Un Panama Papers peut en cacher un autre

Michel Garroté
Politologue, blogueur

Panama-Papers-4

   
Où est le vrai et ou est le faux ? Les 11,5 millions de documents Panama Papers représentent, si l’on ramène un document à une page, une hauteur de 1'150 mètres. À la suite d’une fuite, dont aurait bénéficié la 'Süddeutsche Zeitung', 107 rédactions, dont, en France, celle du 'Monde', réparties dans 76 pays et coordonnées par le 'Consortium international des journalistes d’investigation', auraient étudié 11,4 millions de do­cuments, pesant 2,6 téraoctets, soit 2'600 milliards d’octets. Voilà.
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Alors, où est le vrai et ou est le faux ? Sur Boulevard Voltaire, Ronald Zonca écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Les 11,5 millions de documents représentent, si l’on ramène un document à une page, une hauteur de 1.150 mètres. Il est donc impossible de traiter un tel volume avec de simples humains, fussent-ils des super journalistes. Le travail a dû donc être fait par d’autres personnes parfaitement équipées. Devant une telle masse de données, des moyens informatiques très puissants sont nécessaires et l’on se demande en premier lieu qui a bien pu les fournir.
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Ronald Zonca : À partir de chaque nom de société offshore, il faut d’abord déterminer tous les acteurs physiques. Cela suppose déjà une base de données très bien renseignée et ce, avec des moyens qui dépassent la simple demande d’information auprès des autorités. Quitte à faire des investigations, ces journalistes pourraient-ils, par exemple, nous révéler le commanditaire de cette révélation, les vraies raisons pour lesquelles ces personnes sont citées, qui a effectué le travail de corrélation et qui détient les bases de données, comment celles-ci sont alimentées, conclut Ronald Zonca (fin des extraits adaptés ; lien vers source en bas de page).
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Alors, où est le vrai et ou est le faux ? Le chroniqueur Guillaume de Thieulloy écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Tous les médias bruissent, ces jours-ci, de l’affaire dite des « Panama pa­pers », se félicitant d’une admirable opération con­jointe d’investigation. Il faut reconnaître que l’opération est impressionnante. À la suite d’une fuite, dont a bénéficié le « Süddeutsche Zeitung » l’année dernière, 107 rédactions (dont, en France, celle du « Monde »), réparties dans 76 pays et coordonnées par le Consortium international des journalistes d’investigation, ont étudié, des mois durant, 11,4 millions de do­cuments, « pesant » ensemble quel­que 2,6 téraoctets (c’est-à-dire 2 600 milliards d’octets).
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Guillaume de Thieulloy : Ces documents concernent les 214 488 structures offshores créées ou administrées par le cabinet Mos­sack Fonseca au Panama. Les résultats sont aussi « alléchants » que le laisse supposer cette impressionnante liste de chiffres. Environ 1 000 Français figurent dans la liste, aux côtés de « stars » ou de personnalités politiques (dont 6 chefs d’État encore en activité). Je dois avouer que voir clouer au pilori des « pourris » ne me désole pas vraiment. Montrer que l’oligarchie politique sait « préparer ses vieux jours » en détournant l’argent public est également une opération de salubrité publique. Je fais d’autant moins la fine bouche qu’une partie non négligeable de la finance mondiale est, purement et simplement, liée au crime organisé et que, surtout, la frontière entre l’argent sale et l’argent propre est devenue parfaitement poreuse.
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Guillaume de Thieulloy : Ceci implique qu’un certain nombre des sociétés en jeu dans ces « Pa­nama papers » pourraient conduire les enquêteurs (si enquête il y a…) à des opérations mafieuses y compris menées avec l’argent public, car les marchés publics sont devenus un moyen particulièrement efficace de « blanchir » de l’argent sale… tout en continuant à se « goinfrer » sur le dos des contribuables. Voir l’oligarchie mondiale menacée par une enquête d’une ampleur inédite n’est pas franchement pour me déplaire. Cependant, je ne peux me départir d’un sentiment de malaise. Tout d’abord, au nom de la déontologie journalistique, nous avons été avertis que nous n’aurions jamais accès à la base des données d’origine.
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Guillaume de Thieulloy : Certes, cette base est emplie de données brutes, compliquées à interpréter et il pourrait s’avérer désastreux de jeter en pâture des noms sans que l’on sache leur responsabilité dans la vie de ces sociétés offshore. Mais cette opacité permet aussi de déstabiliser des personnes ou des sociétés, sans que l’on puisse savoir ce qu’elles ont réellement fait. Pour ne prendre qu’un exemple, je constate que le nom de Michel Platini est donné par les médias, mais nous ignorons s’il a fraudé le fisc français et si d’autres dirigeants de la FIFA sont également mis en cause par cette liste. On peut donc tout imaginer, de la parfaite légalité du compte panaméen de M. Platini jusqu’à un vaste système de concussion, dont tous les dirigeants du foot mondial seraient complices.
