Les écoles primaires d’Anvers en Belgique ont une majorité d’élèves non-blancs

Traduction de l’article de New Observer.

Une majorité absolue des élèves des écoles primaires dans la ville belge d’Anvers sont non-blancs, d’après des données diffusées par l’adjoint à l’Éducation, Claude Marinower [ndt : un juif très impliqué pour la « mémoire de la Shoah ». Ne pas oublier le savon !].

Répondant à une question parlementaire de Filip Dewinter, du Vlaams Belang, Marinower a déclaré que des 12.300 enfants dans les écoles primaires, quelques 6451 sont de « religion musulmane ».

Bien qu’il soit illégal en Belgique de collecter des statistiques raciales, ces données, rapportées par la Gazet van Antwerpen peuvent être comprises comme signifiant que 52,4 pourcents de tout les élèes des écoles primaires sont d’origine arabe, moyen-orientale ou nord-africaine.

Par comparaison, seuls 18,7 pourcents des enfants sont catholiques et quelques 26,4 pourcents sont protestants, et ont donc plus de chances d’être blancs.

D’après la Gazet van Antwerpen, dans le quartier de Kiel, au Sud du centre-ville, 83 pourcents des enfants sont musulmans. À Anvers-Nord le chiffre est de 64 pourcents, et dans le quartier de Borgerhout, il est de 63 pourcents.

Les chiffres les plus bas sont dans le quartier d’Ekeren – où De Winter vit – où « seulement » 14 pourcents des enfants des écoles primaires sont musulmans, et dans les districts de Berendrecht, Zandvliet et Lillo (les trois villes le long du port maritime au Nord de la vieille ville d’Anvers), où 15 pourcents des élèves sont musulmans.

L’école Flora à Borgerhout, Anvers

L’école primaire avec la population d’enfants musulmans la plus élevées est Flora à Borgerhout, qui a 94 pourcents d’élèves musulmans – et à en jugé par les photographie sur le site internet de l’école, à peu près 100 pourcents de non-blancs.

La Gazet van Antwerpen a ajouté que les musulmans constituent plus de la moitié du corps étudiant dans trente-trois des cinquante-huit écoles primaires urbaines de la ville. Chaque année, ce taux de musulman augmente d’environ 2 pourcents en moyenne. [ndt : c’est à dire de 50% à 52% en un an, par exemple]

Au vu de ces statistiques, il est inévitable qu’Anvers sera une ville à majorité non-blanche dans les dix ans tout au plus, à moins que toute l’immigration du Tiers-Monde soit arrêtée puis inversée.

Borgerhout, Anvers

L’afflux des non-blancs en Belgique a cru depuis des années par les canaux d’immigrations légaux, encouragé et promu par les gouvernements conservateurs et socialistes successifs.

Le parti Vlaams Belang est le seul qui se soit systématiquement opposé à l’immigration massive du Tiers-Monde. Il était précédemment connu sous le nom de Vlaams Blok, mais a du se reformer dans le Vlaams Belang en 2004, après que le gouvernement l’eut interdit pour avoir violé les lois « anti-racistes ».


Quelques mots ici à mes lecteurs belges francophones.

La Belgique, comme État, n’aurait sans doute jamais du voir le jour. Bien qu’étant une entité territoriale qui durant des siècles fut unie sous diverses dominations, elle n’avait pas vocation à constituer un État unifié.

L’échec de la francisation de la partie flamande de la Belgique dès le XIXème siècle sonnait le glas de la viabilité de cette entité. De même qu’au Canada, l’unité entre le Québec et le reste du pays est bancale, l’unité entre Wallonie et Flandres ne pouvait bien tourner.

Il s’est produit ce qui se passe dans tout État multi-ethnique, même lorsqu’il est racialement uni : un conflit autour de la répartition des ressources et la domination du pouvoir politique. Au fur et à mesure, l’État se divisait, et les tensions s’accumulaient, avec notamment l’épisode très litigieux de la frontière linguistique fixée au début des années 1960, et Bruxelles comme centre de la querelle.

À l’époque, l’immigration non-blanche n’était pas encore un problème significatif.

Depuis, les réformes de l’État pour décentraliser toujours et encore plus se sont succédées. Encore une ou deux, et la Belgique ne sera plus qu’une union de nom.

L’animosité de part et d’autre s’est maintenue, mais du côté francophone l’une des plus profondes stupidités qui soit fut de considérer (probablement avec un peu de propagande pour initier l’idée) que l’invasion migratoire par des non-blancs avait un côté positif pour la francisation. Car en effet, la « nouvelle jeunesse belge » s’exprime plus ou moins en français. (Un français où l’expression la plus courante est « fils de pute »)

Personne ne peut honnêtement reprocher aux flamands de ne pas apprécier cela ; et l’obsession maladive anti-raciste qui se couple à une haine des « flamands nazis » a surtout réussi à être terriblement auto-destructrice.

Globalement, les belges wallons comme flamands ont complètement manqué la réalité de l’invasion migratoire, concentrés sur leurs propres querelles, et il n’y a pas véritablement d’excuse à cela.

Source

5 commentaires

  1. Posté par bigjames le

    Je serais curieux de voir la tête des enseignants de ces chances pour la Belgique.

  2. Posté par bigjames le

    Il n’y pas de grand remplacement. C’est juste un sentiment de grand remplacement….

  3. Posté par Sergio Morosoli le

    Je ne suis pas de cet avis. Je trouve bien au contraire qu’une Belgique complètement déconstruite dont la capitale sert de QG à la direction de l’UE, donne l’exemple de ce qu’est le monde multiculturel. Nous pouvons constater de visu ce qu’est l’échec complet d’une idéologie. Nous allons vivre l’avortement final d’une faillite programmée des nations. La Belgique est non seulement représentative de ce qu’est l’Europe mais elle va comme un gant aux guignols qui pensent encore contrôler quelque chose.

  4. Posté par pierre frankenhauser le

    Que vont encore nous trouver les culpabilisateurs habituels pour tenter de justifier l’inqualifiable ? Qu’en tant que capitale mondiale du commerce de diamant, Anvers aurait le devoir d’accueillir tout les musulmans du Tiers-Moonde, même s’ils ne viennent pas d’Afrique du Sud ?

  5. Posté par Tommy le

    Dans le canton de Vaud, ( en Suisse, pour les internautes ” non- suisses” , je n’ose plus dire ” étrangers”), c’est pareil. La ville de Lausanne, ancien bastion du protestantisme, ne compte plus que 18 % de réformés.

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