12.3.2016
Monsieur Johann Schneider-Ammann
Président de la Confédération
Palais fédéral
3003 Berne
Lettre ouverte
Monsieur le Président de la Confédération,
Il y a deux semaines environ, le site de la RTS a annoncé que la Conseillère fédérale Sommaruga avait fustigé les mesures isolées face au flux migratoire en provenance de Syrie. Madame Sommaruga aurait même prétendu « que les solutions individuelles ne mènent nulle part », et Berne s'est dite prête à faire sa part dans le programme de répartition de l'Union Européenne. Hier, selon le même site de la RTS, la conseillère fédérale Sommaruga aurait dit jeudi avant une réunion des ministres de l'Intérieur et de la Justice de l'UE: "Une crise humanitaire menace la Grèce, nous ne pouvons pas la laisser seule dans cette situation".
Il est évident que Madame Sommaruga n’a pas à commenter et critiquer les comportements des Etats membres de l’Union Européenne les uns vis-à-vis des autres. En s’immisçant dans les affaires internes de l’UE, Madame Sommaruga s’imagine que la Suisse « fait partie du club » - ce qui n’est évidemment pas le cas. Les divergences de vues entre les membres de l’UE résultent aussi bien d’un manque tragique de vision de la part de l’UE et de l’OTAN que de l’attitude de la Chancelière allemande Merkel qui, sans consultation préalable du peuple allemand et des Etats partenaires, a publiquement ouvert toutes grandes les portes du continent européen aux migrants : une attitude anti-démocratique, autoritaire et inacceptable. L’Union Européenne est dépassée par l’ampleur du problème et les mesures isolées prises par certains de ses Etats membres sont dès lors compréhensibles.
En outre, affirmer que la Suisse est prête à faire sa part dans le programme de répartition de l'UE est dangereux. En effet, le critère de répartition du Président de la Commission est le PIB – une aberration ! Le PIB, donnée abstraite s’il en est, ne reflète pas la situation économique effective de la classe moyenne d’un pays, laquelle serait très directement concernée en cas d’immigration de masse. Les deux critères essentiels sont la surface disponible et le pourcentage de population étrangère existant. En ce qui concerne la surface disponible, la Suisse est mal placée : si la surface actuelle d’habitat et des infrastructures est seulement d’environ 7.5%, on ne peut l’agrandir à volonté et éliminer les alpes, les glaciers, le jura, les forêts et les terres agricoles. Nos conditions-cadre topographiques et climatiques ne nous donnent qu’une très faible marge de manœuvre – très probablement la plus faible en Europe. Quant à la population étrangère en Suisse, elle se situe déjà aux environs de 23.5%, alors que pour la France et l’Allemagne ce taux avoisine les 10 % et pour l’Europe environ 4.3 % en moyenne (selon l’OFS).
L’Union Européenne n’est pas une institution démocratique – l’Allemagne non plus, comme en témoignent le comportement inacceptable de la Chancelière Merkel et les propos déplacés du Président Gauck sur la démocratie suisse lors de sa dernière visite à Berne. La Suisse, certainement l’une des rares démocraties directes au monde, ne peut se soumettre au diktat de Berlin ou de Bruxelles: les Suisses ne sont pas à la solde des politiciens et bureaucrates autoritaires et incompétents de l’Allemagne et de l’UE.
Récemment, vous avez mis le Président du parti socialiste Christian Levrat face à ses responsabilités, suite à des propos jugés inappropriés - des propos sans aucune portée internationale. Je pense qu’il vous appartient maintenant, en tant que Président de la Confédération, de demander à votre collègue Sommaruga de faire preuve de la retenue minimale que l’on est en droit d’exiger d’un membre d’un Gouvernement, à plus forte raison d’un Gouvernement d’un pays neutre.
Veuillez agréer, Monsieur le Président de la Confédération, l’expression de mes sentiments distingués.
Prof. Dr. Jean-Daniel Clavel
Dipl. Ing. ETHZ & Lic. oec. publ.
