Sous le titre "Y a-t-il un Suisse pour lancer sa boîte?" le magazine télévisé Temps Présent lança jeudi 28 janvier un sujet bien polémique sur la relation entre les Suisses et les étrangers établis en Suisse, attaquant selon l'angle de la création d'entreprises:
Les immigrés en Suisse sont deux fois plus entreprenants que les Suisses de souche. C’est le constat surprenant fait par une étude de référence. On sait que la Suisse est l’un des pays d’Europe où le taux de chômage est le plus bas. On sait aussi que les créations d’entreprises, et le tissu de PME qui en résulte, explique en bonne partie cette belle santé du marché de l’emploi.
On sait ceci. On sait cela. De ces affirmations sur lesquelles j'aurai l'occasion de revenir, la présentation se permet ensuite de livrer son verdict avec la subtilité du rouleau-compresseur:
C’est un fait : les immigrés sont plus audacieux, plus créatifs, et plus prompts à passer à l’acte que les Suisses.
Dont acte. La supériorité est gravée dans le marbre. Les Suisses, tellement inférieurs aux immigrés! Le tout étant présenté comme un fait absolument indiscutable. Voudrait-on encore nous faire avaler les innombrables avantages de l'arrivée d'étrangers de toute sorte, des faux migrants aux criminels? À quelques semaines des votations du 28 février, difficile de penser autrement. Mais l'entame du reportage donne l'explication: il s'agit seulement d'une campagne de propagande à posteriori visant à culpabiliser le bon peuple contre l'Initiative contre l'Immigration de Masse qu'il a eu le malheur d'approuver.
"Il y a près de deux ans, le 9 février 2014, le peuple suisse votait contre l'immigration de masse, avec l'espoir notamment de protéger ses emplois contre la concurrence étrangère. Il ne devait pas avoir toute l'histoire en tête."
Qu'il est benêt ce peuple! Mais réjouissez-vous, la leçon de morale est payée avec votre redevance...
Le prochain Steve Jobs sera migrant syrien ou ne sera pas
Le reportage entier fait reposer son postulat sur une étude du Global Entrepreneurship Monitor de 2012, partiellement réalisée par sondage et présentée comme une étude de référence, pour lui faire résumer la chose ainsi:
Sur cent Suisses, il y a exactement cinq créateurs d’entreprise. Alors que sur cent immigrés de première génération, il y en a 9,1 : presque le double. Pour cent immigrés de deuxième génération, il y en a huit. Autrement dit, plus on est Suisse, moins on est entreprenant.
Même en cherchant dans la base de statistiques du site, impossible de trouver des données pour des immigrés de première ou deuxième génération. Mais acceptons l'idée: les immigrés créent plus d'entreprises en Suisse que les Suisses eux-mêmes. Est-ce vraiment parce que, comme l'affirment les journalistes de Temps Présent dans un raccourci volontairement insultant, "plus on est Suisse, moins on est entreprenant"?
L'étude comparative de la population suisse avec celle des pays voisins ne montre pas vraiment cela. En prenant une statistique vraiment significative comme le pourcentage de personnes de 18-64 ans vivant de leurs entreprises depuis 3 mois mais moins de 3 ans et demi (indicateur "KN.A7"), soit les gérants de jeunes pousses, on voit que la Suisse s'en sort plutôt bien:
Taux de propriétaires de jeunes entreprises en % de la population
Mais en y réfléchissant, le graphique introduit un problème curieux: les pays frontaliers de la Suisse, fournisseurs des plus gros contingents d'immigrés présents dans le pays, montrent moins de jeunes entrepreneurs qu'en Suisse. Non seulement c'est contrairement à l'affirmation réductrice de Temps Présent, mais cela nous amène à un paradoxe apparent: comment des gens issus de population plutôt moins tournées vers la création d'entreprise deviendraient subitement des entrepreneurs féconds une fois arrivés ici?
Se pourrait-il que la Suisse suscite la vocation des nouveaux venus? Ou que les immigrés aient une nature différente de leur population d'origine? Et si la vérité tenait un peu des deux?
La Suisse, favorable aux entrepreneurs de toutes origines...
