D’après le journal Dagens Nyheter, tous les dossiers concernant des affaires où des « réfugiés » sont impliqués, que ce soit en tant qu’auteurs, témoins ou même victimes, sont affublés du code « 291 » qui signifie que rien ne doit fuiter. Cela concerne aussi les cas d’incendies criminels contre les centres de réfugiés. Une directive interne de la police suédoise prévoit pour ces cas que « Rien ne doit sortir à l’extérieur ».
Proportionnellement à sa population, la Suède est le pays d’Europe qui a accueilli le plus de demandeurs d’asile. C’est aussi devenu le pays avec le taux de viols le plus élevé d’Europe.
Logique : les traîtres ont peur des conséquences de leur trahison. C’est aux citoyens de filmer et dénoncer les malfaisances des envahisseurs. L’internet et les réseaux sont faits pour cela. Et si les traîtres venaient à bloquer, déménager les sites hors d’atteinte, par exemple en Russie ou en Chine, et apprendre aux internautes à camoufler leur IP.
Les politiciens sont responsables de cette omerta, en cela ils trahissent le peuple qui a mis sa confiance en eux et qui les a investit de responsabilités pour le servir.
Ce sont des dirigeants qui font preuve d’une grande responsabilité… Lorsque l’argent ne sera plus le but ultime de ces politicards mais la défense des intérêts de leurs peuples, on pourra alors à nouveau espérer.
Encore des policiers collabos.
Mais. de la part de suédois, cela ne me surprend pas.
Le politiquement correct est très ancré dans la culture scandinave, depuis des lustres.
J’ai pu constater, en travaillant notamment avec des Suédois et des Norvégiens, à quel point il sont soumis à de nombreux tabous, dans leur expression publique, et à un “contrôle social latent” et permanent.
Il y a des sujet que l’on n’aborde pas en public, comme le féminisme, sauf si c’est pour en appliquer les préceptes que la bien-pensance impose, les dérives d’une société qui se veut “social-démocrate”, mais qui n’a que d’effet que d’émasculer une culture, jusqu’à l’immigration et ses drives.
On ne vous dira pas qu’il ne faut pas aborder ces sujets, mais on réagira en vous mettant dans une situation de gêne, comme si vous aviez pété en public.
Au début, on prend cela comme un code de communication, au premier degré. On l’accepte, par politesse. Mais, à la longue, si vous essayez de faire preuve d’un peu d’esprit critique et vous voulez vous interroger, vous vous sentez seul. N’insistez pas, car vous serez vite mis à l’écart.
Maintenant, il me paraît constater ces derniers temps une dérive dans les forces de l’ordre, une dérive qui me préoccupe. La “mollesse” dans certaines de leurs interventions (Genève et Cologne en sont un exemple flagrant), les lamentations des agents quant à leur conditions de travail et, maintenant, le fait de passer sous silence les faits liés aux immigrés.
Cela devient inacceptable.
Je ne peux ne pas m’imaginer combien de vies humaines auraient été épargnées de l’horreur si les agents de police de Vichy s’étaient opposés aux rafles.
Toute proportion gardée. Je suis curieux de vous voir peser les proportions entre le contexte des années 1930 et aujourd’hui.