Plusieurs élus ont appelé l’armée au secours pour faire face aux migrants à Calais. Les militaires n’ont pourtant pas les outils juridiques pour répondre à cette crise. A moins que l’on n’anticipe déjà une nouvelle vague migratoire beaucoup plus importante. [...] En l’absence d’une solution politique et administrative, les forces de l’ordre restent impuissantes. Beaucoup […]
Cet article « Face aux 12 millions de migrants qui arrivent, il est possible qu’on déploie l’armée » est apparu en premier sur Fdesouche.
Extrait de: Source et auteur
Suisse shared items on The Old Reader (RSS)
Deux raison pourraient expliquer le reniement du Général. La première et la plus probable étant des pressions voir un chantage issu des squatters de la république, la seconde étant de ménager l’effet de surprise d’une préparation militaire déjà avancée dont il n’avait pas connaissance auparavant.
Face à cette armée d’envahisseurs clandestins, il faudra bien que l’Europe y oppose une armée elle aussi, quelle que soit sa forme (soulèvement populaire général, armées nationales régulières,…).
Actuellement, non seulement la peau de notre continent est devenu une vraie passoire (frontex), mais en plus de cela, les politiques, poussés par le monde économique, ont tué nos anticorps, avec l’espace Schengen. Ainsi, le sida (envahisseurs) ont un boulevard devant eux. En plus de cela, des instances comme la CEDH nous interdit de nous soigner. C’est quand-même un comble. Tenons-nous prêt…
Je ne suis pas sûr qu’un gouvernement socialiste aille au-delà d’une gesticulation. Certes, il faut toujours qu’un État-Major envisage toutes les possibilités d’agression étrangère et élabore des plans en conséquence. Et, en l’occurrence, pas seulement contre la jungle calaisienne, mais contre l’invasion migratoire dans son ensemble.
Mais l’Armée est soumise aux politiques, et singulièrement au “président” de la république, c’est-à-dire à un énergumène idéologiquement marqué par les “droits de l’homme”, le relativisme culturel, l’islamophilie, et de surcroît asservi à l’euro-atlantisme dont, c’est le moins qu’on puisse dire, les intérêts sont diamétralement à l’opposé de ceux de la Nation. Pour reprendre un vieux slogan sino-communiste : “le Parti commande aux fusils”. Il en irait de même si le “président” était de l’autre composante de la caste, l’Herpès.
Par conséquent, il est fort peu probable que le pouvoir politique déploie l’Armée pour stopper l’invasion. Ce serait au Peuple seul, de qui émane tout principe de souveraineté, d’imposer par la force la mise en action de l’instrument de défense nationale qui ne vit que par une fraction dérisoire de l’impôt prélevé sur le travail et la fortune des citoyens.
Mais ce peuple abruti de consommation (plus pour longtemps, les caisses se vident) et de propagande est-il lui-même en mesure d’imposer à l’État qu’il joue enfin son rôle régalien de défense nationale ? Pas dans l’immédiat, je pense. Les idées reçues ont une énorme inertie, il faut du temps pour les éliminer, et l’expérience montre que des expériences tragiques ne suffisent pas à faire avancer les consciences.
Et pourtant, le temps presse !