La Suisse constitue depuis des siècles un terreau favorable aux entrepreneurs. La tradition helvétique du droit de propriété et sa démocratie directe contrecarrent les volontés de spoliation les plus excessives de la frange jalouse de sa classe politique. Malgré des dérives récentes, elle se situe encore dans les premières places des classements internationaux de liberté économique. Elle reste l'un des pays les plus industrialisés du monde.
Ce terreau favorable suscite depuis longtemps les vocations. Sachant qu'ils pourront compter sur une main-d’œuvre de qualité et un cadre législatif favorable, de nombreux immigrés fondent leur entreprise dans le pays, générant dans leur sillage la prospérité pour tous. De Nicolas Hayek, fondateur de Swatch Group, à Stefan Kudelski, fondateur de Nagra Kudelski Group, bien des grands noms d'origine étrangère méritent tous les lauriers. Le reportage de Temps Présent fait d'ailleurs la part belle à ces entrepreneurs étrangers en donnant la parole à quelques-uns de ces précieux individus.
Reste que le cadre suisse n'explique pas la différence de comportement entre les autochtones et les immigrés. Selon moi, la raison se trouve ailleurs: de part leur nature, les immigrés sont des individus un peu plus entreprenants que la moyenne et transmettent dans une certaine mesure ce trait de caractère à leurs enfants. Pas dans des proportions incroyables, mais suffisantes pour être statistiquement significatives. Un individu capable de prendre la décision de quitter son pays aura probablement une attitude plus volontariste envers la vie en général, ce qui peut l'amener à tenter sa chance en fondant sa société un peu plus qu'un individu lambda.
Là encore l'affirmation doit être tempérée par un sérieux bémol, car mettre tous les étrangers dans le même panier est une grossière simplification. Les explications précédentes ne valent sans doute que pour des individus déjà capables de travailler dans un pays donné, par exemple. Si vous êtes illettré, débutant dans la langue locale, ou d'une culture radicalement différente du cru, vous aurez peu de chance d'être couronné de succès dans votre création d'entreprise - à supposer que vous parveniez à engager les démarches administratives pour la fonder. Les statistiques de création d'entreprise par la "manne" des migrants de Syrie ou d'Irak ces prochaines années seront certainement instructives.
Les étrangers en Suisse ne sont pas des individus supérieurs ; à la marge, face à la création d'entreprise, une petite partie d'entre eux est plus susceptible de passer à l'acte. Ce trait de caractère n'est pas lié à leur statut légal mais à leur état d'esprit, et cela affecte aussi... Les Suisses! Nous avons de sérieux indices de cette différence en contemplant, tout simplement, les expatriés helvétiques eux-mêmes.
...Et les Suisses, des entrepreneurs!
Si les individus qui changent de pays sont plus susceptibles de devenir des entrepreneurs, cela doit aussi être vrai des Suisses qui choisissent l'émigration. Y a-t-il des individus de la trempe d'un Louis Chevrolet de nos jours?
Il n'existe malheureusement pas de statistiques sur les entrepreneurs suisses de l'étranger. Ni le site des Suisses de l'étranger, ni le média public SwissInfo, ni l'Office Fédéral de la Statistique ne maintiennent ce genre d'information. Tout au plus l'OFS se contente-t-il d'agréger péniblement les chiffres de présence de ressortissants helvétiques dans chaque pays, mais même là, identifier correctement les émigrants s'avère une tâche difficile puisqu'on peut compter de nombreux cas de double-nationalité retournant dans leur pays d'origine.
Entre un Suisso-péruvien revenant dans son Pérou natal pour y couler une douce retraite ou une famille genevoise s'offrant une maisonnette en France voisine, il est difficile de tracer le véritable contour d'une émigration volontaire, miroir de l'immigration reçue par la Suisse ces dernières décennies.
Nous avons malgré tout de petits indices du comportement des Suisses à l'étranger, par exemple à travers la série documentaire "Bye-bye la Suisse" de la RTS. La série relate les péripéties de familles suisses quittant le pays pour une vie plus exotique. L'émission en est à sa cinquième saison et montre avant tout des entrepreneurs. D'un magasin de surf à l'hôtellerie en passant par la construction de bungalows, personne ne cherche un emploi salarié traditionnel.
Ailleurs, des paysans suisses lancent de vastes exploitations agricoles en profitant de terrains moins chers. Là encore, des entrepreneurs.