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Guillaume de Thieulloy : De la même façon, nous découvrons le nom de l’inénarrable Cahuzac dans ce fichier. L’homme nous a accoutumés à le considérer comme étant volontiers en délicatesse avec le fisc quand bien même il aurait été, ces dernières années, l’une des plus hautes autorités fiscales du pays. Mais l’intéressé a déclaré avoir réglé ses problèmes avec le fisc. Son apparition dans les « Panama papers » remonte-t-elle à quelques années (auquel cas elle ne nous apprend rien, puisque nous savions déjà qu’il avait fraudé) ou prouve-t-elle qu’il a menti une fois de plus ? Nous n’en savons rien. En d’autres termes, cette investigation massive, aussi intéressante soit-elle, ne nous dit, en réalité, pas grand-chose.
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Guillaume de Thieulloy : Surtout, bon nombre de personnes sont traînées dans la boue, alors que certaines au moins ont sans doute respecté la loi de leurs pays : avoir un compte dans un paradis fiscal n’est pas, que je sache, un délit ! J’ajoute que nous ignorons tout sur l’origine de cette fuite. « Le Monde » explique lui-même qu’il n’en sait rien et qu’aucun autre membre du consortium des journalistes d’investigation n’en sait rien (sauf, probablement, le « Süddeutsche Zeitung »). Comment être sûr, dans ces conditions, qu’il ne s’agit pas d’une vaste opération de manipulation ? Enfin, n’oublions pas que la véritable raison de l’existence des paradis fiscaux réside dans l’existence d’enfers fiscaux, dont la France socialiste est, hélas, l’un des pires exemples. En un mot, je suis tout prêt à applaudir à cette magnifique opération d’investigation. Mais, avant de m’y risquer, j’aimerais beaucoup en savoir plus, conclut Guillaume de Thieulloy (fin des extraits adaptés ; lien vers source en bas de page).
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Alors, où est le vrai et ou est le faux ? Selon l'analyste Pauline Mille, les fuites organisées par le vol des fichiers du cabinet de Panama provoqueraient à juste titre un scandale médiatique mondial, mais leur vraie cible serait, selon elle, sans ambiguïté la Haute Finance, que la maçonnerie entendrait mettre au pas dans son projet de gouvernance globale : l’argent serait, toujours selon elle, le moyen du mondialisme, non son dirigeant, et les marchés n'en seraient pas les maîtres, juste les contremaîtres. Purée...
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Pauline Mille écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La divulgation des archives du cabinet Mossak Fonseca à Panama sur les montages off-shore provoque un scandale d’une plus grande ampleur que Wikileaks et l’affaire Snowden. Un pool mondial de cent journaux piloté par la maçonnerie a organisé les fuites. A travers une critique vertueuse des paradis fiscaux, la cible est la Haute Finance. L’opération de presse est magnifique et va durer plusieurs semaines. Le premier scandale de Panama, voilà un peu plus de cent vingt ans, n’a bouleversé que la France, le nouveau sera mondial. Onze millions cinq cent mille fichiers sont tombés dans les mains de quatre cents journalistes répartis entre cent sept rédactions dans soixante-seize pays de vingt sept langues.
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Pauline Mille : Ils concernent des montages off shore utilisés par le cabinet Mossak Fonseca, en lien avec plus de cinq cent banques, pour réduire les impôts d’innombrables particuliers et sociétés. Par tous les moyens même légaux. Parmi les « clients », on compterait, d’après les premières fuites publiées, un millier de Français, 128 dirigeants politiques et hauts fonctionnaires de niveau mondial, 12 chefs d’Etat et de gouvernement dont six en exercice (une source anglo-saxonne a parlé, elle, de 72, en poste ou retraités), plusieurs criminels recherchés par Interpol et 29 des plus 500 plus grandes fortunes mondiales répertoriées par le magazine Forges.
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Pauline Mille : Tout a été pensé pour faire saliver le public. Le père de l’un des deux fondateurs du cabinet volé, l’Allemand Jürgen Mossak, fut Waffen SS puis agent de la CIA. La liste complète, non pas des chéquards, mais des évadés fiscaux présumés coupables, ne sera publiée qu’en mai, mais déjà des fuites soigneusement ménagées révèlent quelques noms juteux. Le premier est une vedette mondiale dans le genre controversé, grand méchant pour les uns et sauveur pour les autres, Vladimir Poutine. Des « proches » auraient tripatouillé des affaires off-shore pour un montant total de deux milliards de dollars.
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Pauline Mille : Mais il y a aussi le roi d’Arabie saoudite, le président milliardaire ukrainien Porochenko, la fille du Chinois Li Peng, le père de David Cameron, Ian, et, en France, nos amis Cahuzac, Balkany, Patrick Drahi – pas de quoi surprendre la plus blanche des oies du Capitole, mais du monde qui fait causer sur le zinc. Plus surprenant est la présence sur la liste du premier ministre islandais Gunnlaugsson et de son épouse : on sait que l’Islande a fait un bras d’honneur aux système bancaire international et aux pressions mondialistes auxquelles elle se trouvait soumise lorsqu’elle s’est reconstruite toute seule après la banqueroute de 2008. Serait-ce une punition ? Hors politique, on note Michel Platini, Lionel Messi, et, toujours pour les amateurs de foot, des pontes de l’UEFA et de la FIFA. Ca va jaser chez les fans de Kro.
