La petite ville d'Aarburg en Argovie a aujourd'hui les faveurs du Matin, qui n'hésite pas à parler de "controverse". Une élue UDC locale, chargée des œuvres sociales, veut en effet empêcher l'aide sociale d'être envoyée au pays d'origine des étrangers qui en bénéficient.
On s'en doute, pareille suggestion est un véritable crime contre la bien-pensance. Le postulat de l'élue - l'aide sociale est censée aider faciliter la vie de ses bénéficiaires en Suisse, et non pas aider la famille restée au pays - est ainsi présenté comme un credo. Quasiment mystique. Pourtant, l'explication est toute simple et totalement légale:
«Presque 45% des bénéficiaires de l'aide sociale sont des anciens requérants d'asile qui vivent maintenant de l'aide sociale», constate Martina Bircher. «Et on se rend compte que 40 à 60% de l'argent que nous versons retourne dans le pays d'origine. C’est contraire à la loi, on n'a pas le droit de détourner l'aide sociale», estime l'élue qui craint en outre que l'argent puisse financer des passeurs.
Craintes certainement infondées - après tout, selon un article de 20 minutes publié deux jours plus tôt, les demandes d'asile en Suisse n'ont augmenté que de 64 modestes pourcents par rapport au premier trimestre de cette année!
Mais l'Etat helvétique sait être accueillant avec la planète entière et généreux à souhait ; après tout, c'est l'argent des contribuables qui régale. Les robinets de l'aide sociale peuvent donc couler à flot. Ils coulent d'ailleurs si bien que nos anciens requérants d'asile passent à l'aide sociale, sautant avec maestria d'un filet social à un autre sans jamais cesser d'être à la charge de la collectivité. Habitués au modeste train de vie de leur pays d'origine, ils se retrouvent carrément avec un surplus d'argent. Et le renvoient.
Honnêtement, difficile de leur en vouloir. Après avoir payé leur écot à diverses mafias et franchi tant de frontières au mépris des lois pour atteindre un pays de cocagne, pas de raison de se montrer égoïste. Autant envoyer de l'argent à la famille pour que les nombreux frères, sœurs, cousins, oncles et tantes puissent en profiter aussi, soit en venant à leur tour, soit en utilisant cet argent sur place.
Seul problème, cette façon de faire n'a pas le moindre rapport avec les objectifs de l'aide sociale telle qu'ils ont été conçus.
Dans son projet pilote, Aarburg prévoit de verser l'aide sociale à certains bénéficiaires au travers de cartes de crédit dont le solde ne pourra être retiré en liquide, l'idée étant de faire en sorte que les sommes ne puissent quitter le pays (en tout cas, pas facilement) au travers des services de transfert d'argent liquide qui fleurissent un peu partout en Suisse précisément pour ces raisons.
La mesure "serait très contestée par les autorités cantonales ainsi que par la Conférence Suisse des institutions d'action sociale", explique la RTS. On aimerait toutefois entendre les arguments employés pour soutenir l'objection. Face à un tir de barrage manifeste de toutes les autorités supérieures contre la petite commune, le projet sera probablement assez vite retiré.
La démarche a quand même le mérite de soulever quelques questions.
- L'aide sociale n'est-elle pas trop élevée? Si un individu touchant l'aide sociale parvient à en mettre 40 à 60% de côté, on conclut objectivement qu'il arrive à vivre avec le solde. Ce n'est donc plus de l'aide sociale mais bien du confort - même si évidemment en termes de train de vie "supportable" chacun verra midi à sa porte.
- Est-ce un détournement? Selon la modification constitutionnelle sur le renvoi automatique des criminels étrangers, l'abus d'aide sociale est susceptible d'entraîner une expulsion. Or, il est évident que le transfert des fonds reçus à l'extérieur du pays, au bénéfice de tiers, n'est pas une utilisation conforme des prestations sociales.
- Le mécanisme est-il encore pertinent? Tout versement direct d'argent au bénéficiaire est susceptible de générer des effets pervers de ce genre, et les cas sont de plus en plus fréquents. Les aides au logement sont englouties en alcool, les subventions pour la cantine des enfants servent à acheter de nouvelles jantes alliage à la voiture de sport de Monsieur, et l'aide sociale finit dans les réseaux de passeurs.
Avec tout le respect qui lui est dû, je ne pense pas que la solution adoptée par Mme Martina Bircher à Aarburg soit appropriée. Bien que ce soit un peu plus compliqué, il y aura certainement moyen de contourner la restriction du versement par cartes de crédit, ce qui impliquera plus de flicage, etc.