Quitter la Suisse implique de laisser derrière soi un pays à haut niveau de vie. Il y a énormément de raisons personnelles de le faire (l'appel de l'océan par exemple) mais pour la recherche d'un poste de salarié bien payé, cela n'a pas grand-sens. Si un jour des statistiques détaillées sont disponibles pour des Suisses émigrés et sans double nationalité au moment de leur départ, je mets ma main au feu que la proportion de créateurs d'entreprises parmi eux sera bien plus élevée que celle des immigrés arrivant en Suisse. Elle pourrait même être écrasante.
Faux procès en culpabilité
Temps Présent se garde bien d'évoquer les créations d'entreprise par des expatriés suisses ; cela contreviendrait au message si lourdement martelé. Mais l'émission s'éloigne encore d'un compte-rendu correct de la situation en évoquant les chiffres de l'École polytechnique de Lausanne sur la distribution de bourses Innogrant. Dévoilons le paragraphe en rapport:
[L'EPFL] essaye de favoriser le lancement de sociétés exploitant des découvertes issues de ses laboratoires. Un système de bourses, Innogrant, a été mis sur pied. Le système fonctionne, mais il n’est pas pris d’assaut, et, de manière plus nette encore, les Suisses se font tirer l’oreille. Sur 82 bourses accordées depuis 2005, seules 23% ont été attribuées à des autochtones. Les autres viennent du reste de l’Europe, pour 58% d’entre eux et de pays extra-européens pour 19%.
Les proportions annoncées sont rigoureusement exactes, on les retrouve page 24 de la présentation du programme. Mais elles ne dévoilent pas toute la réalité. Pour la comprendre, il faut creuser dans les statistiques de l'EPFL elle-même. Prenant par exemple les chiffres 2015, ces derniers montrent que 42% des étudiants en Bachelor ou en Master sont étrangers. Mais pour les étudiants en fin d'études, les doctorants, la proportion d'étrangers monte à 80%. Cette proportion est stable.
Or, la création de start-up basée sur des résultats de recherche est typique de cette catégorie de personnes. Un ingénieur fraîchement diplômé se mettra probablement en quête d'un emploi. Un étudiant-chercheur, lui, effectuera des travaux en laboratoire jusqu'à trouver quelque chose d'exploitable, et se lancera peut-être ensuite dans la création d'une micro-entreprise pour faire fructifier ses découvertes. Ce genre de parcours est répandu et encouragé au sein de l'EPFL.
Il n'y a rien de honteux à voir les Helvètes ramasser 23% des bourses d'un programme d'aide lorsqu'ils constituent seulement 20% de la population susceptible de les recevoir.
Peut-être Temps Présent n'a-t-il pas cherché à creuser plus avant, l'analyse superficielle du programme Innogrant correspondant trop bien au message à faire passer. Mais la réalité est nettement plus nuancée que le portrait de Helvètes qui auraient "indubitablement plus de peine à se lancer que les immigrés," comme l'affirment les journalistes...
Les immigrés entreprenants, et les autres
Le postulat du documentaire de Temps Présent est que les Suisses ont eu tort d'approuver l'initiative UDC du 9 février 2014 contre l'Immigration de Masse sur le plan de l'emploi. Les immigrés qui ne viendront pas ne fonderont pas d'entreprises, forcément.
Reste à savoir de quelles entreprises l'on parle. L'imagination joue des tours. Selon les statistiques sur les entreprises, 92,3% des sociétés suisses sont des micro-entreprises avec moins de 10 employés. Ne serait-ce qu'à cause de leur jeunesse, la plupart des entités créées par les immigrés appartiennent à cette catégorie. Les exemples choisis par Temps Présent sont des exceptions, choisis à dessein pour renforcer le message.
Le procès du 9 février est particulièrement mauvais parce que l'intérêt économique de la Suisse était la seule notion préservée dans le cadre du contrôle migratoire. Par ailleurs, l'Initiative contre l'Immigration de Masse s'inscrivait dans un cadre beaucoup plus vaste. Elle concernait certes l'installation professionnelle, mais aussi les travailleurs frontaliers, les requérants d'asile, les immigrés venus en Suisse au nom du regroupement familial (dont beaucoup ne travailleront jamais), et enfin la volonté de reprendre une politique migratoire autonome face à l'Union Européenne - autant d'aspects évidemment éludés dans le documentaire.
