Face à l’islamisme, la République ne doit pas trembler !

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C’est un texte important, capital même, que nous publions ci-dessous. Il a pour objectif de faire entendre la voix de cette majorité dite "de culture musulmane", qui rejette l’islamisme et revendique la laïcité et l’universalisme. Contrainte au silence par la menace, les pressions, les compromissions, elle veut aujourd’hui réaffirmer son existence et ses convictions auprès des pouvoirs publics, des politiques, de l’opinion. Ce que pensent les personnes qui ont signé et signeront cet appel est aujourd’hui systématiquement nié, non seulement par les islamistes mais aussi par leurs complices conscients ou inconscients. A "Marianne", nous considérons comme nos compagnons de route les plus exposés de ces femmes et de ces hommes de parole. Nous savons que, dans leur sillage, s’inscrit la multitude des âmes libres. A l’heure des tragédies qui menacent nos valeurs, l’écouter constitue une urgence vitale...

Nous sommes des citoyens de culture, de tradition ou de confession musulmane ; nous sommes athées, agnostiques ou croyants ; nous sommes d’origine arabe, africaine, perse, berbère, turque ou kurde ; nous sommes des Français, des résidents en France ou des amis de la République vivant à l’étranger.

Nous sommes surtout - et avant tout - des démocrates attachés à la laïcité et aux principes de la République.

Nous sommes enfin des femmes et des hommes libres, universalistes, amoureux de la France, de sa culture et de ses valeurs.

Même s’il n’est pas question pour nous de nous enfermer dans une logique communautaire ni de brandir une quelconque identité singulière, car contrairement aux tenants du communautarisme, Dire notre refus catégorique aux usurpateurs et aux apprentis-sorciers qui s'érigent en quasi autorité cléricale autoproclaméede l’uniformisation religieuse et de l’islam politique, nous revendiquons, en premier lieu, notre qualité de citoyennes et de citoyens, nous avons simplement décidé, au regard des événements et du contexte, d’assumer nos responsabilités pour dire notre refus catégorique aux usurpateurs et aux apprentis-sorciers qui s'érigent, en quasi autorité cléricale autoproclamée, et se permettent, depuis plusieurs années, en notre nom aussi, pour les uns, de s’exprimer, de revendiquer, de communiquer et d'agir souvent avec la complicité des pouvoirs publics, et, pour les autres, de menacer, d’intimider, de terroriser et de commettre des crimes. Les premiers et les seconds agissant, avec une rhétorique particulière, « au nom de tous les musulmans ».

À ce sujet, nous tenons à rappeler que l’islam – notamment sunnite qui représente l’écrasante majorité – ne reconnaît aucun clergé. De plus, nous trouvons inacceptable que cette instance, appelée CFCM, traversée par des courants vecteurs de l’islam politique et par d’autres, liés à des États étrangers ne respectant pas les principes laïques ni les règles de la démocratie, puisse usurper une « représentation » de « plus de cinq millions de musulmans de France », avec l’accord des pouvoirs publics et ce, depuis plusieurs années. Cette mascarade doit cesser au plus vite, car il n’y a pas cinq millions de personnes qui, en France, se définissent comme des musulmans. L’islam est un choix spirituel personnel et intime. L’islam ne s’hérite pas et ne se lègue pas. Et quand bien même cette instance préfabriquée serait représentative, elle ne peut représenter qu’une minorité incapable de faire passer un message remettant en cause ces dogmes archaïques et parfois violents qui constituent ce que le regretté Abdelwaheb Meddeb appelait « la maladie de l’islam », en l’occurrence l’islam politique.

Pour toutes ces raisons et à l’occasion de la célébration de la Révolution française qui a instauré la République et consacré les libertés individuelles et collectives ainsi que la Déclaration des droits de l’homme, nous demandons avec force :

Aucun calcul politique ne peut souffrir de compromission avec les tenants du projet intégriste instrumentalisant l’islam- Au président de la République, au premier ministre, aux membres du gouvernement, à l’ensemble des élus et des partis politiques républicains de demeurer fermes et vigilants face aux revendications contraires aux valeurs universelles, au principe de laïcité, portées et incarnées activement par les courants ou les personnalités liés ou proches des Frères musulmans et des salafistes. Aucune élection, aucune gestion de carrière, aucun calcul politique ne peut souffrir de compromission avec les tenants du projet intégriste et totalitaire instrumentalisant l’islam. L’islamisme nous impose une guerre et sa principale arme est le terrorisme, mais l’islamisme nous impose aussi une grande bataille idéologique que nous devons assumer collectivement. Nous ne devons jamais leur céder un iota de ce qui constitue nos acquis démocratiques ;

