Après avoir vécu 27 ans dans notre pays, un homme du Pakistan doit quitter la Suisse. Motif: Le père de trois enfants a dû être pris en charge pour plus de 350.000 francs.
Le citoyen du Pakistan, âgé de 50 ans, est venu en avril 1989 - alors âgé de 23 ans - en Suisse. Sa demande d'asile a été rejetée six mois plus tard. Grâce au mariage avec une Suissesse, il a pu bénéficier d'un permis de séjour. L'année suivante, il était devenu père d'une fille, trois ans plus tard, le couple avait divorcé. (...) Entre 1999 et 2001, deux femmes ont donné deux autres enfants au Pakistanais.
Le père des 3 enfants a aussi été actif criminellement et a été averti sur le droit des étrangers en 2004 après avoir été condamné plusieurs fois. Durant les années suivantes, il a dû être soutenu de manière significative par l'aide sociale car il n'avait aucun travail. En outre, le Pakistanais s'est aussi battu pour obtenir une rente invalidité. Le tribunal cantonal de Lucerne a statué en 2013 qu'il ne détenait aucune prestations d'assurance-invalidité.
En février 2015, l'Office des migrations du canton de Lucerne a refusé de renouveler le permis de séjour du Pakistanais et a ordonné son expulsion. Le fonctionnaire de l'aide sociale continue: Depuis son arrivée, le Pakistanais a bénéficié "d'environ CHF 350'000.--", et son soutien est toujours en cours "sans que des raisons de santé compréhensibles" soient présentes, écrit la Cour fédérale dans sa décision.
Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch
Nos remerciements à Info
DEU :
http://www.luzernerzeitung.ch/nachrichten/zentralschweiz/luzern/nigerianer-muss-trotz-familie-gehen;art9647,1072788
http://www.20min.ch/schweiz/zuerich/story/Ausschaffung-zu-Recht-angeordnet-nach-21-Jahren-13092937
Pourquoi les nuisibles se gêneraient-ils ?
L’initiative de mise en application de l’UDC a été refusée. Le message est retenu. Et bien compris.
Des naïfs croient encore que l’immigration non contrôlée est un enrichissement, notamment grâce aux futurs cotisants et contribuables qu’elle génère, alors que trop de « chances-pompes-à-fric » finiront par anéantir notre pays.
Rendez-vous donc à la prochaine consultation du peuple masosuisse sur les augmentations vitales de l’âge de la retraite, des cotisations et impôts en tout genre … pour assurer le train de vie confortable auquel les derniers arrivés ont droit.
Il y a des signes de soumission qui ne trompent pas !
Pourquoi, quand il a divorcé, il n’a pas été expulsé Manu Military?
@ Christian Hofer
Vous avez raison, je me suis trompé en faisant les calculs sur 27 ans au lieu de 10 ou 11 ans.
Cependant, il y a une autre raison, dont je n’avais pas bien tenu compte, pour laquelle ces 350’000 francs ne représentent pas la totalité de ce que l’individu a coûté au contribuable et à la collectivité.
En effet, il y a toute une série de frais qui ne sont pas compris sous la rubrique « assistance » :
– assurance-maladie, frais médicaux, fraits de dentiste, pour lui et ses enfants
– logement (sauf erreur)
– avocats pour ses recours contre l’AI, avocats et frais de justice pour ses délits
– éventuelles dettes
– dommages subis par les victimes de ses activités délictueuses, indemnisés ou non par la collectivité.
Pour info, le barème des prestations à Lausanne, bien que la majorité des aides dites « annexes » n’y figurent pas :
http://www.lausanne.ch/thematiques/social-et-integration/prestations-sociales/partenaires/service-social-de-lausanne/revenu-d-insertion/minimum-vital-ri/condition_access_files/file/document/depliant_ri.pdf
@ Cenator
Je peux me tromper mais il touche l’aide sociale depuis 2005 selon le texte: “Durant les années suivantes, il a dû être soutenu de manière significative par l’aide sociale car il n’avait aucun travail.”
Ce chiffre de 350’000 francs (environ 1000 francs par mois) n’est pas crédible.
27 ans en Suisse, avec les frais d’assurances, de médecin, de justice, d’avocats, 3 enfants, au vu des barèmes de l’assistance, le montant publié doit certainement être multiplié au moins par 3.
Et de factos le morpion nous quitte quand ? Ou s’agit-il d’une décision qui sera suivie de la continuation de douches d’aides sociales ?
LA SUISSE EST RICHE, MAIS RICHE DE PAUVRES AUSSI … !