La classe médiatique continuera encore longtemps à clamer que la Suisse a jeté le bébé avec l'eau du bain le 9 février ; mais sachant que la population étrangère souffre d'un taux de chômage double des autochtones, même le volet économique ne peut pas se réduire aux simples créations d'entreprise. Les entrepreneurs étrangers, toujours bienvenus, ne peuvent pas faire complètement ignorer les autres aspects d'une immigration incontrôlée, qu'il s'agisse des criminels, de la charge sur les mécanismes sociaux ou de la qualité de vie.
Reconnaissons à Temps Présent le mérite d'avoir fourni sur ce thème un angle d'attaque original. Sur le fond, en revanche, rien de nouveau.
Stéphane Montabert - Sur le Web et sur Lesobservateurs.ch
Chers internautes,
Après la 9eme édition du FIC (Forum International sur la Cybercriminalité) qui s’est tenu les 24 et 25 janvier 2017 à Lille, plusieurs résolutions ont été prises. En effet l’internet est devenu un vecteur de communication d’une puissance jamais atteinte. Ces aspects positifs ont cependant un revers. La facilitation dans un total anonymat, de nombreuses formes de délinquance telles que : l’escroquerie, l’usurpation d’identité, vols de numéros de cartes bancaires, piratage ont été développé.
Il existe en France comme dans les autres pays de nombreuses victimes. Face à cette menace, il a été donc décidé d’accroître la coopération entre toute victime ayant porté plainte et les acteurs de lutte contre la cybercriminalité dans l’anonymat total afin que ces réseaux soient démantelés.
Toute victime ayant porté plainte avec preuve à l’appui et qui aurait collaboré avec les agents assermentés de lutte contre la cybercriminalité afin que ses escrocs soient arrêtés sera remboursée et dédommagée, alors nous exhortons à toute personne ayant été victime de quelque nature d’avoir le courage de porter plainte car il est encore possible pour eux de récupérer ce qui leur a été frauduleusement soutiré
Adresses mails : [email protected]
Faites-nous confiance et nous allons vous redonner vie !!!
Bonjour
[email protected] [email protected]
Je me nomme GOUSSE je me suis fait arnaquer par une personne sois disant habitant en Afrique .Je devais bénéficier d’un héritage de 550.000€ je lui et envoyer trois mandat western union l’un de 4600€ pour les dossier puis d’autres mandat au total j’ai perdus plus de 18500€ et une office Régionale de Répression Contre la Cybercriminalité (ORRCC) basée en Europe en canada et en Afrique travaillant avec l’interpole du monde entier ; m’avais aidé a récupéré mes fonds par la grâce d’un de leur commissaire Mr Walter PENA. Alors n’hésitez pas à les contacter si vous aviez été victime de n’importe quelle escroqueries comme moi ou d’une arnaque aux sentiments, héritages, bancaires, de prêt entre particulier des mariage gris ou encore tout autre arnaque à leur adresse ils vous aideront à mettre la main sur votre escroc et engager les procédures pour votre remboursement ainsi qu’un dédommagement selon le cas
Voici leur contact Email:
[email protected] [email protected]
Contacter les si vous avez aussi perdu de l’argent avec ces escrocs Merci
On sait bien que la physique mathématique, le calcul différentiel, la logique mathématique de premier ordre et tous les développements en logique mathématique sans lesquels il n’y aurait pas de programmes pour ordinateur, la machine de Turing, la théorie des ensembles, les géométries non-euclidiennes, la théorie des trois pouvoirs (un des fondements de la théorie démocratique), l’état de droit, toute l’infrastructure physique (à commencer par cette simple chose, notre système routier), légale et politique de nos pays (sans laquelle il n’y aurait pas une entreprise au sens contemporain du terme), tout cela et davantage a été volé aux Africains et aux bédouins du désert par nous les Européens.
Nous ne sommes que de misérables raclures blanches, nous n’avons rien inventé, nous sommes des nuls sans ambition, et, de surcroît, des salauds de colonialistes.
http://www.rts.ch/emissions/temps-present/7445114-le-jour-ou-mon-voisin-a-vote-udc.html
“On y voit une famille entière séparée par la politique: les parents à gauche et leurs deux fils à l’UDC !”
