Le président de l'UDC a critiqué mercredi la Chaîne du Bonheur dans la presse romande. Des propos qualifiés d'insoutenables par le directeur de la fondation humanitaire.
«Je n'ai rien donné! J'ai de la peine avec la politique organisée de la pitié.» Toni Brunner n'a pas mâché ses mots, mercredi, en répondant aux questions des lecteurs du «Matin», «24 Heures» et la «Tribune de Genève». A la question de savoir s'il avait donné de l'argent pour les réfugiés syriens dans le cadre de la récente collecte de la Chaîne du Bonheur, le président de l'UDC a affirmé qu'il préférait donner son argent à des organisations de bienfaisance, sans préciser lesquelles.
“La chaîne du bonheur dans la xénophilie baveuse et la haine de soi affichée”. Comme le dit Yvanovitch, plus un rond! Et la même problématique surviendra immanquablement avec le don de sang et d’organe. On ne va quand même pas assurer la survie potentielle d’un envahisseur djihadiste. Qu’en pensent les frères Ramdam? Survivre grâce au sang ou un rein d’un kouffar, c’est hallal ou haram?
La chaîne du bohneur ? …plus jamais un sous !
C’est notre droit de ne rien donner à la “chaine-du-bonheur”non???’
Ben oui, il a raison:
On est déjà obligé de financer le délire de Somonetta de prenant pour Mère Théresa via l’impôt.
Bref, ceux qui paient encore plus, et “volontairement” … kyrie eleison !