Les socialistes en Suisse ne représentent que env. 20% des voix de la population, et la Sommaruga se transforme en petite dictatrice voulant faire SA loi, elle essaye d’imiter Merkel, deux femmes qui ont perdu leur raison. C’est grave pour nos démocraties.
elle va nous vendre notre petite suisse ? madame souffrez-vous d’un syndrome de Stockholm vous ôtant dangereusement la capacité de discernement ?
étrange phénomène qui fait qu’en cette période de crise les gouvernements se retrouvent affublés de politicards mous inconscients et aussi inconsistant…………cela a dû être prévu d’avance……….nous rejoignons la pauvre France et sa politique de prépubères télécommandés manipulables et influençables à souhaits………………………mais dangereux pour les peuples.
Les peuples sont cons s’ils croient encore en l’Etat et en leurs dirigeants, ils ne devraient faire confiance qu’à eux même, pour leur bien et celui de leur enfants.
allez soigner votre syndrome de Stockholm Mme Sommaruga l’Europe est en phase terminale nous devons nous en protéger rien d’autre !!!!!!!! c’est cela la sécurité !!!!
SS s’en va seule à Bruxelles débiter des fantasmes sur ce qu’elle aimerait que les Suisses pensent. Mais, par malheur, c’est plutôt tout le contraire, si l’on excepte quelques ramassis de débiles et de nostalgiques de 68. Mais à part cela, elle le fait sans doute sans consulter ses collègues du collège !
Et vous avez entendu dans la presse parler de coup de canif dans la collégialité ?
Que dalle! Mais c’est vrai, j’oubliais: elle est de gauche, donc elle peut faire ce qu’elle veut. Ces pleutres de journaleux la ferment fermement…..
Ai-je bien lu ?
“…Madame Sommaruga aurait même prétendu « que les solutions individuelles ne mènent nulle part », et Berne s’est dite prête à faire sa part dans le programme de répartition de l’Union Européenne…”
avait-elle donc mandat pour cette intervention engageant la Suisse à l’égard d’une UE qui non seulement lui fait une guerre sourde à coup de milliards, mais pratique l’intimidation cynique et le chantage de plus en plus odieux?
Je l’ignore…. si c’est avéré, on doit en déduire que le CF met la Suisse à reculons dans le sac européen: merci qui ?
A toutes fins utiles, j’invite les lecteurs de ce site à se procurer la récente étude du Crédit suisse, “Schweizer Immobilienmarkt 2016, Vertreibung aus dem Paradies”. Les pages 23 à 26 de ladite étude m’incite au plus profond pessimisme. Au rythme actuel, la population de la Suisse va augmenter d’un million d’habitants en 13 ans. Si le Crédit suisse fait cette prévision, c’est bien parce qu’il peut compter sur Sommaruga & Co pour que cela se produise effectivement.
Du moment que la Suisse n’est plus dirigée, mais administrées seulement, par le C.F.; du moment que la BNS, en mains allemandes, c-à-dire européennes, n’est plus la banque nationale des Suisses, je ne vois pas très bien quelle suite fructueuse et consistante pourrait être donnée à cette belle missive.
On entend très fort les prédicateurs de carrefour socialistes brailler à tout propos, pourquoi n’entend-on pas plus souvent les voix de gens sensés, sinon pour les critiquer ou les contredire, mais dénoncer les lâchetés étudiées, la soumission complète de nos politiciens ?
Qui donc dirige la Suisse ?
Est-ce déjà Obama ou encore Juncker et sa camarilla d’esclaves soumis de la finance cosmopolite ?
“Les vérités incréées sont intraitables puisqu’elles émanent directement de Dieu Mahomet…” qui obligerait donc le peuple suisse, qui a déjà bien donné, à s’offrir encore une guerre de religions ? Qui à part les Ramadan de tout poil ?