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Pauline Mille : Maintenant, quelle est la cible de ce déballage de fuites ? Il faut se demander d’abord quel en est l’heureux réceptacle. Les « Panama papers », comme on les appelle, dérobés au cabinet Mossak Fonseca, sont actuellement « traités » par le Consortium international des journalistes d’investigation (acronyme anglais : ICIJ), un pool mondial des journaux dits de référence (et non dits de gauche), en France le Monde, en Angleterre le Guardian, aux Etats-Unis, le New York Times et The Post, en Allemagne die Süddeutsche Zeitung. C’est d’ailleurs à ce dernier qu’un mystérieux bienfaiteur aurait « donné gracieusement » les révélations. Chacun est libre bien entendu de croire à cette belle histoire, mais, donnés ou achetés, les fichiers ont été volés, et cela fait donc de l’ICIJ un receleur.
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Pauline Mille : Dans le style moral propre à la maçonnerie, le consortium affirme que « Les documents montrent que les banques, les cabinets d’avocats et autres acteurs opérant dans les paradis fiscaux oublient souvent leur obligation légale de vérifier que leurs clients ne sont pas impliqués dans des entreprises criminelles ». Cette vertueuse affirmation (que nulle preuve matérielle n’étaie pour l’instant), masque opportunément que le consortium est entré illégalement en possession des documents dont il fait ainsi l’analyse. C’est d’ailleurs ce que lui rappelle Ramon Fonseca Mora, directeur et fondateur, avec l’Allemand Jürgen Mossak, du cabinet dont les archives font aujourd’hui scandale. Il a qualifié de « crime » le vol des fichiers, et voit dans les fuites « une attaque contre le Panama car plusieurs pays n’apprécient pas que nous soyons très compétitifs pour attirer les entreprises ».
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Pauline Mille : Quoi qu’il en soit, le journalisme d’investigation évolue sans cesse. Naguère, le ministre de l’intérieur, ou son frère, ou la concierge du directeur du KGB, ou la femme de ménage de l’ambassade d’Allemagne, fournissait un dossier clé en main au journaliste d’investigation, qui prétendait ensuite avoir planqué pendant des semaines la nuit devant une poubelle pour en tirer toute la substantifique moelle. C’était flatteur. Aujourd’hui, les fuites sont officiellement versées à un consortium dont la seule utilité reconnue est de trier les données et de secréter une interprétation politique.
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Pauline Mille : Or sa fonction réelle est de se constituer en tribunal moral : la lutte contre l’évasion fiscale (mal absolu, puisqu’elle est le péché des riches, et qu’elle est réputée pouvoir masquer, dans les paradis fiscaux qui sont un enfer pour la conscience de gauche, le blanchiment de l’argent de tous les trafics, drogue, arme, prostitution, organes) est le moyen de justifier l’avènement d’un corps mondial de journalistes justiciers, chevaliers blancs de la maçonnerie chargés de pister les noirceurs de la Haute Finance.
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Pauline Mille : Car, dans l’imbroglio des procédures lancées contre les paradis fiscaux, c’est bien elle, la Haute Finance, qui est la cible de l’appareil de surveillance patiemment construit par la maçonnerie mondiale pour prendre la maîtrise des flux financiers. L’OCDE, l’UE, l’ONU, et d’autres institutions internationales sujettes à l’influence de la maçonnerie ont chacune leur liste de paradis fiscaux, qui, bien que non définis légalement, sont leurs bêtes noires. On estime couramment que cinquante pour cent des flux financiers passent par ces paradis fiscaux, des fuites énormes qui échappent au contrôle des Etats normaux et des organisations internationales, d’où un manque à gagner incalculable.
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Pauline Mille : Alors que la chasse aux activités criminelles ou délictuelles est l’objectif avoué, le véritable souci est de retrouver la maîtrise de cet argent – et surtout du pouvoir qui l’accompagne. Cela, bien sûr, au détriment de la Haute Finance internationale, qui n’a bâti ses fortunes et ne les maintient qu’en échappant à l’impôt – le plus souvent par l’anonymat que les montages off-shore permettent. Les fuites organisées par le vol des fichiers du cabinet de Panama provoquent à juste titre un scandale médiatique mondiale, mais leur vraie cible est sans ambiguïté la Haute Finance, que la maçonnerie entend mettre au pas dans son projet de gouvernance globale : l’argent sera le moyen du mondialisme, non son dirigeant, et les marchés n’en seront pas les maîtres, juste les contremaîtres, conclut Pauline Mille (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Alors, où est le vrai et ou est le faux ?
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Michel Garroté, 6 .4. 2016
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http://www.bvoltaire.fr/ronaldzonca/panama-papers-choisir-entre-le-doigt-et-la-lune,249291
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http://www.les4verites.com/politique/panama-papers-prudence-prudence?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+les4verites+%28les+4+v%C3%A9rit%C3%A9s%29
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http://reinformation.tv/montage-off-shore-panama-scandale-maconnerie-haute-finance-mossak-mille-53279-2/
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4 commentaires