La meilleure solution serait peut-être dans un changement de paradigme.
Jeune, je vis ma mère apporter de l'aide à un clochard du quartier ; puant et recouvert de crasse, les ongles en deuil et la barbe luxuriante, il avait sonné chez nous dans l'espoir de récupérer des chaussures usées que mon père utilisait pour le jardin. Ma mère fut prise de pitié devant le pauvre hère et fit de son mieux pour lui apporter un peu de confort - lui confiant des chemises propres que mon père ne portait plus, un repas chaud, et tout ce que nous étions en mesure de lui offrir.
Mais pas d'argent, malgré plusieurs demandes en ce sens.
"Jamais d'argent", m'expliqua ma mère. "Si on leur donne de l'argent, ils iront se saouler." Il faut bien avouer que l'odeur d'alcool se sentait d'assez loin. "Ce n'est pas pour rien qu'ils sont devenus comme ça. On peut les aider, mais en leur donnant de l'argent on ne leur rend pas service."
Il y avait de la sagesse dans ce raisonnement. Appliqué à l'aide sociale, on peut se poser la question: pourquoi donner l'argent au bénéficiaire? Ne serait-il pas préférable d'offrir des prestations au bénéficiaire? Offrir des repas plutôt que de l'argent pour les repas, des vêtements plutôt que de l'argent pour les vêtements, le loyer plutôt que de l'argent pour payer (ou pas) le loyer?
L'objectif de l'aide sociale est-il de verser de l'argent et de vite fermer les yeux ou au contraire de s'assurer que les gens qui en bénéficient sont correctement nourris, vêtus et logés?
Cette réorientation de l'aide sociale permettrait un bien meilleur contrôle de la santé des bénéficiaires et rendrait sans objet la plupart des détournements actuels. Bien sûr, il y aurait des esprits chagrins pour reprocher un manque de respect à la personne, comme si être à la charge de la collectivité n'était déjà pas assez dégradant en soi... Mais à tout prendre, ne serait-ce pas là une excellente motivation supplémentaire pour regagner ce fameux respect en quittant l'aide sociale?
La vérité toute simple est que les prestations sociales ont pour but de suppléer à des situations de faiblesse ; elles n'ont pas vocation à être confortables, ni à être une rente à vie, et encore moins des sommes à disposition au bon vouloir du récipiendaire. Mais pour nos autorités, il est probablement plus commode de verser de l'argent et d'oublier le reste.
Stéphane Montabert - Sur le web et sur Lesobservateurs.ch, le 22 juillet 2015
Corrigé du précédent :
Les idéologues socialistes et le mythe du “nouveau messie de l’État-Providence” !
Avec les socialistes, l’industrie de l’assistance va tourner à plein avec la “solidarité obligatoire” de l’État-Providence. Le PS veut encourager l’immigrationnisme et le pays est entré dans la course sacrée à la consommation partout et “pour tous”. Le rituel magique de l’assistance de l’État-Providence est un rite où les grands prêtres de l’État-PS sont les médiateurs entre les fidèles assistés et les divinités de la laïcité, qui expriment toute la puissance dépensière et le privilège de la république socialiste. C’est un rituel d’expiation qui ordonne à la population qui travaille, et aux classes moyennes, sur-fiscalisées et moralement anéanties par l’incompétence et l’amateurisme de l’État-PS, de devoir se sacrifier pour accueillir et venir en aide à “toute la misère du monde”. C’est pourquoi la “misère de la politique” de l’immigrationnisme, c’est la “politique instituée de la misère” et de la “pauvreté pour tous”. Pour tous ? Non !
Chacun sait que les copains et les coquins, les socialistes milliardaires, ont conservé leurs privilèges.
C’est encore un bienfait égalitariste de la république socialiste. “Il y en a toujours qui sont plus égaux que d’autres”, disait Coluche. Les nouveaux pauvres qui travaillent sont devenus les laissés-pour-compte de l’État-PS. Les idéologues de la république socialiste, d’inspiration soviétique tardive, ont décidé de faire d’eux, et surtout des classes moyennes qui créent des richesses, les “boucs émissaires” du sous-développement, industriel et moral, généralisé dans le pays. Même l’écrasante majorité de ceux qui renoncent à entretenir “l’oisiveté et la médiocrité des escrocs profiteurs de la pseudo-culture socialiste”, et des bobos-intermiteux du spectacle, apprennent à se sentir coupables, par suite de la politique égalitariste de la république socialiste.