- Aux élus locaux de ne pas reculer et de faire front face aux pressions des islamistes qui tentent, au-delà des crimes terroristes barbares, d’imposer au quotidien, au niveau local, de manière sournoise et pernicieuse, un mode de vie rétrograde, antirépublicain et un projet antidémocratique. Il ne s’agit pas seulement de réinvestir les territoires et d’occuper le terrain social, mais plus encore de lutter avec une ferme détermination et sans relâche contre les zones de non-droit et du communautarisme, généralement infestées d’agents recruteurs pour le compte de l’islam politique qui savent mieux que quiconque profiter des vulnérabilités pour capter de nouveaux adeptes parfois à travers l’action sociale, d’autres fois par le biais du soutien scolaire, par exemple. Combat qui doit tirer sa force et son efficacité d’un soutien sans faille de l’État, qui doit assurer sa présence, en tout lieu et en tout temps ;

Nous refusons ce climat de terreur et la société toute entière le refuse. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions- À l’institution judiciaire de montrer une intransigeance et une sévérité intraitables, contre tous ceux qui tuent, menacent, s’attaquent aux biens et aux personnes dans le but de créer un climat délétère et terrifiant. Il n’est pas admissible que nous vivions dans une logique de peur où les tentatives d’attentats et les attaques islamistes succèdent aux menaces de mort et aux intimidations. Nous refusons ce climat de terreur et la société toute entière le refuse. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, pour sa croyance ou pour sa non-croyance. L’institution judiciaire, en première ligne dans cette mission républicaine et démocratique, doit infliger des peines exemplaires, dans le cadre des lois en vigueur. C’est ce message clair d’intransigeance que la République doit envoyer aux tueurs fanatiques et à leurs alliés. Ces derniers sont ces religieux qui légitiment la violence et refusent de la condamner, ces non-musulmans qui, par relativisme culturel, continuent d’infantiliser les musulmans refusant de les mettre face à leurs responsabilités et, au-delà, tous ceux qui aident, d’une manière ou d’une autre, à la banalisation et à l’avancée de la pensée islamiste, nourricière de terrorisme et d’attitudes antidémocratiques et anti-laïques ;

- À la société civile de se mobiliser et de puiser dans les valeurs de la République, les ressources nécessaires afin de répondre à tous les partisans, de la haine, des clivages et des divisions. Lorsqu’il s’exprime en Occident, l’islamisme clive et vise à alimenter les courants d’extrême droite et les tenants de la xénophobie, mais aussi à s’alimenter de leur vision antidémocratique et haineuse. Refusons cette bipolarisation du débat, car l’islamisme s’épanouit aux côtés des autres pourvoyeurs de haine et en compagnie des champions du laxisme et du relativisme culturel ;

Ne pas céder au chantage à "l’islamophobie", une escroquerie intellectuelle qui vise à instaurer une sorte de délit de blasphème déguisé- Aux intellectuels de ne pas céder au chantage à « l’islamophobie », véritable escroquerie intellectuelle qui vise à anesthésier et à atrophier le débat, à interdire la critique d’idéologies ou de groupes extrémistes, voire d’une religion ou d’un dogme, et d’instaurer une sorte de délit de blasphème déguisé. Tout en luttant — auprès des organisations antiracistes — contre le racisme et les discriminations qui visent souvent des personnes de confession ou de culture musulmane, il convient de demeurer vigilant quant à l’instrumentalisation des combats antiracistes par d’obscurs groupuscules qui visent à empêcher la liberté d’expression et le droit au blasphème et qui, sciemment, se refusent de condamner les crimes abjects et surtout de nommer leurs auteurs : l’islamisme, le salafisme et/ou le salafisme djihadiste. Il n’est pas excessif de rappeler que la culture de la violence est consubstantielle à tous les courants de l’islam politique. À ce titre, il serait erroné et naïf de croire qu’il existerait des « islamistes modérés ». Lorsque ces derniers le sont en apparence, c’est pour obéir à de petites tactiques politiques conjoncturelles ;

- À tous les Français, à toutes les personnes résidant sur le territoire de France et à tous les amis de la République, de continuer d’œuvrer tous ensemble contre la misogynie, le racisme, la xénophobie, l’antisémitisme et l’homophobie, de construire une France fraternelle, solidaire et rassemblée, malgré les différences, les divergences et les contradictions, autour du socle républicain qui doit transcender les clivages politiques et idéologiques et dépasser les identités singulières.

