«Il y a encore un peu de chemin à faire» dans la coopération, estime la cheffe de la police genevoise Monica Bonfanti. La Suisse a pour le moment uniquement accès aux fiches de sécurité françaises qui sont inscrites dans le système d'information Schengen. De leur côté, une quinzaine de policiers genevois sont chargés du renseignement face au djihadisme.
A Genève, le dispositif pour lutter face à la radicalisation s'étoffe. Un plan a été mis en place qui intègre notamment des travailleurs sociaux, a indiqué Mme Bonfanti. Tous les policiers ont aussi pour mission d'être attentifs à ce problème. Mais une quinzaine d'entre eux sont plus spécifiquement chargés de renseignement sur les djihadistes, affirme la cheffe de la police.
Et vous, qu'en pensez vous ?