C’est pourquoi, pour lutter contre la sous-consommation de la population qui travaille, l’État-PS décide d’importer de l’étranger des masses de populations économiquement très déshéritées, afin d’achever toute velléité de rétablir les comptes du pays. S’ils y parviennent, il reste aux idéologues de l’État-PS une possibilité d’aller au bout de la “solidarité obligatoire” et de la faillite économique et morale de la France.
En France, on obtient les meilleurs résultats, sur le plan de l’aide sociale, de l’assistance généralisée et de la dépendance, plus que dans la grande majorité des pays de l’Union Européenne. Partout et toujours, les nouveaux arrivants illégaux savent qu’ils ont toutes les chances de gagner à la loterie nationale truquée de l’aide sociale obligatoire, selon le message des paraboles de Jésus : “Ne vous a-t-il pas invité par l’Évangile ? Mais dans votre orgueil et votre suffisance, vous avez repoussé son invitation. Et maintenant, vous regardez avec mépris, sarcasmes et railleries “la troupe misérable des invités qu’il a appelés à votre place” ?
“Aucun de vous ne mangera le pain dans le Royaume de Dieu… Ce seront les méprisés qui entreront à leur place dans le Royaume de Dieu…” (© Joachim Jérémias, Les Paraboles de Jésus).
La politique égalitariste de la république socialiste est inspirée de “la miséricorde infinie de Dieu pour les débiteurs”, ceux qui ne paient pas leur loyer, ni les taxes, ni les transports, ceux qui ne paient rien pour se loger et se nourrir… Il est clair pour tous les esprits conscients que “l’amour des pauvres de la république socialiste” est une image de “l’amour irresponsable” !
La politique de l’assistance généralisée de l’État-Providence “pour tous” fait que les chances ne sont pas égales “pour tous”. Mais l’égalité supposée de la république socialiste fait que, à leur pauvreté originelle, les nouveaux arrivants illégaux savent qu’ils ont ajouté le blâme. Ce blâme que les laissés-pour-compte de la population qui travaille se décernent à eux-même, devant l’immigrationnisme à marche forcée, pour assurer le “grand remplacement” du peuple de France, dénoncé par Renaud Camus.
Les bienfaits de la république socialiste leur sont refusés car ils n’en sont pas dignes. Ils n’entreront pas au ciel socialiste, parce qu’ils ne sont pas les nouveaux baptisés de l’immigrationnisme de l’État-PS. Et ils ne sont pas allés à “l’église socialiste de la misère” et de la “pauvreté pour tous”. Nés dans le “péché originel du devoir” de la population qui travaille, ils ont reçu le seul baptême du devoir, et non pas celui de l’oisiveté assistée et de l’impunité. Les travailleurs sont retombés dans la misère obligatoire de la géhenne (le taudis en hébreu), par suite de leurs fautes personnelles d’avoir cru dans les “valeurs du travail et de la famille”.
C’est l’assurance de la désespérance universelle des “valeurs du travail et de la famille” !
Dans l’État-Providence, sont associées les aspirations du consommateur de la “solidarité obligatoire” qu’il prétend servir, et les croyances des idéologues de la république socialiste qui sont exprimées dans le rite des Béatitudes de l’assistance généralisée et de l’égalitarisme officiellement proclamé de l’État-PS. L’État-Providence est l’expression liturgique du culte de la multiplication magique des pains et des poissons.
L’Évangile de Matthieu évoque cette bénédiction magique :
“En débarquant, il vit une grande foule de gens. Il fut saisi de pitié envers eux et guérit les infirmes. Le soir venu, les disciples s’approchèrent et lui dirent : « L’endroit est désert et il se fait tard. Renvoie donc la foule, qu’ils aillent dans les villages s’acheter à manger ! »
Mais Jésus leur dit : « Ils n’ont pas besoin de partir. Donnez-leur vous-mêmes à manger. » Alors ils lui disent : « Nous n’avons là que cinq pains et deux poissons. » Jésus dit : « Apportez-les moi ici. »
Puis, ordonnant à la foule de s’asseoir sur l’herbe, il prit les cinq pains et les deux poissons, et, “levant les yeux au ciel”, il prononça la bénédiction. Il rompit les pains, il les donna aux disciples, et les disciples les donnèrent à la foule. Tous mangèrent à leur faim et, des morceaux qui restaient, on ramassa “douze” paniers pleins. Ceux qui avaient mangé étaient environ cinq mille, sans compter les femmes et les enfants”.