Il est vrai que Dame SS est un fléau et qu’il serait urgent de s’en débarrasser. Mais voilà: les élections fédérales sont encore récentes et il aurait fallu ne pas élire ou réelire les Parlementaires fédéraux susceptibles de la reconduire au Conseil fédéral. Le vrai problème, commencé lors de la législature précédente et poursuivi dès l’automne dernier, est là. Tant qu’il n’y aura aucun organe de (la «grande») presse à mener campagne contre elle, le fléau persistera et la Suisse perdra encore un peu plus sa souveraineté, déjà bien mise à mal à cause du grand nombre d’euro-collabos type SS que compte notre pays.
En 1914, les Français devaient partir au front pour défendre la patrie. Ces migrants c’est quoi, pratiquement des jeunes qui ont quitté leur pays sans s’occuper de le défendre, de savoir qui le gouvernera et laisser tomber ceux qui se battent pour leur patrie et on reçoit chez nous et en Europe des déserteurs. Et on nous demande de les prendre en considération. Si les jeunes Français étaient partis au maghreb en 1914, la France aurait été gouvernée par l’Allemagne. (Quoique le résultat est à peu près pareil aujourd’hui)
Au-delà de ces constatations “ego-politiciennes de forme”, force est de constater que la question migratoire est gérée par un pouvoir dominant – celui des élites et gouvernants politiques, financiers -, et NON PAS par le pouvoir majoritaire détenu par le peuple. Ne pas adhérer au formatage dominant range dans le populisme voire le fascisme, leitmotiv sempiternel des socialistes.
La cassure est claire et nette et, en Suisse, il est “marrant” de constater ses résultats : d’une part par la culpabilisation de celles et ceux qui n’adhèrent pas et, d’autre part, les résultats de terrain caractérisés par une hostilité grandissante de citoyens qui contestent l’arrivée aussi subite et massive d’une autre culture avec ses moeurs encore primitives, rétrogrades. Un seul exemple : la considération de la femme, son mépris, sans compter dans le tragique mais usuel, l’excision.
Chiffres publiés (car une fois les statistiques commencent à parler …) : quelque 85 % des migrants sont des économiques qui entendent non pas nous coloniser, mais nous envahir, au nom des principes prosélytes et conquérants inscrits en sourates souvent haineuses et vengeresses.
Fait curieux : les bonnes âmes prônant l’accueil immodéré, massif, incontrôlé de migrants ne disposent jamais de place chez eux et toujours beaucoup d’empêchements. Faites donc comme je dis, pas comme je fais. L’UE est en décomposition totale. Ses membres posent des barbelés fondamentalement honteux mais pourtant nécessaires. Et sans pessimisme, il faut s’attendre à une situation catastrophique, lorsqu’au printemps, le million de migrants sera libéré depuis la Tunisie, la Libye, l’Algérie …, la Turquie.
Posons la question suivante au peuple suisse : “Etes-vous prêts à prendre en charge ici en Suisse les VRAIS réfugiés maltraités, exclus, torturés, spoliés ?”. Sans doute aucun, la réponse serait OUI à 80 %, surtout si les concerné(e)s sont chrétiens (le cas de la Syrie). alors, il faudra tôt ou tard nettoyer les écuries d’Augias pour éviter le grand plongeon historique de l’Occident judéo-chrétien.