Nous lançons cet appel, parce que l’islamisme a ruiné les pays d’origine d’un grand nombre d’entre nous, semant le plus souvent morts, larmes, tragédies et désolation. Souvent en raison – aussi – de la gabegie ou de la complicité passive ou active des pouvoirs en place et de certains gouvernements occidentaux qui choisissent la voie du laxisme ou celle du cynisme, comme ce fut le cas durant la décennie noire en Algérie.Nous lançons cet appel, parce que l’islamisme a ruiné les pays d’origine d’un grand nombre d’entre nous

Il suffit de voir, par ailleurs, l’état de déliquescence culturelle, sociale, politique, sécuritaire ou économique dans lequel se retrouvent les pays qui ont donné une place à l’islam politique, pour s’en convaincre. Nous poussons ce cri d’alerte parce que nous savons parfaitement – et mieux que quiconque - que le salafisme et les Frères musulmans, et plus largement tous les courants islamistes, sunnites et chiites, qui instrumentalisent l’islam à des fins politiques, sont un poison extrêmement nocif pour les sociétés et le vivre ensemble. Nous lançons ce signal d’alarme parce que nous refusons, à tout jamais, l’idée que la République puisse s’aventurer à prendre le risque de se retrouver déstabilisée et ébranlée, par l’hydre islamiste, devenu malheureusement un péril intérieur.

Oui l’islam spirituel, lorsqu’il accepte de se soumettre aux lois et aux règles intangibles de la nation française, peut se fondre harmonieusement et s’exprimer sereinement et dignement dans la République. Mais nous affirmons très clairement que l’islamisme, ce totalitarisme, est un fléau qui nous menace tous sans exception.

C’est pourquoi nous déclarons avec la plus grande gravité, qu’il est vital pour nous citoyens, pour la République, pour la France, que nous soyons lucides, responsables et vigilants à chaque instant !

* Premiers signataires :
Mohamed Sifaoui, journaliste, président de l’association Onze janvier
Zineb El Rhazoui, journaliste à Charlie Hebdo
Boualem Sansal, écrivain
Djemila Benhabib, journaliste, écrivain
Fethi Benslama, universitaire et psychanalyste
Nadia El Fani, cinéaste
Hocine Drouiche, Dr en Droit musulman, imam et président du conseil des imams du Gard
Chahla Chafiq, écrivaine, sociologue
Hassan Chalghoumi, président de la conférence des imams de France
Marieme Helie Lucas, représentante de Secularism is a women's issue
Moulay Chentouf, Coordonnateur du Parti pour la laïcité et la démocratie en Algérie (PLD)
Asma Guenifi, psychologue clinicienne et ex-présidente de Ni putes ni soumises
Fazal Ur Rehman Afridi, président de l’Institut de recherches stratégiques de Khyber
Fariba Hachtroudi, écrivaine, journaliste et présidente de l’association Mohsen Hachtroudi
Imad Iddine Habib, fondateur du Conseil des ex-musulmans du Maroc
Sihem Habchi, ex-présidente de l’association Ni putes ni soumises
Dr Rafik Hassani, médecin
Soukaïna Brahma, étudiante en géopolitique
Walid El-Husseini, président du Conseil des ex-musulmans de France
Feriel Belhassen, courtier en assurances
Rezk Shehata, chef d’entreprise et président de l’association Laïcité pour tous
Rosa Akif, diplômée en Sciences politiques
Souhaïb Meddeb, conseil financier
Assia Smaïl, militante associative
Sam Touzani, humoriste
Lynda Trabelsi, cadre de la fonction publique territoriale
Karim Bey Smaïl, technicien en informatique
Lynda Aït Hamoudi, étudiante en management de la qualité des organisations
Dr Nazim Benhabib, chirurgien
Meriam Russel, militante Femen
Ziad Goudjil, conseiller régional Ile-de-France
Zoulikha Berezel, co-présidente de l’association Shalom Paix Salam
Fewzi Benhabib, universitaire
Jamila Alla, conseillère en insertion
Hassan Azadi, consultant en droit social
Lalia Ducos - Helal, militante associative
Tayeb Zahzah, opérateur économique
Zohra Bitan, militante politique
Atmane Tazaghart, écrivain, journaliste
Zakia Bekhti, gérante de société
Ahmed Megueni, chef d’entreprise
Melek Ekim, étudiante en droit
Malik Aït Aoudia, journaliste
Nadia Remadna, médiatrice sociale, présidente de l’association Brigade des mères
Aziz Sahiri, conseiller technique
Dr Amel Tamzali, psychiatre
Walid Khalifeh, militant démocrate kurde
Lamine Madjoubi, entrepreneur
Abderrahmane Merzouk, activiste saoudien opposé au wahhabisme, réfugié en France
Abdelali Ragad, journaliste
Adnane Trabelsi, chef d’entreprise
Rachid Mohand Mestiri, journaliste
Smaïn Roudène, chauffeur de direction
Hamid Benichou
Neil Tamzali, chef d’entreprise
Lyes Hakem, chef d’entreprise
Oussama Bouhas, étudiant
Khaled Issa, juriste
Menad Ahmed-Zaïd, collaborateur parlementaire
Mustapha Harzoune, journaliste
Rashid Saeed Yagoub, journaliste
Mohand Bakir, journaliste
Dr Yacine Hassani, médecin
Moncef Ben Othmane, fonctionnaire
Dr Mansour Abdelmalki
Wissem Bourbia, directeur de fonds
Youssef Tamzali, enseignant à l’école vétérinaire de Toulouse
El Hachemi Souami, journaliste