On comprend que les adeptes des sectes socialistes GOF sont persuadés qu’il leur suffirait de mettre en œuvre la “solidarité obligatoire” de l’État-Providence pour que Jésus arrive en apportant à chaque croyant les bienfaits de la politique socialiste de l’assistance généralisée, avec en prime, le “bac pour tous”.
L’assistance généralisée allie l’expérience d’une dépendance humiliante, face au monde du travail, et ce sentiment trompeur d’omnipotence, si caractéristique des arrivants illégaux qui sont instrumentalisés par les activistes anarchistes et violents de la gauche ultra qui veulent “enseigner les nations et faire leur salut”.
Le rite de l’État-Providence est conçu sur le modèle de “l’organisation politique instituée de la misère” et de la “pauvreté pour tous”.
Le mythe de l’État-Providence se propose de célébrer le paradis terrestre de la consommation sans fin de “l’industrie socialiste de l’assistance”, seul espoir des misérables et des déshérités. C’est pourquoi l’immigrationnisme de l’État-PS entretient cette épidémie faite d’espoirs insatiables des nouveaux arrivants illégaux, en particulier constituant des groupes en marge, les adeptes d’une fausse culture de néo-colonisés de l’État-Providence. Les nouveaux messies de “l’industrie socialiste de l’assistance pour tous” créent les serfs dépossédés et avides, frénétiques des bienfaits égalitaristes du Paradis de la république socialiste. Ces sectes de l’assistance de l’État-Providence ont toujours été menées par un prophète socialiste qui réserve toujours les promesses des sur-profits futurs à une poignée d’élus, les milliardaires socialistes.
Mais dans l’attente du royaume magique de la multiplication des pains et des poissons de l’État-PS, nombreux sont ceux qui perdent la vie, à bord d’embarcations de fortune et d’infortune. C’est le mythe de l’État-Providence qu’entretient la construction mécanique de “l’industrie socialiste de l’assistance” aliénante et impersonnelle. Les idéologues de l’État-PS ont fabriqué le mythe du “nouveau messie de l’État-Providence” et promettent des récompenses sans limites pour ceux qui se soumettront à son règne prophétique et dérisoire avec, en prime, le “bac pour tous” et ensuite “l’université des boursiers oisifs” pour masquer le chômage.
La “pauvreté pour tous” ne représente pas seulement la nouvelle religion planétaire, c’est également le marché de l’industrie socialiste de l’assistance financé par la “solidarité obligatoire” de l’État-Providence qui se développe toujours plus vite. La fabrication des consommateurs de l’aide sociale généralisée est devenue un secteur florissant de l’économie grecque de l’industrie socialiste de l’assistance. À mesure que les coûts de l’aide sociale augmentent dans les nations riches, on note une concentration accrue de nouveaux arrivants illégaux et des masses de populations importées de l’étranger utiles à la consommation de l’État-Providence.
Au cours des dernières années, les financements consacrés au système de l’aide sociale solidaire se sont élevés plus vite que ceux consacrés aux investissements indispensables pour moderniser le pays. La “misère de la politique” de l’immigrationnisme de l’État-PS ne fait qu’accélérer cette tendance qui conduit à investir massivement dans l’industrie socialiste de l’assistance par la fiscalité de la “solidarité obligatoire” et la dette abyssale. Le marché de la “solidarité obligatoire en faveur de l’industrie socialiste de l’assistance” ouvre des perspectives illimitées à un gaspillage considéré comme légitime, tant que l’on ne s’apercevra pas de ses effets nocifs, et alors même que le prix de la gabegie socialiste sera en hausse constante et hors de contrôle.
Il suffit d’additionner le nombre croissant des nouveaux arrivants illégaux qui composent les masses de populations importées de l’étranger pour réaliser que “l’industrie socialiste de l’assistance”, cette prétendue superstructure morale, est devenue le principal employeur au niveau des collectivités locales et de l’État-PS, au détriment des personnes actives. Les idéologues néo-marxistes de l’État-PS omettent cette constatation, si bien qu’ils se bornent à envisager de remettre “l’emploi” des nouveaux arrivants à plus tard. Ils s’attachent à d’autres objectifs plus fondamentaux qui parviendront enfin à réaliser “la révolution politique socialiste”.
Mais il faut comprendre que l’industrie socialiste de l’assistance est aussi une “industrie du désordre”.
