L’industrie de l’asile

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Les grandes entreprises ne peuvent que rêver du chiffre d’affaires annuel de l’industrie du social et de l’asile en Allemagne. McDonald's y réalise un chiffre d’affaire annuel de trois milliards d’euros. Même Siemens au niveau mondial ne dépasse pas les 70 milliards d’euros avec 343.000 employés dans 167 pays. En revanche, en 2012 déjà, le chiffre d’affaires annuel de la pieuvre, du molosse de l’industrie allemande du social était estimé à 140 milliards d’euros. Environ 2,3 millions de personnes tirent leur revenu de l’industrie du social, de l’asile, des migrations et de l’intégration. Selon la politicienne Vera Lengsfeld : « La Croix Rouge emploie à elle seule davantage de personnes que BASF, le plus important groupe mondial du secteur chimique. »  Et les patrons gagnent bien. Selon des rapports dans le secteur, un directeur d’association régionale de la Croix Rouge gagne entre 150’000 et 200’000 euros par année. Les mêmes montants sont appliqués dans d’autres organisations.

Avec plus de 500.000 employés, Caritas est aujourd’hui le plus important employeur privé en Allemagne. Un demi-million d’emplois en relation avec « l’aide » doivent être maintenus d’une manière ou d’une autre. Il faut à tout prix une quantité élevée, continue, de démunis et de personnes à charge  – de plus en plus si possible. Caritas n’est pas le seul dans le domaine. Il est donc dans l’intérêt propre de l’industrie de l’aide de trouver constamment de nouveaux clients et de nouveaux groupes tels que les demandeurs d’asile. Les nombreux pédagogues sociaux, travailleurs sociaux et juristes se retrouveraient au chômage en l’absence de nouveaux « cas ». Les pédagogues et travailleurs du social expliquent par exemple aux migrants féminins comment utiliser les tampons. Les frais et honoraires pour conseils et représentations devant les tribunaux pour de nombreux avocats représentent un autre aspect de cette industrie.

Le domaine de l’industrie de l’asile et des migrations constitue une part de plus en plus importante du chiffre d’affaires en Allemagne. C’est le marché en expansion d’un nouveau modèle économique qui dévore tout bonnement notre avenir avec avidité.

Die Asylindustrie, Udo Ulfkotte, Kopp Verlag, pages 34-35

Kopp Verlag

8 commentaires

  1. Posté par Théodore J Berseth le

    Un audit et des sanctions !
    Celui qui pensait que l’asile et le social n’était pas une affaire soit c’est un bisounours, soit un hypocrite !
    Il serait temps d’effectuer un audit et de couper dans les subventions de ce petit monde mondialo-bobo-gauchisant et ramener les dépenses salariales au niveau du bénévolat….puisque c’est ce qu’ils demandent le plus aux simples citoyens !

  2. Posté par Un observateur le

    Evidemment , c’est une aubaine financière pour l’industrie de l’Asile.
    C’est pervers car on dépense de l’argent pour enrichir des chefs d’entreprises, mais pour diluer les peuples dans le multiculturalisme, le communautarisme avec les conséquences dévastatrices. Les ONG nous demandent de l’argent pour pisser dans un violon.
    Je suis révolté qu’ils ne parlent jamais de la démographie explosive Africaine qui est le problème numéro un . L’Afrique noire qui explose ( 8 enfants par femme, bientôt 2 milliards) prépare elle même ses guerres pour la nourriture, l’eau, la terre. Et c’est à l’Europe de subir la démographie Africano-musulmane….
    Des responsables de l’ONU et des ONG pensent que l’Europe a la capacité d’accueillir 1,5 milliards de réfugiés , alors que nous sommes moins de 500 millions et mettent la pression sur nos politiques.
    On entend jamais un discours sur la régulation de la démographie Africaine…

  3. Posté par Ralph le

    Le titre est bien trouvé. Il résume bien le fond des affaires qui tournent à fond avec l’aval des benêts de la bonne conscience. Et plus ces affaires prospèrent, plus s’étoffe notre pauvreté sous l’implosion des taxes et des impôts. La mentalité rom prévaut dans cet espace de pleureuses patentées. On comprend au final que cette couche parasite de la société se trouve des affinités avec ces imposteurs de la mendicité organisée en multinationales et ceux qui gouvernent ne sont pas mieux, ils ont les mêmes réflexes.

  4. Posté par aldo le

    https://www.youtube.com/watch?v=7cwQ0fObxng
    Udo Ulfkotte, journaliste s’exprime sur sa profession: … depuis 25 ans on m’a appris à mentir, à trahir et non à dire la vérité au public…

  5. Posté par aldo le

    C’est toujours une satisfaction que de savoir que des concepts et les mots qui vont avec, que j’ai intronisés dans mes textes, finissent un jour par être repris par d’autres. Il en est ainsi pour l’industrie de l’asile. Parfois je m’adresse à des politiciens et hop ils sautent sur l’occasion. Ce peuvent être aussi des expressions désuètes remises au goût du jour. Toute l’agression que constitue la lecture approfondie de l’actualité, permet de temps en temps d’innover en la matière, parce que ce qui se passe est nouveau et doit donc être décrypté et synthétisé dans une nouvelle expression. Un des maîtres en la matière c’est JMLP, et nombre de “journalistes”, ses adversaires, les utilisent en toute liberté sans le savoir.

    Dans l’industrie de l’asile, il y a le recyclage des habits. On donne ce qui ne va plus, puis la Croix-Rouge par exemple ouvre des magasins de seconde-main, puis elle engage comme il se doit ses principaux clients migrants au chômage. Ce faisant on entretien un réseau d’immigration et ce n’est pas le seul, essayez d’imaginer d’autres vecteurs. La meilleure chose c’est de jeter les habits pour contrer ces abus. Beaucoup y pensent, alors le mondialiste du PLR, Français, a imposé la taxe aux sacs poubelles… une idée de gauchos comme il se doit et pour les mêmes causes. Néanmoins il y a une raison nettement plus grave pour jeter ses fringues au feu sans hésiter, c’est l’ADN! Comme la majorité des nouveaux équipés, ainsi que des voleurs qui vident les caisses de recyclage, sont susceptibles de composer le 90 % des habitants de nos prisons, parce qu’ils commettent des délits. Le risque est important que des particuliers se voient un jour impliqués dans des affaires graves, voir même des homicides parce que l’ADN peut être traqué à des niveaux de plus en plus infimes.

  6. Posté par aline le

    Cela fait longtemps que je ne donne plus un seul sous pour ces ONG, sachant que ce sont des entreprises avec d’énormes bénéfices et une très mauvaise administration. La même chose pour la chaîne du bonheur. Une question: pourquoi les médias gaucho socialo n’en parlent-elles pas?

  7. Posté par Pascal le

    Ca fait longtemps que j’ai arrêté de donner à ces organismes. Lorsque vous savez que sur 100 euros donnés à la ligue contre le cancer (en France), entre 15 et 20 partent dans la poche des dirigeants et pour les frais d’administration alors que pour une entreprise privée, on est plus en 5 et 7 %. Ces organisations sont une arnaque au bon sentiment. Je préfère aider personnellement quelqu’un que par le biais d’une association

  8. Posté par Sergio Morosoli le

    Je sais que c’est insignifiant, mais je ne donnerai plus jamais un centime en faveur de la croix rouge, de Caritas, de MSF et de toutes ces institutions gigantesques totalement incontrôlables exclusivement au service de l’asile du social et de la gauche. Leurs collectes polluent nos boîtes aux lettres et la vue de leur logo agit comme un répulsif.

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