  1. Posté par sophie edouard le

    Ce scandale du panama est une grande plaisanterie et ces révélations cachent autre chose c’est certain car cela fait des dizaines d’années que toutes les banques du monde, Suisse comprise, font des montages financiers avec des sociétés offshores et des fonds placés au Panama. Tout le monde qui a un tant soit peu contact avec la finance le sait et subitement on dévoile des noms et on nous fait croire que c’est une découverte incroyable alors que c’est un secret de polichinelle et, effectivement on veut nous faire croire que les américains ne sont pas pris dans ce scandale car, nous explique-t-on dans la presse bien pensante, qu’ils ont un faible taux de fiscalité… alors pourquoi des centaines de comptes avaient été ouverts en Suisse par eux, étrange non?

  2. Posté par Myrisa Jones le

    A l’heure où de plus en plus de pays européens veulent arrêter les sanctions contre la Russie, les USA à court d’argument, veulent utiliser le scandale du “Panama Papers” pour les prolonger. Un moyen de chantage très efficace contre ceux qui s’y opposeraient et dont les noms n’ont pas encore été révélé…
    (Trad google)
    Bloomberg: Les sanctions américaines contre la Russie peuvent être prolongées sur la base des documents au Panama
    L’information contenue dans les documents du Panama peut être la raison de l’élargissement de la liste des sanctions contre la Russie par les États-Unis. La nouvelle liste de sanctions des États-Unis peuvent concerner ceux qui ont aidé les entreprises russes et les particuliers à contourner les mesures restrictives imposées.

    Ceux qui ont aidé à se soustraire aux mesures prises par les Etats-Unis contre la Russie, peuvent être inscrits sur la liste des nouvelles sanctions, qui devrait être publiée en Juin, a rapporté Bloomberg en référence à une source informée.
    “Il est clair que ces documents pourraient permettre au Bureau du Bureau du Trésor américain des chances Foreign Assets Control de tirer des conclusions et de recueillir des preuves fondées sur des faits”, – cite Peter Harrell dans Bloomberg un ancien secrétaire adjoint américain pour la politique de sanctions.
    Plus tôt, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung a publié des informations contenues dans les documents de la société de droit panaméen Mossack Fonseca, qui, selon le journal, montre l’implication d’un certain nombre de dirigeants du monde entier et leur participation à des régimes offshore.
    Plus tôt, des représentants de WikiLeaks ont déclaré que la publication de documents au Panama a été dirigé contre la Russie et Vladimir Poutine personnellement. En outre, le soi-disant enquête journalistique sur l’implication des leaders mondiaux dans les systèmes offshore illégaux proviennent directement des donateurs des agences engagées du gouvernement américain.

    https://russian.rt.com/article/157579

  3. Posté par Pierre H. le

    Avez-vous remarqué qu’il n’y a pas d’Américains dans le Panama Papers…

  4. Posté par Vautrin le

    Là où il y a du Soros, il y a de la pourriture; chez nous elle est relayée par la presse Pigasse & Bergé. Un coup monté. Cui prodest ?

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