Les migrants acceptent la nourriture et l’aide des volontaires, mais les traitent de « sales kouffars » aussitôt après, ou se plaignent de devoir se doucher s’ils leur ont serré la main.
Un travailleur humanitaire européen, mais qui comprend l’arabe et est souvent pris pour un musulman, met en garde.
« Je ne dis pas qu’il ne faut pas les accueillir, mais il faut être ferme. On les laisse construire des mosquées, pratiquer leur religion, et après ? Ils refusent de vivre selon nos règles. On ne sait pas ce qui se passe dans les mosquées. »
Article en anglais : express.co.uk
Bonjour à tous et toute, quant a moi j’habite à peine une heure de la base terroriste au cœur de l’Europe; j’ai nommé Bruxelles et ses quartiers salafistes, mais chut on peut pas le dire et les nommer !
Encore que je les ennuie très très très profondément !(un patriote donc un raciste en langage bobo )
Tommy: tout à fait d’accord avec vous, mais vous n’avez pas besoin d’aller dans l’ouest lausannois, il suffit de prendre le M2 entre la place de la Riponne et La Sallaz. Ici vous rencontrerez des femmes avec foulard, mais surtout des Erythréens qui crient dans leurs smartphones dernière génération.
Amitiés de Marseille …. Vous ne savez pas ce que la Canebière est devenue … Au secours!
Mords la main que tu ne peux couper. Ce n’est un scoop pour personne. J’ai été sidéré par l’interview de migrants soi-disant mineurs hébergés à Genève. Il faut être irrémédiablement taré ou socialiste pour tolérer la seule vue de cette engeance.
A C. Donal @
Merci de m’avoir ” regonflé” moralement.
Je vais ranger ma corde à la cave, promis!
Mais il est vrai que j’ai de plus en plus le sentiment d’être un étranger dans mon pays, surnuméraire, intrus, gênant, inutile, toléré tant qu’il s’efface devant ces envahisseurs qui se sentent maintenant comme à la maison.
J’avais 20 ans en 1975 et je me dis souvent que les trente glorieuses, à savoir les années 1945 à 1975 , restent une période d’insouciance lors desquelles on se disait ” demain, ça ira mieux” .
Maintenant, je me sens comme une plante hors-sol, et je pense qu’avoir 20 actuellement, ….
Ah le bougre, il a osé dire du mal de ces migrants… Promis, juré, on va bâillonner ce traître à la bonne cause par un licenciement rapide afin de le faire taire !
Non, il faut non seulement être ferme, mais il faut encore les renvoyer chez eux. Une coexistence paisible avec cette racaille est strictement impossible. Le conflit sera constant et tôt ou tard débouchera sur une formidable violence, i.e., un bain de sang comme on en aura pas vu en Europe depuis la dernière guerre mondiale.
Non Tommy, pas vous.
J’ai passé la journée d’aujourd’hui dans mon ancienne commune de l’ouest lausannois , que j’ai quittée en 1993.
Quelle baffe! Les commerces d’antan remplacés par des kebabs, alimentation africaine.
Les gens dans le bus, musulmanes voilées, hurlant dans leur smartphone sans discontinuer, familles nombreuses et bronzées, ” jeunes” désœuvrés, francophones quasi inexistants. Les seuls parlant notre langue, âgés de 60 ans et plus, déserteront la planète, puis seront remplacés par les nouvelles chances pour la Suisse.
Parfois, et c’est triste à dire, on se réjouit de mourir.
Ben oui Bilou, de quel droit nous forcer de les accueillir ?
Ben… moi je dis qu’il ne faut pas les accueillir ! Ceux qui se préoccupent de l’avenir en Europe ont bien compris qu’une forte proportion de migrants débarquent avec un plan et des idéaux bien précis ( qui ne sont pas en faveur d’un désir d’intégration et de respect envers ceux qui vont les entretenir ad eternam). Ce que n’a pas, ou ne veut pas piger les porteurs de pancartes “Welcome” et certains gouvernements européens, Suisse en tête.