La police doit se rendre quotidiennement au centre d’hébergement pour réfugiés de l’aéroport de Tempelhof. Pour des menaces, des blessures, des agressions sexuelles.
Il n’en est pas fait mention dans les statistiques de la police.
Pourquoi ces incidents ne sont-ils pas enregistrés dans les statistiques ? […] La raison[…] se trouve dans le système informatique de la police appelé Poliks. Les réfugiés ne peuvent pas y être saisis en tant qu’auteurs de délits, mais seulement comme victimes.
(Traduction Fdesouche)
Uu seul mot : étouffer ; après avoir lu l’article, ce n’est rien : un viol d’un enfant de 11ans par un afghan, une tentative d’incendie criminel de 13 iraniens chrétiens, mais…chut, il ne faut pas remplir la case criminel puisque ce n’est qu’une attaque à la propriété (ah oui et depuis quand?). Par essence même le réfugié doit être la victime pour permettre la réalisation de l’objectif supérieur, à savoir le remplacement de la population autochtone. C’est ce qu’on appelle un mensonge par omission.
Le code de la presse, dans les pays Européens, stipule de ne pas divulguer l’origine des délinquants ou criminels , de peur de stigmatiser les différentes minorités visibles. En effet, l’acte d’une personne issue d’une minorité visible peut porter préjudice à l’ensemble de cette communauté.
Cet esprit humaniste protecteur porté souvent par la gauche, qui veut éviter la stigmatisation puis le rejet de l’étranger et le racisme a atteint ses limites. Les prisons sont à 80% remplies d’étrangers alors que ceux ci ne représentent que 10 à 15 % dans le pays d’accueil.
Les viols en Suède et dans les pays du nord sont le fait de migrants Arabo-Orientalo-Africano- musulmans fraîchement arrivés pour 95% et souvent à 100%.
Ces faits ne doivent plus être cachés à la population si on veut analyser et trouver des solutions. C’est un crime de les cacher à l’opinion publique.
C’est le moyen de tenter de faire croire aux quelques illuminés compatissants que l’Allemagne compte encore que , en fait, tout va bien sur le front de l’asile.
Erich Maria Remarque écrivait ” A l’est, rien de nouveau” .
Maintenant, c’est ” Au sud , c’est le renouveau”.