Ignominie trouvée dans Sud-Ouest :
"Depuis le mois d’octobre, l’enfant de 11 ans reçoit des injections pour bloquer la poussée des seins et l’apparition des règles. Il est le premier enfant dans ce cas au Pays basque espagnol. [...] Elle est un garçon. Malgré ses deux chromosomes X, l’enfant n’en démord pas depuis son plus jeune âge. À tel point qu’Ane, 11 ans, se fait désormais appeler Leo, dans sa famille et à l’école. Dans la communauté autonome d’Euskadi, il est le premier mineur transgenre ["transsexuel" étant le terme psychiatrique désignant une personne atteinte d’un trouble mental, la dysphorie de genre] à recevoir un traitement pour stopper le développement de sa puberté.
Les injections de Decapeptyl tous les 28 jours ont démarré au mois d’octobre dernier. Elles doivent freiner l’apparition des caractères sexuels secondaires. En l’occurrence, dans le cas de Leo, la poussée des seins et l’apparition des règles. Le traitement peut paraître lourd. À juste dose, les spécialistes assurent qu’il est réversible. L’enfant peut en effet décider de l’arrêter à tout moment.
"Le but de ces injections est de lui donner du temps", commente la maman, Monika Zamora. "Du temps pour être convaincu de son choix : devenir un garçon. Mais aussi pour comprendre quelles seront les prochaines étapes s’il souhaite changer de sexe." Celles-ci vont de la transition dite légale (changement d’état civil) à la transition médicale (injections de testostérone, voire une éventuelle phalloplastie). Si Leo souhaite amorcer cette phase médicale, le préadolescent pourra le faire à partir de 16 ans, âge de la "majorité sanitaire" en Espagne. [...]"
Extrait de: Source et auteur
Une humanité de moins en moins humaine … Est-ce donc ça notre “évolution” ?
@ Nicolas
Vous prétendez que la nature peut enfermer quelqu’un dans un corps qui ne lui correspond pas. C’est là du subjectivisme pur.
Premièrement, la nature n’a pas une conscience, ce n’est pas la déesse mère plus ou moins bienveillante.
Le corps est une réalité objective. Ce n’est que le psychisme qui peut refuser la réalité, et cela ne peut pas s’appeler un psychisme sain.
Un être en bonne santé psychique est en harmonie avec son corps. Dès lors, c’est un être libre.
Si un oiseau accepte d’être un oiseau, il vole et est pleinement libre de se réaliser selon sa nature objective. Si l’oiseau décide qu’il est un poisson, et que des oiseaux alentours, par une fausse compassion, l’encouragent dans son délire, l’oiseau perd toute liberté et ne pourra jamais se réaliser, mais va se noyer.
Il faut impérativement que notre société retrouve une saine capacité à raisonner selon une philosophie objective et que l’on cesse ce subjectivisme qui nous aliène.
Là, on vit vraiment dans un monde de tarés ! Vite un cataclysme pour laver toute cette fange et ces débilités d’une civilisation extrêmement malade…
cela et autre chose; objets pornographiques géants au milieu de places publiques, excuses réitérées pour la colonisation, alcoolisme et drogues… sont autant de signaux forts que les islamistes récupèrent logiquement pour installer la morale de la vraie Euh… Religion d’Amour, de Tolérance et de Paix!
Pour celles et ceux qui en souffrent, la transsexualité n’est pas une affection psychiatrique mais un des plus méchants dérapages de la nature qui les enferme dans un corps qui ne leur correspond pas.
Aucun doute : la gamine a un dérèglement psychiatrique; mais la famille en a un aussi, et le toubib prescripteur également. Non seulement on ne sait hélas pas traiter les altérations (perversions), mais encore il se trouve des dingues pour trouver ça bien et le pire est que ces fous ont l’oreille des politiques. Ces sociétés occidentales décadentes prêtent largement le flanc à la rage des extrémistes islamiques !