Cette mesure a été annoncée par un communiqué du ministre gabonais de l’Intérieur, Guy Bertrand Mapangou. En effet, les policiers gabonais ont été chargés de procéder à tout moment et en toute circonstance à l’interpellation des personnes portant un voile intégral tant sur la voie publique, et dans les administrations publiques que dans les transports en commun.
Pour éviter toutes sortes de confusions, Guy Bertrand Mapangou précise que ces contrôles ne constituent en rien une entrave aux libertés fondamentales individuelles, mais entrent dans le cadre des mesures de sécurité du territoire prise par le gouvernement.
Majoritairement chrétien, le Gabon, n’est pas encore confronté aux attaques terroristes, mais les autorités pensent que des mesures de prévention sont nécessaires : « Boko Haram n’est pas implanté au Gabon mais il pourrait y avoir des infiltrations possibles de sympathisants du groupe. Il vaut mieux prévenir car les frontières sont poreuses ».
Cette mesure arrive au moment où les pays voisins sont confrontés aux attaques terroristes de Boko Haram, et ont pris la ferme résolution d’interdire le port de la burqa et du niqab.
Notons qu’au Gabon l’islam est essentiellement pratiqué par les communautés étrangères établies dans ce pays.
Extrait de: Source et auteur
@BLUM Dominique, merci de rappeler qu’il s’agit très souvent … de commencer par revenir au BON SENS !
Impossible ?
Il s’impose d’envoyer Cazeneuve faire un stage de BON SENS chez son collègue gabonais.
M. Mapangou a bien du mérite à discerner le danger .
Ne doutons pas que cet homme montrera assez de pédagogie pour persuader Cazeneuve du péril de l’anti -racisme pratiqué jusqu’à la caricature.
Nous pourrions envoyer Taubira dans le même charter , pour faire des économies.
Avec elle, M. Mapangou devra s’armer de patience, tant la tâche est ardue.