Le chef de la police de Vienne a déconseillé aux femmes de s’aventurer seules dans les rue après les agressions sexuelles hautement médiatisées en Autriche et en Allemagne.
Le patron de la police Gerhard Pürstl est maintenant accusé de faire porter aux femmes la responsabilité des agressions, plutôt que de cibler les hommes qui commettent des crimes sexuels.
M. Pürstl a dit : « Les femmes devraient, en général, ne pas sortir dans les rues la nuit seules, éviter les zones suspectes et aussi, dans les pubs et les clubs, n’accepter de boissons que de personnes qu’elles connaissent. » [...]
Traduction Fdesouche
en tant que femme … REFUSE LE DIKTAT DES ISLAMISTES … aussi je préconise : FEMMES ARMEZ VOUS D’UN TASER … TIREZ SANS ETAT D’AME .. ET AU BON ENDROIT
C’est exactement ce que veulent les islamistes et ils vont parvenir à leur but grâce à l’aide que leur apporte les gouvenements de notre belle Europe. Et après, seules celles qui seront voilées auront le droit de sortir ?
@ Andrea
Oui, les hommes ont besoin de se rappeler de leur passé. Les assassines de la virilité ont tellement ratissé ces dernières années que très bientôt, elles réaliseront qu’elles auront besoin des hommes pour les protéger et protéger leurs enfants. L’Etat de les protège pas. Il paye, subventionne, mais à la condition qu’elles se plient au mondialisme. Le monde n’est pas adaptable à leur délire, le monde est périlleux.
1. Et les hommes autrichiens, ils son où?
2. En nom de quoi, ce couvre-feu? Des responsables?
3. A quand des amendes pour les transgresseuses?
Merci, les feministes. Elle est bien libre votre sexualité?
Mais comment, ne suffisait-il pas à une femme de dire non, pour que l’homme comprenne? Même si elle est habillé de la façon la plus provoquante, plongeant l’homme dans la plus complête des ambiguïtés, en termes de communicatin non verbale?
Allez leur expliquer cela, maintenant. Bein, non. Il faut maintenant qu’une féministe de gauche vienne vous parler de codes de conduite.
Attendons le jeudi de carnaval, à Cologne. Oui, ce jeudi où les femmes viennent couper la cravate des hommes, bien entendu habillées de la façon la plus provocante.
Nous allons voir, si seulement la fête ne seraas annulée.