Habiter et vivre en Suisse toujours de plus en plus cher… !
Si l’on observe le coût de la vie en Suisse, celui-ci a considérablement augmenté ces 20 dernières années.
Effectivement, vivre en Suisse à l’heure actuelle devient de plus en plus le parcours du combattant, pour beaucoup d’habitants et de familles, qui peinent à nouer les deux bouts financièrement chaque mois.
Les loyers ont pour ainsi dire doublés, les primes d’assurance maladie ont triplés durant ces derniers 20 ans.
Les salaires, pour le monde ouvrier, n’ont quasiment pas évolué, contrairement pour certains cadres et patrons, déjà avec de hauts revenus.
Alors que les ouvriers sont à mon avis le moteur des entreprises.
Jusqu’où ira-t-on ?
Ces charges fixes que l’on ne peux influencer, mettent en péril la capacité financière de beaucoup d’entre-nous.
Le seuil de pauvreté en Suisse se situe aux environ de frs 56 000.-, pour une famille avec deux enfants. Un ouvrier qui doit subvenir aux besoins de sa famille, gagnant frs 4 500.- par mois, (salaire réaliste contrairement aux statistiques fédérales revenu moyens entre frs et 6 000.- et frs 7 000.-) ne parviendra pas, sans que son épouse travaille, à joindre les deux bouts et même pour autant qu’ils y arrivent avec 2 salaires.
Est-ce normal que certains de nos politiques, préfèrent distribuer nos aides sociales, à certains profiteurs, et personnes nouvelles venues qui n’ont jamais cotisés un sous pour notre système social ?
Je pense qu’il est plus important de consacrer nos possibilités d’aide en priorité à la population nécessiteuse dans notre pays, la SUISSE, avant de vouloir faire du social pour des ressortissants étrangers, qui n’ont jamais participé à l’économie de notre pays.
Que certaines de nos hautes instance politiques, qui prônent pou une aide sans compter, pour les réfugiés et ressortissant étrangers fraîchement arrivés, essayent de vivre avec un salaire qui est 10 fois inférieur à celui d’un ouvrier moyens.
Pour rappel salaire approximatif d’un conseiller fédéral environ frs 40 000.- au bas mot, PAS PAR ANNÉE, mais par mois et sans imposition…..!, sans compter les frais en sus. De plus une retraite dorée à vie en cas de non réélection.
Ce qui prouve malheureusement que certains de ce politiques, sont à côté de la réalité de la vie, et des possibilités financières de Madame et Monsieur tout le monde.
Bientôt peut-être pour les résidents en Suisse, ce sera à notre tour de nous exiler à l’étranger ….!
Afin de laisser notre place aux réfugiés, et à un classe très aisée, car les aides ne sont pas pour NOUS, les habitants de ce pays.
Si l’on continue comme ça, la Suisse, va devenir un grand Monaco réservé à une classe aisée.
Jean-Pierre Ryter
Bien parlé Monsieur Théodore, car il faut bien reconnaître que les services sociaux sont par magie, déjà truffés d’assistants venus d’Afrique et d autres origines de ‘richesse’, contribuant à creuser le trou de l’invasion au détriment des caisses publiques et autres. Mais que les habitants de ce pays ne s’étonnent pas de la perte abyssale quand de réels calculs seront établis !
Dans le titre, il aurait fallu écrire “il avait pu rester”, puisque maintenant il ne peut plus. Vous m’avez fait peur, Christian Hofer. Mais merci pour la traduction!
Bof, une pécadille !
C’est une pécadille, moins de Frs 2’000.- par mois…Nous sommes riches, faut que le monde sache que nous sommes généreusement cons. Quand aux suisses qui crèvent de faim, qui versent dans les maladies psychiques c’est un mythe de fachos radins et égocentriques.
Blagues à part, HONTE A LA SUISSE DE LAISSER LES SIENS DANS LA MERDE TOTALE AU DETRIMENT DE PSEUDO-CHANCES ! RETOURNEZ LES BUREAUX DES ASSISTANTS SOCIAUX, TRAUMATISEZ-LES C’EST LE SEUL LANGAGE QU’ILS CONNAISSENT !
Un cas parmi des milliers d’autres… Les souteneurs sociaux de telles pratiques ne parviennent pas toujours à cacher ce genre de méfait mais demeurent néanmoins les principaux acteurs permettant que d’autres pépites puissent se la couler douce à perpète…
Si les autorités de notre pays continuent ainsi, nous serons ruinés d’ici une ou deux décennies.