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11 commentaires

  1. Posté par Patrick Stocco le

    @ Cricri: un athée qui LIT les textes proposés, qui ne cesse de REFLECHIR calmement plutôt que de réagir avec ses tripes est un homme DANGEREUX ?… Donnez moi un seul exemple d’une grande religion monothéiste que l’on est serait parvenu à interdire dans une démocratie européenne… Et si vous n’en trouvez pas, essayez de réfléchir un peu plus loin que le bout de votre nez !

  2. Posté par Cricri le

    @Kandel
    Merci de tout cœur à vous aussi.

  3. Posté par Cricri le

    @Ecce Homo
    Merci pour votre formidable analyse, rien à ajouter, sauf que l’Islam est en complète contradiction avec les droits humains, que se soit pour son attitude envers les non Musulmans ainsi que les femmes et les enfants musulmans. Pour cette seule raison l’Islam aurait pu être déclaré incompatible avec nos lois et nos coutumes et banni des pays occidentaux il y a des décennies.

    @ Patrick Stocco
    Je vous trouve bien ingénu. Les gens comme vous sont tout aussi dangereux que ces fous de Dieu.

  4. Posté par Sentinelle le

    « Oui l’islam spirituel, lorsqu’il accepte de se soumettre aux lois et aux règles intangibles de la nation française, peut se fondre harmonieusement et s’exprimer sereinement et dignement dans la République. »

    Quelle belle déclaration, n’est-ce pas ? Seulement voilà : Quelle place ces musulmans « éclairés » accordent-ils au Coran ? Si, comme le demandait le prof. Meddeb, ils sont d’accord de « nettoyer » sérieusement le texte des ses parties violentes, discriminatoires etc., on peut commencer à discuter. S’il reste toujours le texte incréé et qu’ils continuent de ponctuer leurs prières par « Allahu akbar », la belle prose de leur déclaration n’est qu’un exercice de taqiya, un de plus… On ne nous y prendra plus !

  5. Posté par KANDEL le

    Le monde est saturé de l’Islam
    Selon un récent sondage d’opinion, le rejet de l’islam est aujourd’hui un phénomène commun à l’ensemble du monde occidental. Le sentiment d’une menace liée à la présence et la propagation de l’islam est partagé par tous, des Etats-Unis à l’Asie.
    « L’islam reviendra en Europe, en conquérant et en vainqueur, après avoir été expulsé à deux reprises du continent ».
    Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/french.ruvr.ru/2013_05_14/L-Islam-a-la-conquete-du-monde/

  6. Posté par Cenator le

    Il y a des points importants dans cette déclaration, dont on espère qu’ils seront entendus des autorités:
    – le CFCM n’est pas représentatif
    – Politiciens, ne faites pas de concessions électoralistes aux islamistes
    – Intellectuels, ne cédez pas au chantage de l'”islamophobie”
    – Élus, luttez contre les zones de non-droit

  7. Posté par BLUM Dominique le

    En cette veille de FETE NATIONALE, un aspect est à retenir de cette tardive prise de conscience: ‘L’islam “spirituel” (what’s that?)… peut se fondre harmonieusement et S EXPRIMER SEREINEMENT ET DIGNEMENT DANS LA REPUBLIQUE”. Qu’il fonde, donc, et qu’on n’en parle plus!

