a des besoins différents, une culture d’accueil et des finances différentes. Les accords de Dublin ne jouent plus leur rôle premier à savoir l’accueil des migrants en difficultés ou en danger, car nous sommes envahis de non entrées en matière, (illégaux) sans compter l’asservissement dont nous devons faire preuve face à cette nouvelle population. Pour les accords de Schengen, bien qu’ils n’existent plus, il est urgent de fermer des frontières extérieures. Maintenant, la question est de savoir si Viktor Orban va être entendu?
Plein de bon sens et tout à fait d’accord avec M. Orban. Si tous ces états et la Suisse donnaient les moyens financiers aux familles autochtones d’avoir des enfants, nous en aurions plus sans souci, mais avec nos dirigeants il semble toujours que nous soyons très riches pour les autres alors que pour nous les caisses sont vides. Mais il faut rester réaliste, cette immigration a un autre but que de résoudre le problème démographique et ces propositions pleines de bon sens ne seront acceptées que si les peuples d’europe se soulèvent… et encore…. tant que ces bureaucrates de Bruxelles décideront je pense que tout sera voué à l’échec.