[...] Le Premier ministre Manuel Valls a annoncé ce mercredi lors du dîner annuel du Conseil représentatif des Français d’Outre-mer (Créfom) qu’il était « prêt à regarder » la suppression du mot « race » dans la constitution.
Interrogé à ce sujet par Patrick Karam, le président du Créfom, Manuel Valls a affirmé que la suppression du mot permettra d’enlever des arguments à ceux qui « hiérarchisent ». « Face à ceux qui voudraient réduire la France à un pays de race blanche, nous devons affirmer que Marianne n’a pas de race, pas de couleur » a-t-il ajouté avant de se dire prêt à « regarder de près comment évoluer ensemble sur le plan législatif ».
Plus surprenant, le Premier ministre a affirmé « prendre la main que nous a tendue Nicolas Sarkozy». L’ancien chef de l’État, qui s’était exprimé juste avant, avait jugé « complètement stupide », «l’idée de réduire la France à une race » avant de lancer que « toute personne qui assimilera la race blanche à la France ne portera pas l’étiquette de (son) parti politique ». […)
Il est vrai qu’entre un chihuahua et un saint Bernard, je ne vois aucune différence.
Mais pourquoi la police continue-t-elle à diffuser le signalement des malfaiteurs, vu qu’il n’y a AUCUNE race, et qu’un Soudanais ressemble en fait à un Norvégien?
Valls qui découvre la novlangue dans son petit univers totalitaire : ou comment faire diversion pour tenter de faire oublier les vrais problèmes, les innombrables échecs de la politique du gouvernement socialiste !
L’avantage, en supprimant le mot race de la Constitution, c’est qu’il leur sera difficile de traiter le FN de raciste
Nous sommes quand même gouvernés, je m’excuse du mot que je vais utiliser, par des trous du c**.