Le jeudi 3 mars 2016, à la Faculté de droit de Clermont-Ferrand, et à l’invitation de l’Alliance française, Bernard Lugan devait prononcer une conférence ayant pour thème la Déstabilisation de la Libye, suivie d’une séance de dédicaces de son dernier livre Histoire et géopolitique de la Libye.
Un comité « antifasciste » se réclamant du très actuel « communisme maoïste » ayant appelé à manifester contre la venue du conférencier, Madame le doyen de la faculté, en place d’un solide et salutaire éclat de rire, décida, avec la force de caractère propre à nombre d’universitaires français, d’annuler purement et simplement cette conférence ; qui plus est, au dernier moment. Plus encore, Madame le doyen rendit directement compte aux commissaires politiques qui lui avaient dicté leurs ordres au moyen de l’insolite message facebook suivant :
Indignés de la mise en dhimmitude de leur doyen par une poignée d’énergumènes pensant encore vivre à l’époque du « petit livre rouge », et face à la démission de la bourgeoise Alliance française, les étudiants de Clermont-Ferrand réussirent, dans l’urgence, à louer une salle en ville. La conférence s’est donc tenue quasiment à l’heure prévue, devant un public très nombreux et particulièrement enthousiaste.
Dépités par leur échec, armés de barres de fer, de planches à clous et lançant des pavés, les gentils et doux démocrates du comité « antifasciste » tentèrent alors d’attaquer l’hôtel qui abritait la réunion. Mal leur en a pris après que, spontanément sortis de la salle, des participants les eurent virilement chargés et copieusement corrigés. Pour les trente ou quarante héritiers de Mao Tsé Toung qui avaient tenté l’aventure, la soirée se termina piteusement, par une « longue marche » en forme de fuite panique à travers les rues humides de la cité arverne…
Cette lamentable affaire met certes en évidence la grande faiblesse de Madame le doyen de la faculté de droit de Clermont-Ferrand, mais elle illustre d’abord la superbe capacité de réaction de ses étudiants. Qu’on se le dise !
Bernard Lugan
Des”maos” ? De simples spadassins du système. Car qui a intérêt à ce qu’ on ne rouvre pas le criminel dossier lybien?
Absolument d’accord avec G.Vuilliomenet : ces prétendus “antifascistes” sont d’authentiques fascistes, des démovores (dévoreurs de peuples). Ils sont actionnés par l’oligarchie monopoliste qui les utilise pour provoquer les patriotes. La preuve : ils cassent, font des manifestations interdites, excitent les envahisseurs à des déprédations et agressions, et personne ne leur dit rien.
En tous cas, bravo aux étudiants qui ont fait faire la course à l’échalote aux nazillons maoïstes. Cela donne un peu d’espoir : toute la jeunesse n’est pas pourrie.
Au passage, les universitaires se comportent comme on peut s’y attendre : veules et pétris d’idéologie. Je ne vois pas ce qu’une conférence de B. Lugan, spécialiste de l’Afrique, pourrait avoir de “dangereux” pour leurs chères têtes crépues !
Mais qui pour croire que ces antifascistes sont de bons gars!
Ils sont les bras armés de toute cette vergogne qui ose se présenter comme humaniste , comme gardienne des hautes valeurs de l’Occident. C’est tout simplement une imposture.
Ce sont ces gens qui sont les vrais fascistes, dignes héritiers des plus grands criminels de l’histoire dont certains sont issus du XXème siècle:
http://www.coranix.net/killers.htm