Des groupes d'autodéfense ont fait leur apparition ces derniers mois dans plusieurs villes, s'est inquiété jeudi le gouvernement.
«Organiser des patrouilles de rue relève d'un comportement extrémiste. Cela ne permet pas d'augmenter la sécurité» de la population, a déclaré le ministre finlandais de l'Intérieur Petteri Orpo à la télévision YLE. Ces milices «n'ont pas le droit d'utiliser la force», a-t-il souligné.
Ça peut même être légal s’il y a concertation avec la police, c.-à-d. que les patrouilles ne sont pas armées et avisent la police des faits suspects.
Ça ne sert à rien de faire des patrouilles illégales: la police va consacrer une partie de ses moyens à lutter contre ces patrouilles et il en restera d’autant moins pour lutter contre le crime.
Il faudrait que ces initiatives se multiplient, car lorsqu’un État n’accomplit plus ses rôles régaliens, c’est aux citoyens de s’organiser. Même si la loi l’interdit.
Le maire de Béziers M. Ménard fait des disciples au Nord du continent.