La masse des arrivants illégaux, qui sont “instrumentalisés” par les activistes anarchistes et violents de la gauche ultra, défie les idéologues néo-marxistes de l’État-PS qui ne peuvent jamais édifier une stratégie révolutionnaire réaliste. Pour les idéologues néo-marxistes, le coût de l’industrie socialiste de l’assistance n’entre pas en ligne de compte. Aujourd’hui, la plus grande partie de la “main-d’œuvre de l’industrie socialiste” de l’assistance participe à la création de demandes satisfaites de la masse des illégaux. La part importante du financement de cette tâche nouvelle est assurée par la fiscalité de la “solidarité obligatoire” et le creusement de la dette abyssale. Maintenant, les jeunes sont des pré-aliénés par l’école socialiste du “bac pour tous” et des indignés au chômage, qui les tient à l’écart du monde réel, alors qu’ils jouent ensuite les consommateurs des bourses “l’université”, avant les aides du “chômage pour tous” ou de “l’allocation jeunesse”.
Les assistés de l’industrie socialiste de l’assistance sont définis comme une “marchandise”, un produit sur le marché dynamique de l’aide sociale. Les bienfaits de la politique socialiste de l’État-Providence font de “l’aliénation des assistés” une préparation à une “vie de proscrit”, l’assistance séparant ainsi l’assisté de la “réalité du travail réel” et de la possibilité de la créativité. L’État-Providence prépare les futurs indignés à “l’institutionnalisation officielle” de la vie d’assisté, en développant le besoin d’être une sorte de “victime de la société” qui demande à être assistée et indemnisée pour son “préjudice moral imaginaire”.
Une fois la leçon victimaire de la facilité bien apprise, l’assisté n’a plus le courage de chercher du travail pour conquérir son indépendance. Les bienfaits de l’aliénation des assistés font qu’ils ne trouvent plus d’enrichissement dans la créativité des rapports du travail avec autrui. La médiocrité qu’offre l’existence des assistés les installe dans une forme aliénée de clientélisme institutionnel, le prélude à la “chute de l’empire romain”, si on veut lire l’histoire pour en tirer des enseignements. La politique socialiste de l’État-Providence utilise la majeure partie des masses de populations venues de l’étranger et s’assure qu’ils ne s’inséreront pas dans le monde du travail. L’État-Providence est une institution révolutionnaire, non pas quelconque, mais une sorte de nouvelle Église de la charité mondialiste qui doit détruire l’ordre moral établi.
C’est “l’industrie de la misère” qui offre à ses usagers les “bienfaits de l’aliénation”, en même temps qu’elle les fournit en “opium du peuple” avec le “cannabis pour tous” et la “misère socialiste pour tous”, pour les garder dans la dépendance. Tout mouvement de “libération” de l’homme ne saurait passer maintenant que par une révolte déterminée. Car l’État-Providence est l’institution qui a pour but essentiel d’imposer à tous une “vision fausse de la réalité”. Le potentiel révolutionnaire de la “solidarité fiscaliste obligatoire” mettra fin à “l’industrie socialiste de l’assistance”. La propagande de l’assistance socialiste rend l’esprit toujours plus esclave et conduit à un esclavage où rien n’est laissé au hasard. Or, comment s’y prend-elle, sinon en faisant du déni de la réalité le fondement de l’industrie socialiste de l’assistance avec des biens de consommation pré-emballés ? Et, le pire, c’est que la “solidarité fiscaliste obligatoire” finit par désinvestir tous les talents. Elle manipule si entièrement les esprits que le seul “espoir de libération”, c’est hors de la propagande socialo-populiste qu’il faudra le trouver, et surtout, ne pas l’attendre de l’industrie socialiste de l’assistance.
On devrait envoyer la facture de 6 milliards par an aux juges de Bruxelles et insister, comme les USA l’ont fait avec les banques suisses, jusqu’à ce qu’ils payent les conséquences de leurs jugements débiles. Et donner aux réfugiés un billet simple course vers Bruxelles, ainsi que les adresses privées des juges des droits de l’homme qui les aiment tellement. Afin qu’ils aillent s’installer dans les jardins privés de ces juges.
Au milieu des années 80, une œuvre d’entraide m’a demandé de faire une étude permettant de savoir pour quelles raisons aucun réfugié statutaire, relevant de leurs services, ne travaillait.
Les conclusions de mon rapport n’ont été lues QUE par les responsables de cette œuvre.
Ces derniers m’ont ordonné de ne jamais montrer mon rapport à qui que ce soit et surtout d’empêcher qu’il arrive à l’ODR.