Enfin … l’Arabie saoudite étête à tours de bras, ajoute comme hors-d’oeuvre la crucifixion publique de cadavres décapités. Il est plus que temps de stopper l’autoflagellation de la Suisse en matière d’accueil. Les vrais traîtres à notre honneur à notre nation millénaire et humaniste, sont parmi nous. Je suis même d’avis que l’UDC se trompe de chemin, car trop terre à terre dans ses analyses : il nous faut de nouveaux pionniers humanistes, capables de s’attacher à fond aux valeurs morales de notre société, en affirmant haut et fort que le multiculturalisme peut fonctionner avec des partenaires dignes, respectant les peuples, les individus, leurs libertés. Avec l’islam radical qui s’amplifie exponentiellement, basé sur des “vérités incréées”, les conflits sont inévitables. On le constate, on doit de plus en plus le supporter : discrimination de la Femme, violence (Cologne …), brutalité, haine islamiques. Les vérités incréées sont intraitables puisqu’elles émanent directement de Dieu Mahomet. Et alors le chrétien est un chien à abattre, un porc à éviscérer. Quand, oui, quand l’Occident prendra-t-il conscience que depuis quelque soixante-dix ans, les réformateurs de l’islam ont été liquidés, que cette religion ne dispose plus d’aucun “théologien modérateur, évolutionnaire ” ? Tous furent liquidés et remplacés par le salafisme, le wouabisme, par une application très littérale de pensées guerrières, destructrices, totalitaristes.
Voilà où nous en sommes, en pleine conscience des faits, mais manipulés par cette mouvance dominante prête à ouvrir le code pénal pour délit d’opinion ! Notre corps politico-judiciaire occidental, trop perturbé par l’UE, à ses ordres, et ses sbires ex-marxisants, au pire ex-trotskistes recyclés, ne survivra pas à l’islamisme. Les couteaux coraniques sont déjà affûtés. Vue abusive ? Eh bien, il suffit de vérifier de facto ce qui se passe au Moyen-Orient, voire nettement plus proche, à 250 km des côtes italiennes.
@ Tommy
Vous dites : « nous sommes d’obédience protestante»
Vous auriez dû écrire : nous sommes d’obédience chrétienne, par respect notamment pour les catholiques qui ont fondé ce pays. Face à la menace musulmane, il est malheureux de dénier une si grande proportion de ses compatriotes…
@bigjames: “SS est un danger pour notre pays”.
J’ai peur qu’un jour elle prononce une phrase de trop qui fasse, pour la Suisse ce que Merkel a fait pour l’Allemagne et l’Europe.
Peut-être qu’elle l’aurait déjà fait s’il n’y avait pas le reste du Conseil fédéral pour la tempérer un peu au nom de la collégialité.
@ Le pragmatique : “Ton UE on n’en veut pas, retournes à ton piano SS”
Si seulement :
http://www.causeur.fr/union-europeenne-brexit-euro-schengen-37056.html
Le monde des dictateurs s’éteint pour laisser la place aux dictatrices…
Je pense que, comme je l’ai déjà publié, que:
a) nous vivons dans un pays riche, donc nous avons volé nos biens à d’autres nations.
b) nous jouissons d’une grande paix sociale, donc nous sommes coupables de ne pas avoir su expliquer cela hors de nos frontieres .
c ) nous sommes d’obédience protestante, nous sommes donc coupables de ne pas avoir su nous enrichir face à d’autres ” religions ” qui ont tant à nous apprendre, et en plus la volonté de nous extirper de notre médiocrité.
d) notre pays étant celui de la Croix-Rouge, nous avons pour obligation de recevoir tous ceux qui frappent à nos frontières, quelles que soient leurs intentions une fois chez nous.
e) quel que soit le conflit qui nous opposera aux ” chances venues d’ailleurs” , nous nous efforcerons de convaincre ces dernières que nous avons eu tort, que nous nous excusons, que nous sommes prêts à encaisser toute forme d’humiliation, tant nous sommes coupables de tout..
Je suis d’accord avec ceux qui soulignent le manque de réaction de l’UDC face aux déclarations de SS.
SS est dangereuse pour notre pays. Il faut absolument la neutraliser.
SS est un danger pour notre pays. Cette femme est un fléau.
Que font nos deux UDC au CF ? Si ils ne réagissent pas rapidement pour contrer cette folle, le parti va perdre rapidement beaucoup de ses membres. Je suis très déçu de M. Parmelin.
Il faut qu il se ressaisisse au plus vite.
