La situation financière du principal établissement d’avortement en Espagne est déclinante au point que les propriétaires de Partner Line SA, société gérant l’avortoir Dator de Madrid, a décidé la faillite volontaire.
La dette à court terme approche près de trois millions et demi d’euros. Un tribunal de Madrid a nommé un administrateur chargé de décider du sort de cet avortoir.
Au 31 décembre 2014, date du dernier rapport publié dans le Bulletin officiel du Registre du Commerce, les comptes de la société mère de Dator, qui emploie une cinquantaine de travailleurs, étaient un casse-tête pour leurs propriétaires: faillite technique avec une valeur nette négative de 2.177.597 euros.
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@ Blum: c’est aussi juste mais la vraie question est: pourquoi les européens doivent absolument travailler les deux pour subvenir à leurs besoins? Il n’y a pas si longtemps, seul le mari travaillait. Madame se chargeait du département de l’intérieur ( 🙂 ) et tout allait pour le mieux. Il y avait moins de racaille et beaucoup moins besoin de ces usines à déracinés que sont les crèches. C’est là, la vraie question…
Bonne nouvelle, certes.
Il faut cependant s’interroger, et vite, sur le grand nombre de femmes européennes qui choisissent encore ( ou se voient contraintes) d’avorter.
Les place de crèches, pour les femmes qui travaillent, sont-elles suffisantes? J’en doute.
Voulez-vous un exemple, français, celui-là?
En pleines années Mitterrand, je m’enquis d’une place de crèche, pour notre bébé à venir, mon conjoint travaillant, évidemment, lui aussi.
L’on me répondit:
—Avez-vous d’autres enfants, à la maternelle?
—-Euh,… non.
— Vous n’avez pas la priorité. L’on donne la priorité aux familles nombreuses.”
Comme quoi, il y a parfois quand même de bonnes nouvelles.