“Nul n’est prophète en son pays”. Comme cela a pu être dit dans cet article, les immigrants sortant de leurs zones de confort, ils continuent dans la foulée en créant une entreprise. Après il faut pas se leurrer, dans ce genre de statistique le créateur de kébab, le jeune docteur sortant de l’EPFL et le graphiste freelance sont sur le même plan.
Selon moi,une des raisons qui pousse les immigrés à créer leur boite c’est parce qu’ils n’arrivent pas à s’intégrer alors ils n’ont d’autre choix que de créer leur propre job. Le jeune suisse qui a fait son apprentissage et qui se voit proposer l’emploi le refuserait-il pour une hypothétique rémunération plus importante à plus long terme ?
Aujourd’hui, depuis l’ère Google, Apple et Microsoft; on bave sur les entrepreneurs milliardaires partis de rien, mais il ne faut pas oublier qu’auparavant un entrepreneur était soit un simple artisan ou bien des gens qui avaient la capacité de concentrer énormément de capital car ils avaient la confiance des banques et ils venaient du milieu bourgeois (Rockfeller… )
Je ne sais pas qui regarde encore cette chaîne ? Personnellement, je ne connais même plus son numéro sur la télécommande. Par contre, le fait qu’elle prenne cause pour les étrangers, comme par hasard juste avant une votation, ne m’étonne même pas. Le monde entier connaît leur honnêteté intellectuelle. Par contre, ce que ne dit pas cette émission à la con, c’est que les immigrés sont venus en Suisse une fois celle-ci riche et pas avant. On peut donc en déduire que le pays était déjà prospère avant l’arrivée d’étrangers, si imaginatifs, courageux et ambitieux. Toutefois, dommage pour eux qu’ils n’aient pas fait usage de ces qualités pour remonter le brillant niveau de leur pays d’origine avant que celui-ci sombre. Curieux quand même…
@ M. Montabert: votre coup de colère peut se comprendre, mais je suis d’avis qu’il ne sert à RIEN. Il apparait évident à toute personne dotée d’un peu de bon sens, qu’un(e) immigré(e) qui est sorti(e) de sa zone de comfort sera naturellement un peu plus “entreprenant(e)”. Vous le dites vous même dans votre billet.
Nous avons un long texte qui critique une émission de la rts (minuscule !). Ceci génère une publicité inutile à cette institution qui ne la mérite d’aucune manière. Contentons nous d’ignorer cette chose.
Un verdict rendu par le Tribunal Temps présent avec la «subtilité du rouleau-compresseur». C’est absolument vrai mais là, les producteurs et journalistes-propagandistes de la RTS ont commis une magnifique boulette: cette propagande était tellement assourdissante qu’elle se discréditait elle-même au fil de l’émission tout en rajoutant une preuve supplémentaire flagrante aux méfaits des émissions d’«info» de la RTS. Mais la solution ne viendra pas que de No Billag, il faudra exercer des pressions sur vos élus à Berne lors du débat sur la redéfinition des devoirs de la SSR.
Donc suivant le TP, les Suisses seraient une sous race et des fainéants ? Billag, svp que du oui. Il faut vraiment couper les vivres à ces manipulateurs.
Qui regarde encore cette émission bidon avec des journaleux très peu professionnels? Un grand OUI au No Billag!
Dans cette émission alibi propagandiste ayant pour but de glorifier les étranger entrepreneurs, pour mieux taire leurs entreprises criminelles qui méritent l’expulsion. Je suppose que parmi les très rares Suisses entreprenants on a traîtreusement écarté Chr. Blocher. Comme quoi à la RTS le déni des réalités est un acte de propagande permanente. Qu’on élimine cet infâme impôt Billag RTS aux prochaines votations. Ils ne méritent que d’être payés avec des billets de Monopoly ces falsificateurs de l’anti-Suisse. Ils doivent déjà bien recevoir quelques cadeaux de l’Europe, non ? Pour être pareillement à sa botte ! Comme dénoncé ici http://lesobservateurs.ch/2014/03/06/dominik-feusi-seuls-20-derasmus-servaient-aux-echanges-universitaires-audio/
Quelles entreprises créent les étrangers préférés de la RTS ? Des kebabs, des laveurs de vitres, des restaurants, des boutiques, des entreprises de travail temporaire et de vente, et surtout des entreprises du bâtiment. Et dans ce mélimélo qu’elle est le point commun ? La main-d’œuvre étrangère, au noir de préférence ! Ce fil conducteur démontre que ces étrangers ne viennent pas tous les poches vides. Le différentiel de prix entre la Suisse et l’étranger est aussi un aspirateur pour des profiteurs qui s’insèrent dans les monopoles de faits et qui noyautent les prix. Et surtout pas pour créer de la concurrence, mais pour vivre sur notre dos. Nombres de ces entreprises étrangères peuvent être qualifiées d’éphémères, elles sont nombreuses et vite remplacées par d’autres. On ne s’improvise pas commerçant sans avoir un bagage minimal. Mais leur nombre peut faire illusion.