  8. Posté par Ecce Homo le

    1) « …il n’y a pas cinq millions de personnes qui, en France, se définissent comme des musulmans. L’islam est un choix spirituel personnel et intime. L’islam ne s’hérite pas et ne se lègue pas. Et quand bien même cette instance préfabriquée serait représentative, elle ne peut représenter qu’une minorité incapable de faire passer un message remettant en cause ces dogmes archaïques et parfois violents qui constituent ce que le regretté Abdelwaheb Meddeb appelait « la maladie de l’islam », en l’occurrence l’islam politique…. »

    ECCE HOMO :
    C’est d’un Islam imaginaire dont vous parlez. L’Islam réel est héréditaire, et impossible de le quitter. CESSEZ VOTRE TAKYYA, vous avez pu endormir les européens durant des décennies mais vous avez semé le malheur partout et le réveil commence !
    Je ne crois qu’aux musulmans APOSTATS qui se mettent militer contre l’islam, activement.
    Et, les musulmans biens portants devraient s’engager ACTIVEMENT à se battre contre l’EI !

    2) « …Nous lançons cet appel, parce que l’islamisme a ruiné les pays d’origine d’un grand nombre d’entre nous, semant le plus souvent morts, larmes, tragédies et désolation. Souvent en raison – aussi – de la gabegie ou de la complicité passive ou active des pouvoirs en place et de certains gouvernements occidentaux qui choisissent la voie du laxisme ou celle du cynisme… »

    ECCE HOMO :
    L’Islam est en train de ruiner NOTRE PAYS A NOUS, nos vies, … semant tragédies, désolation et des dégâts moraux, matériels, spirituels, culturels, identitaires et j’en passe.
    Nos gouvernements ponctionnent leurs citoyens, depuis des décennies, et offrent l’argent des contribuables aux musulmans (palestiniens, aides sociales, prisons 3 étoiles remplies de musulmans, …) mais rien ne suffit !

    Quand une bête sauvage est porteuse de maladies mortelles, on doit cesser de la caresser….

    3) « …Oui l’islam spirituel, lorsqu’il accepte de se soumettre aux lois et aux règles intangibles de la nation française, peut se fondre harmonieusement et s’exprimer sereinement et dignement dans la République. Mais nous affirmons très clairement que l’islamisme, ce totalitarisme, est un fléau qui nous menace tous sans exception…. »

    ECCE HOMO :
    Personne d’averti ne croit à un Islam spirituel, tout comme il n’y a pas de nazisme spirituel.
    La civilisation judéo-chrétienne est 100% incompatible avec l’Islam. 1400 ans d’histoire de l’Occident le prouvent. L’Islam n’est même pas compatible avec lui-même.
    Spécialement en Suisse (où en 40 ans, leur nombre a augmenté de plus de 1000%), le peuple suisse n’en veut plus! Nous n’avons jamais connu d’actes de barbaries pareils à ceux que ces gens nous ont infligés. Nos prisons, nos services sociaux en sont peuplés, le peuple trime pour les entretenir et payer pour les dégâts.
    MUSULMANS en Suisse, 52 pays vous attendent, allez les enrichir de votre présence! Allez-vous-en, reconstruisez vos pays d’origine selon votre Islam pacifique, NOUS NE VOULONS PLUS DU TOUT DE VOUS ! Laissez nous en paix !

  9. Posté par KANDEL le

    « L’islam ne s’hérite pas et ne se lègue pas. » — c’est pourquoi “les apostats doivent être mis à mort” — voilà de la logique 18 carats digne du tout et n’importe quoi contenu dans le coran.

