Christian Hofer: C'est exactement l'inverse de ce qui se fait en Europe où c'est l'Etat lui-même qui impose des spots "antiracistes" à sens unique, prenant en otage la population, avec l'argent des contribuables alors même que l'Europe subit une immigration de masse qu'elle doit par la suite... financer, subir, intégrer dans ses écoles et soigner. Les clandestins marocains exigent donc en Europe ce qu'ils n'accepteraient jamais chez eux.
Les Marocains ne se posent aucune question de morale ou de "devoir d'asile" alors que le racisme dans ce pays est une réalité. Imaginez seulement qu'on leur dise maintenant qu'ils doivent puiser des milliards dans leurs caisses au détriment des leurs pour aider ces immigrés : tout simplement impensable! C'est la réalité du monde, bien loin du "no borders" et autres imbécilités d'extrême gauche où seul le Blanc doit payer et se taire.
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«Tous pareils, tous Africains», c'est le titre de la vidéo réalisée par Leila Alaoui sur le racisme des Noirs au Maroc que les télévisions marocaines refusent de diffuser.
La photographe franco-marocaine Leila Alaoui, tuée dans l’attentat de Ouagadougou en janvier 2016, avait réalisé début 2015 un spot dénonçant le racisme dont sont victimes les Subsahariens au Maroc. Le spot de 40 secondes relate, à travers des témoignages, les difficultés que rencontrent les populations subsahariennes au Maroc.
Pour montrer les risques et les menaces auxquels les Noirs doivent faire fasse, elle a filmé la confrontation au quotidien entre les Marocains et la minorité subsaharienne. En effet, alors qu'une jeune fille marocaine explique, sourire aux lèvres, que "l'école est le lieu où elle étudie et joue avec ses amis", une jeune fille subsaharienne du même âge évoque les moqueries qu'elle doit endurer. "Dans le quartier, tout le monde m'appelle azzia ("noire" ou "négresse" en français)", dit-elle.
Leila Alaoui qui a grandi à Marrakech a voulu susciter un réveil des consciences en attirant l'attention sur les dificultés de certains immigrés.
Un spot qui pose problème aux chaênes de télévision marocaines
Mais il a fallu composer sans les trois télévisions nationales marocains (Médi1, 2M et Al Aoula) qui ont refusé de le retransmettre. L’association Bladi Bladek ("Mon pays est ton pays"), que Leila Alaoui présidait, rapporte que “ L'une des chaînes aurait émis comme condition de diffusion la suppression du temoignage de la petit fille du début".
Et vous, qu'en pensez vous ?