Ces “entrepreneurs” servent aussi à planquer l’argent des mafias qui commettent des délits à l’étranger. On voit bien que toutes ces boutiques peuvent être de belles blanchisseries. Une façade officielle, des clients rares, une comptabilité fictive et le stock vendu en réalité au noir hors taxe aux réseaux des fripiers et autres marchands puciers. Et derrière une entreprise qui trafic avec les drogues, le proxénétisme etc. Sans compter ceux qui deviennent fonctionnaires et dont l’épouse ouvre une petite boutique crevotante, juste pour pouvoir éponger quelques coûts et mettre le leasing de la Mercedes à charge de l’entreprise, donc au frais des autres contribuables.
En plus comme la préférence étrangère n’est pas un mythe et que des “mafias” ethniques se constituent pour se réserver des appartements bon marchés, et toute sorte d’avantages pas toujours connus. C’est aussi sans compter les entreprises de la sous-location exploitées par des segondos, qui finissent conseiller d’Etat et donneurs de leçons. Il y a aussi celles qui s’endettent un maximum, font une faillite frauduleuse, mettent la clé sous le paillasson et dont les acteurs sont repartis les poches pleines dans leur pays d’origine. Les salaires restants étant alors payés par les Suisses encore majoritaires, qu’on surcharge de taxes et d’impôts pour glorifier ces étranges entrepreneurs étrangers, finalement à notre charge.
Vous avez aussi toutes ces entreprises étrangères africaines qui louent des containers et les réexpédient dans leurs pays d’origine avec des tonnes de biens tels de voitures volées, des objets usuels tous provenant de vol, d’exactions, d’escroqueries etc.
Et toutes ces baudruches-là, la RTS totalitaire et intoxicatoire s’est bien gardée d’en parler.
Nous, Suisses, nous sommes bien entendu des retardés. La salut économique est redevable à l’Immigré. Voilà ce que je ressentais instinctivement à l’annonce de cette émission de Temps Présent. Emission qui bien entendu oublie d’analyse la question de l’Alpha à l’Omega. Signe supplémentaire du gauchisme ambiant, assimilable à la haute trahison envers le peuple suisse, lequel depuis 1291 a fait preuve de sa détermination,. de son intelligence, de sa vivacité.
Ce sujet TP est une honte, quand on analyse le résultat de cette créativité étrangère supérieure à la nôtre. Plus de Kebab, oui, plus de magasins semi-éphémères, oui, beaucoup de faillites personnelles., de magouilles relatées hebdomadairement dans les FOSC. TP déshonore l’étranger honnête, entreprenant. TP déshonore le citoyen suisse, avec ses reportages insidieux, gauchistes.
Le Suisse entrepreneur est emmerdé par une bureaucratie crasse, tandis que l’Etranger s’installe sans demander quoi que ce soit, en fonctionnant sur des principes mafieux.
Et nous serions les dindons de cette farce gauchiste tant prisée par la RTS ? NON, la Suisse n’a pas attendu l’islam et le faux réfugié pour prospérer.
LA RTS DOIT COMPLETER SON ENQUETE ET ABORDER L’EQUITE DE TRAITEMENT. IL Y A CRIME DE HAUTE TRAHISON. ,L’ETRANGER EST MILLE ET UNE FOIS BIENVENU EN SUISSE LORSQU’IL RESPECTE NOS REGLES, LOIS, REGLEMENTS. MAIS LES INTRUS … GO HOME.
Encore cette autoflagellation calviniste typique de l’Occident.
Nous sommes pires que tout, c’est bien connu.
