L’année consacrée à la diversité – 2017, selon le cabinet de Rudi Vervoort – portera sur la culture, mais aussi sur la diversité des origines, des orientations religieuses ou sexuelles et célèbrera aussi Bruxelles comme capitale de 500 millions d’Européens, a précisé le ministre-président.
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L’intégration et le droit à la diversité et à la différence, c’est comme le dérèglement climatique. Un coup contre le réchauffement un coup contre le refroidissement et à chaque coup, on paie évidemment.
Comme constaté à maintes reprises, on paie pour l’intégration et on repaie pour le droit à la diversité et à la différence…. Cette schizophrénie des milieux cryptocommunistes et socialo-marxistes prend elle sa source dans l’ingestion des drogues, qu’ils soutiennent contre vents et marées. On comprend alors mieux pourquoi la Merkel a complètement dérapé avec son appel aux migrants du monde entier. Un shoot un peu trop corsé de toxiques offert par des Afghans de passage, par exemple et la vieille marxiste à pété les plombs. A moins qu’elle s’approvisionne auprès de la Dreifuss, une vielle du même genre qui nous coûte de plus en plus cher avec sa Lamal aux miracles concurrentiels, tout droit sortis d’un raisonnement schizophrène.
Incroyable! Ils atteignent les sommets des profondeurs. A croire que la diversité n’attendaient qu’eux! Je les vois d’ici faire leurs petites mixtures… 0,1 pour mille de fabricants de chapeaux, de fez, de turbans, de burkas et toute voiles dehors. C’est un exemple idiot. Mais, sans bouger le cul de sa chaise, on peut en « voir », de la diversité. En lisant « Après avoir », du psychiatre Silvio Fanti. L’auteur de « Le fou est normal ». Oui, après avoir… pendant vingt ans, parcouru je ne sais plus combien de centaines de milliers de kilomètres, en avion, bateau, vélo, moto, triporteur, à dos d’âne et à dos d’homme… Après être resté des heures assis sur le bord des trottoirs de Londres, de Moscou, de Shangaï, de San Francisco, du Havre… dans les quartiers riches et les quartiers pauvres et même si pauvres qu’ils ne méritaient plus le nom de quartiers. A regarder les gens pour essayer de comprendre… Car pour essayer de comprendre il faut y laisser sa peau. Observer l’homme sous tous ses aspects, à l’église, au bar, à la mosquée, dans les banques, dans les rues et dans beaucoup d’autres endroits. …Après avoir entendu les vagissements du nouveau-né sous toutes les latitudes… et dire que si l’adulte pouvait se voir en train de téter, il en comprendrai des choses!
C’est étrange que l’évocation de ceux de Bruxelles, et de leurs pairs, me renvoie à ce livre. Ces gens qui ne naviguent que dans des bulles s’ennuient, à vouloir de la diversité? Qu’ils aillent donc à la Rue Lemonnier, près de la garde du Midi! Ils peuvent prendre des cours d’arabe en lisant les devantures.
Je sais bien pourquoi j’ai pensé à ce livre. Un homme de stature et de qualité passe sa vie à essayer de comprendre, et eux savent!