Une personne « intersexuée » obtient de mentionner « sexe neutre » sur son état civil…

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Le tribunal de grande instance de Tours a ordonné à l’état civil de la mairie de Tours de modifier l’acte de naissance d’une personne « intersexuée » (ni homme, ni femme) mais enregistrée comme étant de sexe masculin pour y apposer la mention « sexe neutre », dans un jugement rendu le 20 août 2015…

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6 commentaires

  1. Posté par SAINT-MARC Jean-Paul le

    Les escargots sont au moins bisexuels ?

  2. Posté par aldo le

    Mais d’où vient cette armada d’intersexués?

    Ceci est très intéressant pour plusieurs raisons qui démontrent la façade cachée du politiquement correct sous le filtre de la bonne conscience. Bref, on couvre systématiquement les effets graves et secondaires de l’immigration sauvage des faux-réfugié, dont on nous impute les coûts en l’absence de toute responsabilité. Principe de base, on escamote le sujet pour n’en diffuser que des bribes, la technique du saucissonnage des dépenses publiques appliquée à la désinformation le tout sous couvert d’information.

    Là on parle de mutation connue, sans aborder la réalité dans sa totalité:
    http://www.maxisciences.com/hormone/l-039-etrange-cas-du-village-ou-des-filles-se-changent-en-garcons-a-l-039-age-de-12-ans_art35983.html

    Ici on lit qu’il ne s’agit pas que d’une spécialité de la République dominicaine:
    https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.ocf.berkeley.edu/~issues/articles/13.1_Kelley_E_The_Guevedoces.html&prev=search

    Là on comprend qu’il s’agit de consanguinité
    https://translate.google.ch/translate?hl=fr&sl=en&u=http://jonfwilkins.blogspot.com/2011/01/genetical-book-review-middlesex.html&prev=search

    Au fil des lectures on finit par comprendre la réalité. Sous couvert de maladies génétiques on cache en fait les conséquences de la consanguinité, elle-même cachant des cas d’incestes à grande échelle. Ce n’est pas faute d’échanges entre les populations, mais par viol entre parents. Or certaines religions qui veulent s’imposer et nous être imposées par un discours anti-chrétien (on se demande bien pourquoi ?) ont fait de l’inceste une norme pour cacher la réalité sociale de cette criminelle sauvagerie.

    Confrontées à des tels cas en surnombres, des sociétés africaines et arabisantes ont voulu se débarrasser de toute culpabilité. Elles pratiquent à haute dose l’excision comme elles pratiquent à haute dose l’inceste. Ainsi le problème semble escamoté. Le membre en cause ayant été saccagé, la preuve de l’inceste n’apparaîtra plus, ni vu ni connu, enfin excisé quand même !

    Ainsi les bonnes consciences de nos contrée interfèrent, non en prônant des interdictions, mais en soutenant le business d’une médecine qui baigne dans de grandes affaires à venir. Soit on mutile à la naissance pour adapter la personne à un sexe dont le médecin reste seul juge, puis après à l’adolescence on re-mutile pour remettre le choses en place. Et nous avec notre solidarité planétaire, culpabilisés par les faux-cul qui gouvernent, on paie plein pots pour les assurances sur-exploitées par de telles exploits. Et pour soustraire la visibilité de ces charges, les hôpitaux sont comme par hasard plus cher dans certaines villes privilégiées ce qui les autorise à facturer plus cher leurs prestations. Le tout par compensation au laxisme et aux combines comme avec Terre des hommes et certainement beaucoup d’autres associations moins visibles.

  3. Posté par blum le

    Jusqu’à maintenant, lorsqu’on vous demandait, dans une administration quelconque, un extrait d’acte de naissance, cela signifiait qu’il était inimaginable de le falsifier, qu’il était fondateur de l’identité d’une personne, jusqu’à sa mort.
    Une exigence comme celle que vous mentionnez de la part du Tribunal de grande instance de Tours, montre, de manière inquiétante, que les décrets les plus cinglés d’un ministre commencent à entrer en vigueur.
    D’autre part, que les tribunaux, déjà surchargés d’affaires autrement plus urgentes pour la société, sont encombrés inutilement : les troubles de la personnalité ne se résolvent-ils pas , d’ordinaire, dans les services de psychiâtrie ?

  4. Posté par Aude le

    Il n’y a pas de sexe neutre…sinon pas de sexe du tout…
    Dans ce cas cette personne est hermaphrodite….

  5. Posté par Nicolas Boileau le

    Il y a toujours eu quelques rares cas d’anomalies biologiques. Des personnes avec à la fois les organes sexuels féminins et masculins. Normalement ça s’appelle des hermaphrodites. Rien à voir avec un “genre” ni avec le “trouble in the gender” de Judith Butler. Ca n’aurait rien de choquant si on mettait “hermaphrodite” sur les papiers d’identité de ces gens, au lieu de homme ou femme, puisqu’effectivement on est dans un cas spécial. Pourquoi à notre époque a-t-on tellement peur d’appeler les choses par leur nom ? Et pourquoi invente-t-on des théories du genre juste pour augmenter la confusion et détruire les fondements de la société?

  6. Posté par Vautrin le

    Ben ma fois, pourquoi pas “androgyne” si la personne en question présente bien physiquement le double caractère ? Il y aurait problème si c’était une question de “gender”.

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