L’Autre a tant à nous apporter, ses mœurs et coutumes nous démontrent à quel point nous ne sommes que des apprentis face à un maître répandant sa science sur l’Univers.
Pourquoi les entreprises européennes ne délocalisent elles jamais en Afrique, sauf pour la fabrication de babouches ou de t shirts?
On pourrait tant s’inspirer de la Silicon Valley de Ouagadougou!
Je n’ai pas vu l’émission mais connaissant l’objectivité de la RTS ?! Et si ces migrants venaient en Suisse exprès pour créer leur entreprise? La Suisse grâce à des générations de suisses, grâce à sa démocratie directe et sa souveraineté, est le meilleur pays en Europe pour créer son entreprise, assurer un avenir à ses enfants et épargner pour sa retraite (The Economist 2013). Voilà une bonne raison pour qu’il y ait + d’entrepreneurs d’origine étrangère => voir Temps Présent sur le travail des frontaliers en Suisse ds qqes semaines en arrière : entreprise horlogère au Jura avec patron et ouvriers français, à 2 km de la France mais en Suisse.CQFD
On connait tous les grandes marques automobiles africaines.
L’aéronautique du moyen-orient fait de l’ombre à Boeing et Airbus.
Les gratte-ciel monumentaux de Nairobi sont construits par des architectes africains dont la renommée est planétaire.
Le train reliant le Cameroun au Niger est une merveille de technologie sortie tout droit des écoles d’ingénieurs africaines.
Ils sont forts ces entrepreneurs étrangers….que ferait-on sans eux ? Je vous le demande ?
Si l’initiative visant à abolir la redevance radio-TV venait à passer et à être appliquée (pas comme les autres), et que la RTS doivent virer des centaines de ces blancs becs, on verra quel sera le pourcentage de Suisses, parmi les infortunés journalistes bienpensants, deviendront réellement entrepreneurs.
Le Haut-Valaisan César Ritz a créé, au tournant du XIXème et du XXème siècle, des hôtels de luxe dans des grandes villes comme Paris, Londres, New York ou Le Caire. Le designer lausannois Yves Béhar connaît un grand succès avec la société employant aujourd’hui une cinquantaine de personnes qu’il a créée à San Francisco.
On se réjouit de voir combien d’emplois seront capables de créer, en Suisse et en Europe, les migrants clandestins actuels lors de ces prochaines décennies, par rapport au nombre total de ces envahisseurs.
Parlons aussi de la proportion de Suisses et de musulmans parmi les criminels ou les assistés, et vous verrez que la créativité des étrangers ne concerne pas vraiment le domaine de la création d’entreprises !
Je n’ai pas vu l’émission , mais rien que la promotion qui en a été faite les jours précédents m’a suffit ! Promotion que l’on peut résumer à ceci : les Suisses sont nuls, le pays a été construit et s’est développé grâce aux immigrés, les Suisses eux sont restés les bras croisés de génération en génération…..
Mais une question quand même: pourquoi ces immigrés n’ont-ils pas créé des entreprises, n’ont-ils pas investi dans leur pays ?Ah.. il y avait des problèmes dans leur pays ? Ah bon ..
Et connaît on le nombre de boite crée par ces étrangers, qui une fois partie en faillite décampent dans leur pays d’origine en laissant des ardoises partout ?…..connaît on le nombre de ces boites ou c’est que des “cousins-cousines-frères en vacances” qui bossent pour 30.- par jour et que l’on renouvèle tous les 3 mois ? (les Kebab par exemple)…le suisse, lui, paye et se tait et si par malheur, il part en fumée, il fini à poil !
“…la RTS ment, la RTS est pro-migrants…” De plus, il n’y a qu’à voir comment la start-up Les Observateurs est, a été, et sera traitée par les “firmes” locales. Qui a envie d’entreprendre quoi que ce soit dans un environnement aussi délétère? Autant aller louer des pédalos à Phuket.
J’ai ouï dire que les migrants avaient un talent particulier dans le domaine audio visuel, et qu’ils foisonneraient d’idées innovantes pour rajeunir les médias dominants et poussiéreux de leurs pays d’accueil à un coût très raisonnable, et vu d’où ils viennent ils pourrait nous offrir une véritable information de qualité eux !
Partout, on ne fait que nous mentir, donc méfions-nous de tout, de chacun, des autres….