Suisse : L’arrivée de réfugiés fait déborder l’hôpital psy

La clinique de Belle-Idée, à Genève, sature notamment du fait de l’afflux de requérants d’asile fragilisés dans leur parcours de vie.

Guerre, prison, torture, voyage éprouvants ou encore désillusion à l’arrivée: autant d’épreuves qui fragilisent les migrants qui se rendent en Europe. Au final, les plus touchés sont parfois hospitalisés en hôpital psychiatrique. Celui de Belle-Idée, à Genève, sature depuis bientôt deux ans, rapporte la «Tribune de Genève». Le chef du département de santé mentale des HUG fait état d’une «surcharge chronique de 45 à 50 personnes surnuméraires qui se traduit par des lits dans les couloirs».

20min.ch

A relire: Suisse: Les réfugiés surchargent les institutions psychiatriques « Leurs soins sont très coûteux »

7 commentaires

  1. Posté par Johan le

    @sophie edouard le 4 février 2016 à 17h46
    Attention, comme l’hôpital engage des médecins étrangers et demi-suisses aux diplômes de qualité douteuse, la pléthore de bavures oblige à ce que les communications soient hyper surveillées pour éviter les fuites. Ne mettez pas en péril votre emploi. Pour ces infos utilisez du matériel en dehors de celui de l’administration et des astuces pour assurer votre anonymat. Toujours vérifier à ce que soit réellement le cas, des petits malins vous proposant n’importe quoi !
    En fait vos “clients” ne sont pas des Turcs mais très vraisemblablement des Kurdes, dont les agitateurs squattent Genève depuis une vingtaine d’années, grâce aux gauchos de la ville. Un des leurs a été arrêté, emprisonné en Turquie, puis libéré et retour à Genève. Parce qu’ils sont pas plus gentils que l’Etat islamique dans leurs attentats. Il y a de sérieux terroristes dans cette mouvance crypto-communiste ayant été soutenus en Europe comme il se doit par une femme… avant son décès , l’officielle de Mitterrand.

  2. Posté par Icing le

    Voilà encore une preuve que ” c’est une chance pour la Suisse , un enrichissement ” merci le bisounours

  3. Posté par Bussy le

    Désillusion à l’arrivée…. dans ce cas, la thérapie est vite trouvée… retour au bled !

  4. Posté par aldo le

    Il me semble avoir déjà lu et dénoncé ces dérives qui consistent transformer la médecine pour soigner tout ce qui arrive clandestinement en nos murs. Vos primes maladie n’arrêtent pas de monter pendant que les prestations baissent dangereusement, au point de mettre la vie, la sécurité et la santé publique en péril. Ne cherchez pas plus loin, les voyous socialo-écolo-pastèques sont en premières ligne dans ces catastrophes annoncées. Pour cacher toute cette comptabilité occulte du coût des migrants, la Dreifuss a institué l’obligation de s’assurer ce qui implique de prendre tout ce qui arrive en matière de sauvagerie et de faux-réfugiés.

    LES PRIMES DES CAISSES MALADIE SONT DONC BIEN UN, PARMI LES IMPÔTS CACHES AU BÉNÉFICE DE L’IMMIGRATION.

    Cette situation démontre bien que ces pays crapuleux déversent par millions une grande quantité de tarés, de cas sociaux, de criminels en vidant leurs hôpitaux, leurs prisons etc. le tout pour suppléer aux fonds qui ne sont plus versés par les roitelets du Qatar, de l’Arabie saoudite etc., suite à la chute des prix du pétrole. Leurs intérêts et ceux de leurs population priment, alors que chez nous se sont les nantis du systèmes qui se sucrent en se planquant dans des activités qui génèrent toujours plus d’impôts et de taxes.

  5. Posté par sophie edouard le

    Nous, maintenant, le centre des requérants d’asile suisse nous envoie des turques en consultation… franchement de qui se fout-on? Pour ma part, pas encore vu un seul syrien…

  6. Posté par bigjames le

    Sans passer par la case “déséquilibrés”. C’est très fort.
    Nos vieux séniles resteront sur liste d attente. Priorité aux chances pour la Suisse.

  7. Posté par Nicolas le

    Un renard cherchera toujours à pénétrer dans un poulailler, c’est dans sa nature et on ne peut pas l’en blâmer. Mais que dire de l’enfoiré qui lui ouvre la porte et le laisse entrer, puis empêche l’éleveur de l’en chasser. Le véritable ennemi doit être combattu avec la dernière énergie et la plus grande fermeté, avant que nous ne soyons submergés et anéantis par ses protégés.

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