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Je suis entrepreneur et Biver m’a toujours impressioné. Je ne comprends pas cette obstination gauchiste des journalistes, ce bien pensant aveugle qui nous conduit vers 2 issues catastrophiques. J’espère que le 28 cette mise en application passera.
Merci M. Biver, la Suisse a encore des gens qui savent analyser et tirer des conclusions adéquates pas comme certains au Cf et anciens du CF du type Couchepin ou Dreyfuss et Cie.
Et ce soir sur forum les journalistes sont revenus sur les dires de Mr. Biver en disant qu’il n’a pas dit ce qu’il a dit, mais qu’il avait dit etc. etc….
Bravo M.Biver. Bel exemple de son fils qui s’intègre parfaitement en Chine.
Ca me rappelle l’entrepreneur qui a dit il y a 2 jours sur les ondes de la RTS qu’il n’avais aucune intentions de quitter la Suisse à cause des initiatives UDC. Belle remise à l’ordre.
Cela n’empêche qu’une Suisse avec 10 millions d’habitants bien intégrés……moi j’en veux pas non plus.
J’ai entendu ce matin le journaliste se faire “planter” par Mr. Biver, cela a illuminé ma journée, merci!
Le grand “hhmmmm” du journaliste effectivement tout ennuyé de la réponse claire et intelligente de ce monsieur. Il en a eu le souffle coupé le pauvre.
Un grand moment de plaisir qu’un “journaliste” qui se prend un gros gros vend en direct sur les ondes. Merci pour ce moment.
Le journaliste de la radio étatique était bien déçu des propos très clairs de M. Biver. Il s’attendait à une critique sévère vis-à-vis de l’UDC. Bravo M. Biver.
Des témoignages qui démontrent la rapidité avec laquelle la vie en Allemagne a changé, en très mal, pour ses habitants, y compris les immigrants venus il y a déjà longtemps.
Nos zélites et la “bande des 200” ne s’intéressent pas à ce genre de témoignages qui se multiplient partout en Europe. Ils préfèrent au nom de leurs belles idées faire la morale au peuple…
Pourtant, ici aussi de nombreux “étrangers” disent le même chose de la Suisse.
Si rien ne change, les Allemands n’auront de choix qu’entre l’Islam et le nazisme
La journaliste russe Darya Aslamova publie toute une série de reportages sur le problème de nouveaux réfugiés en Allemagne vu par divers représentants du peuple.
Voici le récit simple d’un ménage allemand d’origine soviétique qui a vécu à Nuremberg vingt ans tranquilles. À noter que ce sont des Allemands ethniques nés en URSS et partis pour le pays de leurs aïeux lointains dans les années 90.
http://www.kp.ru/daily/26481.7/3351106/
Traduit par roman_garev
ll y a six mois la ville de Nuremberg, riche et un peu somnolent, la ville de joujoux et de douceurs (on dirait provenue des contes d’E.T.A. Hoffmann), ne savait pas ce qu’était la peur. Et puis des réfugiés sont arrivés. Des magasins de moyens d’autodéfense sont venus à leur suite. Mais tous les ballonnets à gaz y ont été enlevés.
« J’ai peur pour ma femme, dit Alex Foss, l’Allemand « soviétique » arrivé en 1993 deTadjikistan. Ayant vécu vingt ans dans un pays islamique, je comprends pas mal la psychologie des musulmans. Ils n’attaquent jamais seuls, toujours en meute. Et si mon Oléssya (elle est Allemande originaire de Barnaoul), entourée dans la rue par cinq hommes agressifs, fait gicler du gaz dans la face de quelqu’un, de ce fait elle provoquera tous les autres. Et de façon générale, qui défendra l’Allemagne ? En école soviétique on nous enseignait à tirer, à monter et démonter une kalachnikov. S’il le faut, je pourrai défendre ma famille à moi. Et les autres Allemands ? On ne leur enseignait rien de pareil. »
« Il y a six mois encore, Oléssya pratiquait chaque matin la course dans la forêt avoisinante. Maintenant c’est fini. On a un camp pour réfugiés à deux kilomètres. Deux camps, encore plus grands, vont s’ouvrir. »
« Je travaille à la compagnie MAN qui produit des bus. Quelques de ses ateliers ont été transférés à l’étranger, et les dépôts devenus vides ont été donnés aux réfugiés, de sorte que je travaille derrière le mur qui nous sépare. Chaque fois en allant prendre mon déjeuner je vois la même chose : les femmes lavent le linge, et les hommes, assis en cercle, jouent au trictrac ou bavardent. Ils ont du chauffage et des lits dedans. Dans la cour ils ont des cabines à douche et aux toilettes. Chaque jour un service allemand arrive pour nettoyer ces cabines. Imaginez ça : des Allemands balaient la cour, lavent les cabines à douche et les toilettes pour les réfugiés, et ceux-là sont assis et les observent. Pourtant ils ont tout leur temps. Pourquoi ne pas mettre d’ordre après soi ? Une fois, comme je m’en allais à la fin de la journée, le gardien allemand (on ne laisse personne entrer chez les réfugiés) m’a demandé de garder son poste durant cinq minutes pendant qu’il s’absenterait aux toilettes. Après on a parlé un peu. J’ai appris que les gens manquaient à ces services. Je me demande, pourquoi ne pas désigner des personnes âgées parmi ces réfugiés pour qu’ils surveillent l’ordre ? Pourtant plusieurs sont instruits, parlent anglais. Eux tous, ils ne sont point pauvres. »
« Tout change vite. Autrefois on avait en face de mon office le grand magasin « Praktiker » où l’on pouvait acheter tout pour sa maison. Des portes, des meubles, tout ce qu’on veut. À présent il est fermé, on y abrite des réfugiés. Dans les écoles on a enlevé des salles de sport. Plus du sport en école, et les professeurs de sport ont perdu leur travail. Ou encore, autrefois la ville payait aux enfants de familles pauvres le séjour dans les camps d’été. Moi-même je les y accompagnais en tant que volontaire. Ces camps sont aussi réservé aux migrants. Dites-moi, comment peut-on enlever des choses aux siens, pour les remettre aux étrangers ? Bon, lorsque je mets une grande table et quelqu’un affamé vient, je lui offrirai à manger, je partagerai même mon dernier dîner. Mais je n’arracherai pas le pain de la bouche de mon enfant pour le donner à n’importe qui, qui en plus n’est guère affamé. »
« Vous comprenez, je ne suis pas contre les migrants. Moi-même je me suis réfugié de la guerre en Tadjikistan et je compare mon expérience à la conduite des nouveaux réfugiés. Je sais bien ce que c’est la guerre, et j’ai pitié d’eux. Mais quand on partait, nous, on envoyait d’abord nos parents, nos femmes et nos enfants. Et seulement après on partait nous-mêmes. Il va sans dire, c’était pénible de nous intégrer. Mentalité russe : des bagarres, de la vodka. Et on est venu de l’URSS tombée en ruines, où il n’y avait point de loi. Mais on a appris la langue, on a accepté les lois de ce pays, on a trouvé du travail. Si je veux des pelmeni avec la vodka, je les prendrai chez moi. »
(…)
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/si-rien-ne-change-les-allemands-n-176871
Vu son job, normal qu’il remette les pendules à l’heure.