Si j’ai bien compris, la pseudo doctoresse Sommaruga prétend soigner le malade grec en lui disant: “Par solidarité aveugle, je prends une partie de ta maladie, plutôt que de t’aider à guérir, par exemple soutenant la fermeture de tes frontières maritimes et avec la Turquie et les Balkans.” Mais la pianiste confond parler en son propre nom, et parler en tant que représentante d’un peuple souverain. Si elle désire à ce point copuler avec son UE chérie, qu’elle vire son … de ce pays. La Suisse n’a vraiment pas besoin de traîtres et traîtresses zélé(e)s. On compte aussi sur les deux nounours UDC du CF. Ils font quoi dans cette histoire ? Ils regardent passer le train ?
“La Suisse, certainement l’une des rares démocraties directes au monde”
En réalité, elle est indirecte. Nombre de lois sont traitées par des gens que nous avons élus, certes, mais qui font au final ce qu’ils veulent. Regardez la mise en oeuvre de l’expulsion des criminels étrangers. Le CF veut toujours avoir le dernier mot, prétextant qu’il faut appliquer cela aux réalités et prétendant agir avec “proportionnalité, et avec un marge de manoeuvre”.
Ce qui est clair c’est que les initiatives acceptées sont tout de même adaptées selon le bon vouloir des politiciens. De même, nous n’élisons pas nos conseillers fédéraux directement. Enfin, lors des crises migratoires, comme celle des Balkans, le peuple suisse ne peut pas s’exprimer sur l’accueil ou non des migrants.
Le terme exact serait plutôt un régime représentatif. Et malheureusement, dans ce cadre, le peuple n’a pas les moyens de s’exprimer sur ces immigrations, comme on le constate.
Par contre, la proportion des étrangers en France est polémique. Ce n’est pas une bonne comparaison. Le droit du sol fait des ravages. A cela s’ajoute la dernière modification de loi facilitant encore la naturalisation. En clair, la France se trouve aujourd’hui dans la même situation que nous, leurs statistiques ne signifient plus rien. Il faudrait pour cela en revenir avec une catégorisation ethnique de la population.
Enfin il y a des aspects non relevés dans cette lettre:
1. les conséquences pour nos infrastructures sociales, leur financement
2. les conséquences pour le niveau de nos écoles et donc notre avenir
3. les conséquences sur la violence que vont subir les autochtones, comme cela a été le cas avec les Balkaniques
4. l’élément clé que nous oublions toujours: L’EAU. Cette ressource est bien plus importante que le pétrole et ces migrants ne la possèdent que peu chez eux. Ils vont donc hypothéquer aussi notre avenir sur ce plan et dépenser la nôtre sans compter.
5. leur religion qui est antagoniste à la nôtre. Je rappelle que la ligue contre le racisme en Suisse avait déjà relevé des commentaires racistes sur les Facebook tenus par des Balkaniques et des Turcs résidant dans notre pays contre les juifs.
etc.
A Aline: vous pouvez parier que le dernier venu UDC a été élu sur combinazione. On reconduit les vôtres et vous propulsez un de nos poulains. Si ça se trouve le poulain en question était déjà choisi.
une véritable Madame sans-gêne qui ne représente qu’elle, subsidiairement son parti de m****.
Ton UE on n’en veut pas, retournes à ton piano SS
Merci pour cette belle missive. Il faut malheureusement le constater, notre pianiste SS prend des libertés moralisatrices décevantes. Incapable de prendre des décisions contraires à l’UE, elle se couche lamentablement devant Junker et sa clique. Son manque de réserve et son attitude hautaine ne sont pas dignes d’une conseillère fédérale.
Oui bien sûr, mais à Berne il n’y a pas que la Reitschule qui ne va pas….
Une lettre pleine de vérités qui va comme tant d’autres va finir dans l’archive ronde. Cette femme est tellement imbue d’elle même que rien ne l’arrête, elle est dangereuse pour notre pays et son peuple.
Et les deux CF UDC où sont-ils pour défendre la Suisse contre cette aberration?