    Ernest Renan qui connaissait bien L’islam et les musulmans disait: A partir de son initiation religieuse, vers l’âge de dix ou douze ans, l’enfant musulman, jusque-là assez éveillé, devient tout à coup fanatique, plein d’une sotte fierté de posséder ce qu’il croit la vérité absolue, heureux comme d’un privilège de ce qui fait son infériorité. Ce fol orgueil est le vice radical du musulman. L’apparente simplicité de son culte lui inspire un mépris peu justifié pour les autres religions. Persuadé que dieu donne la fortune et le pouvoir à qui bon lui semble, sans tenir compte de l’instruction ni du mérite personnel, le musulman a le plus profond mépris pour tout ce qui constitue l’esprit européen…
    Conférence a la Sorbonne le 29 mars 1883

    « C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée. » (Montesquieu / 1689-1755)

    Posté par Rose l. Di Salvio le 4 mars 2015 à 03h11
    […] Ce sont les musulmans eux mêmes qui ont inventés ce terme (islamophobe) pour être conforme à cette culture victimaire, n’ayant absolument aucune capacité ni maturité pour reconnaitre ses torts, qui sont des attardés sociaux, qui détruisent tout les pays qu’ils envahissent, qui adhèrent et cautionnent des pratiques d’une cruauté sans nom, qui cautionne même la pédophilie via le mariage de fillettes, qui lapide, décapite, ampute, massacre, vend des captives de guerres comme esclaves sexuelles, etc. Nous retrouvons cela dans ses nombreux textes abominables et infâmes!! Cette doctrine politico-totalitaire guerrière, esclavagiste, violente, suprémaciste, conquérante, de type sectaire (ordonnant le meurtre de ses apostats), bref, ma question est: COMBIEN DE MORTS DE NON ADEPTES D’OCCIDENTAUX FAUDRA-T-IL AVANT QU’ELLE SOIT RECONNUE COMME ELLE EST CITÉE PLUS HAUT? Car c’est bien de cela qu’on parle! Une doctrine ayant son propre système législatif d’une cruauté indicible, figée dans le temps, immuable, bref, à criminaliser avant que nos pays deviennent comme les 57 prit d’assauts qui verront le berceau du christianisme mourir du glaive de ses adeptes, adorateurs de sang et autres crimes contre l’humanité! L’islam est d’une perversité indicible!! Elle doit être interdite, au moins en Occident, sinon, nous verrons nos civilisations se voient détruites par le poids démographique et la soif insatiable de ses adeptes ayant reçu l’ordre de leur dieu de conquérir le monde par tous les moyens. Combien de morts faudra-t-il messieurs les dirigeants? Encore 6 millions? L’histoire ne nous a rien appris encore? Les 57 pays membres de l’OCI cherchant à tout prix à adopter la loi du blasphème est en voie de se réaliser, avec des Occidentaux aussi naïfs que trop paresseux pour étudier les textes de cette doctrine infâme!!

    « La religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, (…) semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire » (Condorcet / 1743-1794)

    “Ils en ont assez enduré pour savoir que l’écart entre islam et islamisme n’est pas si grand, que la différence entre les deux entités n’est pas question de nature mais d’intensité. L’islamisme est de l’islam à un autre degré, sa variante meurtrière. L’islamisme est la métastase de ce mal, l’islam.”
    (Jack-Alain Léger)

    « J’ai beaucoup étudié le Coran à cause surtout de notre position vis-à-vis des populations musulmanes en Algérie et dans tout l’Orient. Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman et quoique moins absurde que le polythéisme antique, ses tendances sociales et politiques étant, à mon avis, infiniment plus à redouter, je la regarde relativement au paganisme lui-même comme une décadence plutôt que comme un progrès. »
    Alexis de Tocqueville

    “Le fait que Mahomet ait écrit le Coran sous la dictée de l’ange Gabriel est non seulement absurde, mais dangereux : du fait de leur caractère sacré, on ne peut plus rien changer à ces écrits, et l’islam risque de se retrouver de plus en plus décalé par rapport au monde contemporain.”
    (Albert Jacquard)

    etc, etc, etc …

  10. Posté par Patrick Stocco le

    Le silence de ces citoyens de tradition ou de confession musulmane a été si assourdissant depuis janvier 2015 qu’on ne peut que les encourager à sortir enfin – timidement – du bois.

  11. Posté par C. Donal le

    “L’islam ne s’hérite pas et ne se lègue pas.” Malheureusement, c’est faux. Et puis, l’islam est politique, intrinsèquement totalitaire.
    Le beurre, l’argent du beurre et la crémière, c’est pas possible.

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