Le journaliste et essayiste, Ivan Rioufol, vient de publier un ouvrage sombre en forme de mise en garde intitulé :”La guerre civile qui vient”. Le célèbre éditorialiste du Figaro affirme que l’islamisme s’inscrit dans la continuité des 2 totalitarismes du 20ème siècle. Il dénonce les politiques soldeurs de la Nation, les intellectuels en état de soumission et les musulmans indifférents à la montée du radicalisme religieux. Si le constat est brutal, Ivan Rioufol refuse toute forme de défaitisme et annonce qu’il est encore possible de sauver les meubles. “Ne rien lâcher” doit devenir la devise des nouveaux insoumis.
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mais on ne parle jamais de la Suisse où les citoyens sont soldats et possèdent leur arme à leur domicile et pourtant les Suisses ne sont ni des cow boys ni des assassins !
Martial a mis bien du temps à rappeler, assez faiblement d’ailleurs, que , loin de l’indifférence générale” évoquée par Yvan Rioufol , dans l’ordre, Jean-Marie Le Pen , et Philippe de Villiers ( et non pas dans l’ordre inverse, Martial ) n’ont eu de cesse de sonner le tocsin en temps utile face au danger de submersion qui menaçait la France. Pour autant même faible la remarque de Martial a totalement déstabilisé un Rioufol jusque là serein dans sa démonstration perso bien tardive. On l’ a vu tout à coup bredouiller, chercher besogneusement une excuse dans son “désaccord” – doux euphémisme- avec Jean-Marie Le Pen. Perdant pied, proche de la noyade, il a fallu qu’il sorte un aussweiss si répandu dans son milieu médiatique : “le racisme anti-immigré “- de Jean-Marie Le Pen , justification aussi stupide que mensongère que les faits, et la justice même, ont infirmé depuis des lunes. Alors si vous paniquez sur le tard de cette réalité prévisible, Monsieur Roufiol , qui avez usé bien tant de papier à “excommunier” avec toute la condescendance requise,tout ceux qui ne “noçaient”pas politiquement comme vos amis du Figaro , ayez la pudeur de faire du fric sur le sujet au moins le plus discrètement possible , mais évitez de persévérer à garder un pied sur le radeau de la méduse qui vous emportera , Dieu merci ,loin du peuple que vous invoquez sans manifestement avoir perçu sa légitime et lucide colère.