Ajaccio. Guet-Apens contre les pompiers : “Il aurait pu y avoir des morts”

Ajaccio : "Il aurait pu y avoir des morts" (un pompier agressé)

https://youtu.be/4l1iLNAiRGk

"Ils ont essayé de monter dans le camion, je tenais la porte"

Ce que nos médias ne diront pas: On peut imaginer la suite, si ces voyous avaient réussi à monter dans le camion, dans lequel se trouvait une femme. Via le Facebook Antiraciste est un nom de code pour antiblanc

Les deux jeunes sapeurs pompiers blessés, principalement aux yeux, se sont rendus au commissariat d'Ajaccio hier matin pour déposer plainte. Ils venaient de passer la nuit à l'hôpital de la Miséricorde.

"Maintenant ils doivent nous montrer des planches photos pour voir si nous reconnaissons des gens", explique l'un d'eux. Il confesse d'autre part, avec regret, qu'au regard de la situation et l'intervention, ils n'ont "pas vu grand-chose".

"Il faisait sombre. Nous sommes restés dans le camion et notre principale préoccupation était que personne ne puisse monter dedans. D'autant qu'il y avait une femme avec nous sur l'intervention. Je l'ai poussée derrière et j'ai fermement tenu la porte. C'est à ce moment-là que j'ai été blessé", relate Nicolas qui a eu la cornée de l'oeil gauche rayée.

Tiffany, présente lors du rassemblement, en tenue, fait face. "On a tous eu peur. On savait que s'ils pénétraient dans le camion, ce n'était plus la même histoire. Il fallait rapidement sortir du quartier".

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Dans la nuit du réveillon de Noël, plusieurs pompiers ont été attirés dans un véritable guet-apens à Ajaccio en Corse. Appelés pour un incendie volontaire, ils ont été littéralement agressés par des individus cagoulés dans un quartier populaire de la ville. Au total, deux pompiers et un membre des forces de l'ordre ont été blessés. Depuis, le témoignage des pompiers présents pendant l'attaque montre la violence des faits : "Il faisait sombre. Nous sommes restés dans le camion et notre principale préoccupation était que personne ne puisse monter dedans. D'autant qu'il y avait une femme avec nous sur l'intervention. Je l'ai poussée derrière et j'ai fermement tenu la porte. C'est à ce moment-là que j'ai été blessé", a expliqué Nicolas, l'un des pompiers présents sur place à Corse Matin. Tiffany, jeune femme pompier, également présente sur les lieux lors de l'incendie, s'est aussi confiée : "On a tous eu peur. On savait que s'ils pénétraient dans le camion, ce n'était plus la même histoire. Il fallait rapidement sortir du quartier."

"On a frôlé la catastrophe"

Ce samedi 26 décembre, Nicolas est également revenu sur le déroulement des faits au micro d'i>Télé. Le pompier, blessé à l'oeil, explique qu'à leur arrivée sur les lieux, les pompiers se sont trouvés face à une cinquantaine de personnes armées. En tentant de rebrousser chemin, ils se sont trouvés dans un "guet-apens d'une vingtaine de personnes". Armés de pierres, parpaings et battes de baseball, leurs attaquants s'en sont pris violemment au camion et ont réussi à briser les vitres. "On a vraiment frôlé la catastrophe, il aurait pu y avoir des morts", explique le pompier visiblement encore choqué par l'attaque. Une action organisée et préméditée sans précédent, d'après le pompier, qui évoque cependant des violences précédentes contre les pompiers dans la région, mais jamais rien d'une telle intensité. "On est là pour aider, c'est honteux", ajoute Nicolas qui souligne que de nombreuses insultes ont fusé durant l'attaque, notamment "contre les Corses".

Ce vendredi 25 décembre, plusieurs centaines de personnes s'étaient rassemblées dans la ville d'Ajaccio pour manifester leur soutien aux pompiers et aux membres des forces de l'ordre. Certains des pompiers blessés dans l'attaque étaient également présents. Plusieurs personnes ont ensuite saccagé une salle de prière musulmane qui était située à côté du lieu du guet-apens dans le quartier de l'Empereur. Des représailles fermement condamnées par la classe politique. Les forces de l'ordre sont toujours déployées dans le quartier pour essayer de limiter la multiplication des incidents. Mais en milieu d'après-midi samedi, plus de 300 personnes ont forcé le barrage de police.

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Un commentaire

  1. Posté par Margo le

    Quand les citoyens ont le sentiment légitime que l’Etat ne fait plus régner l’ordre républicain, quand ils voient des pompiers et des policiers pris en embuscade dans un des innombrables ghettos que compte la France, quand ils voient leur pays, leurs acquits sociaux spoliés par ces envahisseur que rien ni personne n’arrête….il y a le risque évident que tôt ou tard ils devront se faire justice eux-même et ne compter que sur eux-mêmes pour défendre LEURS PAYS et LEURS FAMILLES. Honte à la France qui abandonne ses citoyens, ses valeurs, sa culture pour se soumettre à la racaille musulmane.

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