En effet, j’avais conclu que les réfugiés statutaires étaient tous logés dans des appartements qu’aucun travailleur suisse, disposant d’un petit revenu, n’aurait pu se permettre. Selon les normes suisses, le nombre d’enfants déterminait la taille du logement ; de ce fait, les services sociaux payaient des loyers de 3’000 FRS (ou plus). Rien ne motivait les réfugiés à faire moins d’enfants, … bien au contraire.
Mes conclusions étaient extrêmement modérées, je n’avais pas osé dire la moitié de ce que je pensais.
Parallèlement à cette étude, je devais inscrire au chômage les plus vaillants, bien qu’ils ne puissent pas toucher d’indemnités, pour qu’ils obtiennent une aide à la réinsertion et/ou des places de stages. 100% des réfugiés dont je m’occupais ont sabotés nos efforts.
Lorsque je leur expliquais que tout ce que la Suisse leur payait provenait du travail des contribuables, la réponse était : « tout ce qu’ils reçoivent, c’est grâce à Allah, et pas aux suisses… ».
Aucun n’avait envie de se mettre au travail. Ceci pour deux raisons : 1) inadaptés au marché du travail Suisse, 2) ils auraient dû se retrousser les manches pour un revenu qui ne leur amenait rien de plus que ce qu’ils recevaient déjà !
Sans oublier, qu’il y avait un staff conséquent pour leur donner des cours de français, des cours « comment se présenter lors d’un entretien d’embauche », pour postuler à leur place, sans parler des groupes de cuisine, couture, des groupes de discussion, garderies, les services juridiques et le staff des assistants sociaux qui cherchaient à s’occuper d’eux, AU MIEUX dans tous les domaines de la vie…
A l’époque, je ne pouvais partager mes idées avec AUCUN de mes collègues de cet « asile business », car tous étaient gauchistes, cependant je me disais qu’ils ne représentaient pas toute la Suisse ; je croyais que la Suisse allait se ressaisir et ne plus laisser ces parasites abuser le peuple.
Mais, les vendus qui dirigent la Suisse ont continué de dilapider l’argent du peuple, ils ont fait grossir la masse des « réfugiés » en se montrant généreux avec l’argent du contribuable. Les
« réfugiés » viennent ici, uniquement parce que nous DONNONS TROP ET GRATOS !
Comme ils n’ont aucun point commun avec notre culture, normalement ils devraient tous demander l’asile en Arabie Saoudite, au Qatar, …pays riches, compatibles avec leur culture.
Ce ne sont pas les conflits qui nous amènent des réfugiés mais l’appel d’air créé par notre
« asile business ».
C’est un fait, les requérants envoyaient régulièrement dans leurs pays la moitié de l’argent touché (Fr.730.- net à l’époque pour un célibataire), et ceux qui se mettaient au travail dépensaient le moins possible en Suisse (comme la majorité des migrants et des frontaliers), par ailleurs, beaucoup parmi eux travaillent au noir.
Concrètement, que faire avec les familles « migrantes » assistées, installées à jamais dans des appartements aux loyers mirobolants que les contribuables financent ad vitam æternam. On ne peut pas les mettre à la rue. Les loger plus serré ? Leurs enfants étant déjà sujets aux problèmes psychiques, vous imaginez bien que ce n’est pas réaliste.
Les contribuables ont toujours été abusés, méprisés, débilisés, désinformés depuis 40 ans.
Il n’y a pas d’autre solution que de renvoyer tous ces parasites dans leurs pays d’origine.
Actuellement, les Suisses, au cerveau lavé par nos médias et nos politicards pourris, sont à mille lieues de telles mesures. Par conséquent, on continue de subir, de payer, de les laisser venir, de bosser pour ces profiteurs avec lesquels nous n’avons aucune valeur en commun !
Que faire?
Il ne nous reste plus qu’à nous révolter … et réussir cette révolte avant que nous ne devenions minoritaires !
J’aime bien le raisonnement final de M. Montabert. Mais il va se faire des ennemis : que feront les 3 S (Swisscom, Sunrise et Salt) et les fabricants de smartphones s’ils ne peuvent plus disposer de la manne colossale de ceux qui sont à l’aide sociale ? Parce que si on savait tout le fric qui est proportionnellement consacré à la téléphonie mobile par les gens qui sont à l’aide sociale, on comprendrait sans doute mieux d’autres choses…
“Combien ça coûte?” Je crois que c’est la meilleure question qu’il faut poser aux Suisses! Petit à petit, même ceux qui ne s’intéressent pas à la politique commencent à se frotter les yeux…