Christian Hofer: Lettre publiée par Le Courrier, comme si ce tissu de foutaises pouvait être une référence pour les lecteurs. Il y a tellement de stupidités, d'inexactitudes et de niaiseries dans ce texte qu'on se demande si cela n'est pas une farce. Le système félicite ceux qui ont bien appris les "arguments" colportés, même si ceux-ci sont fallacieux, tel un exemple à suivre si on veut être une "personne bien". C'est le même processus que la propagande communiste idéalisant le travailleur acharné (stakhanovisme): un outil fier d'être le parfait résultat de ce que voulait le système. On appréciera l'inversion: les criminels deviennent des victimes, l'initiative devient criminelle (alors qu'elle protège justement les autochtones des risques de récidives élevés). Bref: le bien-être des criminels et de leurs familles avant la sécurité des Suisses.
C’est en général l’appel des œuvres d’entraide ou des Eglises. Et tout à coup nous l’entendons, comme un mantra, dans la bouche des défenseurs de l’initiative sur l’expulsion automatique des criminels étrangers.
C’est étonnant, parce qu’on ne voit pas en quoi cette initiative aiderait les victimes. Au contraire, elle en augmenterait le nombre. Par exemple les enfants de ceux qui, après avoir payé leur dette à la société, seraient en plus expulsés loin des leurs. Ou l’importante vague de chômeurs qu’entraînerait la fin des bilatérales.
Mais il y a plus étonnant. L’UDC ne s’intéresse d’habitude aux victimes que pour taper dessus. Elle s’acharne sur les plus fragiles, les plus pauvres. Elle vise prioritairement les étrangers, surtout ceux qui sont sans protection, surtout les migrants, surtout les requérants d’asile. Elle ne cesse de les calomnier, tout en se moquant de ceux qui se laissent émouvoir par les atrocités de Syrie ou les incessantes noyades dans la Méditerranée.
De même, l’UDC dénigre ceux qui fuient l’esclavage (comme les Erythréens). Inversement, certains de ses membres admirent les dictateurs (Poutine, Göring, etc.) et le conseiller national Nidegger se démène pour empêcher qu’on rende aux victimes des potentats les millions qui leur ont été dérobés.
Alors pensons aux victimes. Vraiment. Et votons résolument non à l’initiative criminelle de l’UDC.
Marc-Henri Lavanchy,
Lausanne
Monsieur Noël Cramer, vous avez raison. Je vais mieux distinguer mes propos du reste des articles.
C’est quelque chose qui me posait problème depuis un moment et sur lequel je me posais des questions.
Le Tagesanzeiger, nous informe aujourd’hui ( http://www.tagesanzeiger.ch/zuerich/verbrechen-und-unfaelle/fluechtiger-ausbrecher-ist-notorischer-sextaeter/story/20546221) que le gentil syrien, qui est parti avec sa geôlière avait déjà par trois fois violé de jeunes femmes en Suisse!
Madame Sommaruga, un demandeur d’asile qui viole trois fois des femmes, qui s’évade bras dessus bras de sous, voilà de quoi votre in-justice est responsable. Là il ne s’agit ni de pommes, ni de roses et encore moins de vol mais de viol ! Vous et vos amis, volontairement ou involontairement, banalisez le viol, le vol est lui un classé comme manque d’éducation. Vous êtes vous et vos amis responsables de cette industrie qui banalise le crime et n’apporte aucune aide aux victimes. Combien d’argent reçoivent les criminels et combien reçoivent les victimes ou leurs familles? Vous avez raison, ce n’est pas le chaos qui règne, c’est le merdier qui règne dans notre pays.
Le Courrier est la Pravda du parti socialiste, un journal enfoui dans la poche du loden des bobos avant d’aller faire son marché à la rue de Bourg.
Y a-t-il un pays au monde, à part la Suisse, qui s’offusque du fait de vouloir protéger ses citoyens au détriment des crapules venues de l’étranger?
Le pays de la Croix-Rouge n’ a pas pour mission divine de faciliter l’existence des criminels, cela serait plutôt le rôle du Croissant Vert. Ils seraient entre coreligionnaires, de plus.
Évidemment, les thuriféraires de la bien-pensance, vivant dans les beaux quartiers , ne sont jamais confrontés au quotidien à l’insécurité, pour employer un euphémisme, provoquée par l’arrivée sur notre sol de coutumes issues du Bas Moyen-Age.
Il est toujours facile d’être xénophile lorsqu’on peut éviter d’en subir les conséquences.
Le droit à la sécurité n’est une notion ni de gauche, ni de droite. C’est un droit élémentaire, comparable à l’eau potable. Est-on un fasciste si l’on exige de pouvoir déambuler tranquillement dans les rues de nos villes?
Un pere de famille est-il un Waffen SS s’il exige que le violeur de sa fille soit expulsé, quand bien même ” il n’a pas de famille dans son bled de bédouins”?
Je pense que bon nombre de défenseurs de l’Etat de Droit (droits pour qui?) seraient bien empruntés face à ces questions!
On retrouve ce genre de commentaires “cons” dans La Liberté Fribourg du 10 février…
Vous les femmes qui êtes harcelées, touchées, voire violées physiquement, vous êtes les provocatrices, celles à punir … Voilà le genre de raisonnement de ces milieux relevant de la haute trahison. Dito pour le volé, l’agressé qui deviennent les coupables. l’ex-URSS n’a jamais fait mieux dans le genre.
moi j’ai voté oui, mon fils a voté oui, mon beau-frère et ma belle-soeur naturalisés ont voté oui…
Je ne sais pas ce que ce brave pasteur a fumé, mais au niveau du raisonnement il se prend joyeusement les pieds dans la moquette. C’est toujours la même dérive qui fait des criminels des victimes, et des vraies victimes des nantis. Il serait temps de cesser cette inversion des valeurs.
Les criminels sont des salopards. S’ils ont étrangers, ils purgent leur peine, puis on les renvoie. S’ils ont des enfants, le problème se réglera au cas par cas. Le bonheur d’un enfant ce n’est pas de vivre en famille avec un père criminel, il faut oublier ces représentations idéales de la famille.
Manifestement, l’église et ses bien-pensants versent dans les mêmes dérives que les autres bobos de gôche. On constatera que ces organisations complices des criminels ne comprennent pas pourquoi elles sont de plus en plus isolées. Les églises se vident aussi vite que les militants désertent le PS. Parce que tendre la joue gauche ou ignorer les viols de nos femmes et de nos filles n’est pas acceptable. Quitte à passer pour un horrible intolérant, j’affirme que si je vois une personne se faire agresser, la seule réponse c’est la force.
Et non des “solutions” socialisantes comme un petit livre qui indique aux réfugiés comment se comporter. Répondre “Dieu est amour” ne fonctionne pas non plus.
Pasteur, socialistes ou petits chats, ils faudra bien un jour qu’ils ouvrent les yeux!
Les criminels sont dans le camp du Courrier ! C’est vraiment de plus en plus à dégobiller !!!
Tout à fait d’accord avec Christian Hofer !
Mais le fait que ce qui suit son commentaire est la citation du texte de M.-H. Lavanchy n’est pas clairement mis en évidence et peut rendre perplexe le lecteur peu attentif…
On peut le rappeler encore une fois.
Les cons ça ose tout.