La police norvégienne a trouvé des images des têtes coupées et d’exécutions sur les téléphones portables de réfugiés arrivés dans le pays. Des drapeaux et des symboles de Daesh ont également été aussi découverts lors du contrôle des bagages.
Depuis quelques mois, le service d’immigration de la police norvégienne s’occupe d’un nombre croissant de réfugiés et de migrants qui veulent traverser ses frontières. En fouillant certains demandeurs d’asile, certains de ses membres ont trouvé des photos d’enfants morts et d’autres victimes de la guerre et du terrorisme, selon le journal norvégien Nettavisen.
«Il existe plusieurs raisons qui expliquent pourquoi ces images existent. La première raison, c’est qu’ils ont pu être témoins et veulent montrer aux gens ce qu’ils ont vu. Ils peuvent aussi porter des symboles des groupes terroristes qu’ils soutiennent, même si cela peut sembler effrayant. Il pourrait y avoir d’autres explications que le soutien aux organisations terroristes», a déclaré le chef du programme d’asile norvégien, Erik Haugland.
La Norvège durcit ses règles d’asile depuis le mois de novembre pour essayer d’endiguer le flux de réfugiés. Les nouvelles règles qui enterreront en vigueur pour une durée de deux ans, permettront aux autorités de rejeter les demandes d’asile plus rapidement.
«Le débat portant sur les réfugiés a considérablement évolué depuis l’automne, passant d’une discussion marquée par la sympathie et compassion à la préoccupation des problèmes que refugiés ou immigrés apportent avec eux», a confié au journal Dagbladet le politologue Johannes Bergh.
“Il existe plusieurs raisons qui expliquent pourquoi ces images existent. Il pourrait y avoir d’autres explications que le soutien aux organisations terroristes” Bien sûr, les oligophrènes à la rose vont en trouver un tas du genre “elles ont pénétré mon portable à l’insu de mon plein gré” Sauf que l’explication la plus menaçante est toujours la meilleure, et qu’il vaut mieux prévenir que tenter de guérir. Encore qu’un socialiste restera toujours inguérissable de sa connerie, qu’il ait sa tête sur ses épaules ou sur son dos.