9 commentaires

  1. Posté par Anne Lauwaert le

    attention Cenator, dans nos pays ce n’est pas l’opinion de la religion que l’on doit admettre, mais le respect de la loi qui est la même pour tous.

  2. Posté par Anne Lauwaert le

    Non, non, là on est dans une dangereuse confusion! Quand on a une fuite d’eau dans la maison on n’appelle pas le ramoneur mais le plombier. Quand un gosse est déshydraté, on ne fait rien soi-même, car en cas de pépin, et il peut y en avoir de graves, c’est vous le responsable, mais on appelle des professionnels de la santé c.-à-d. l’ambulance, ASAP ! – ça ne se discute pas c’est comme ça – Dans les cas de maltraitance, vous n’intervenez pas vous-même, car en cas de pépin c’est vous le responsable, mais vous appelez la police. ASAP !
    Quand je faisais partie du secours en montagne on nous enseignait, péremptoirement, que chacun son boulot car chacun son métier et surtout chacun sa responsabilité et la responsabilité, ça peut aller vraiment très loin ! Par exemple si vous ramassez un blessé au bord de la route pour le conduire à l’hôpital et qu’il meurt dans votre voiture vous êtes responsable… Pour éviter la non assistance à personne en danger, vous appelez ambulance et police. Ca va même plus loin : si vous bougez un blessé et que par malheur il reste paralysé, on examinera votre responsabilité… Attention tout cela n’est pas simple et les conséquences peuvent être très graves avec de lourds dommages et intérêts…
    Un enseignant n’est pas un médecin, un imam non plus. Quand à appeler un imam pour ne pas victimiser la dame c’est là l’erreur, car si la dame exerce une maltraitance contre son enfant, maltraitance qui autre part n’est pas considérée comme telle, mais l’est dans nos pays, elle doit apprendre qu’elle commet un délit, que ce n’est pas permis et que c’est grave.
    Ce message doit passer clairement auprès de tout son entourage au lieu d’étouffer l’affaire en douce, car cette fois ça se termine peut-être bien, mais une prochaine fois cela pourrait ne pas se terminer bien et alors qu’est ce qu’on vous dira ? On vous dira « ah oui, mais cette fois-là vous avez fait passer la chose en douce au lieu de nous en expliquer la gravité » et ce sera encore vous le responsable.
    Cela devient de plus en plus compliqué car en cas de pépin on essayera de vous faire payer des dommages et intérêts, il y a des cabinets d’avocats spécialisés en la matière. Par exemple en Belgique un terroriste a été abattu par la police qui maintenant est dénoncée pour meurtre… Imaginez ce qui pourrait se passer : vous donnez à boire à un gosse déshydraté, déshydraté ça n’est pas seulement une petite soif, ça peut signifier un blocage rénal ou même pire, ce gosse boit, il fait un choc et meurt… vous imaginez le grabuge?
    Il y a un pas qui n’a pas encore été franchi, c’est l’examen du jeûne : le jeûne est-il compatible avec nos pays ? dans quelles conditions ? le jeûne de mineurs d’âge est-il compatible avec nos lois ? etc.
    Malheureusement on attendra qu’il y ait un drame pour oser aborder la question qui est très sérieuse.

  3. Posté par Cenator le

    Cela montre que les musulmans incultes sont souvent encore plus radicaux que leurs imams.
    Je pense que l’école a eu raison d’appeler l’imam plutôt que la police.
    Si on avait appelé la police, la mère se serait crue en situation de persécution religieuse, et chacun sait que la persécution ne fait que renforcer les convictions.
    L’intervention de l’imam a – peut-être – permis de fait comprendre à la mère qu’elle avait tort, même du point de vue musulman (qui est le seul qu’elle admette).

  4. Posté par conrad.hausmann le

    Hélas le fanatisme religieux n’est pas seulement musulan.Il y a les témoins de Jéhovas qui refusent la transfusion de sang mème en cas de risque mortel, etc.etc…
    .

  5. Posté par G. Vuilliomenet le

    @ Anne et Patrick

    Cela s’appelle islamisation des esprits. C’est extrêmement grave. C’est accepter de fait la charia, ce poison qui nous fera perdre notre liberté avec un grand L.

    Je m’arrête là, car mes paroles pourraient dépasser mes pensées, mais je n’en pense pas moins de cette pseudo religion qui est une véritable saloperie et là, je n’ai pas besoin de m’abriter derrière les propos d’une femme remarquable qui a dû faire face à la meute des anti-racistes, véritable plaie béante de nos sociétés occidentales, et d’une justice mur des cons en Rance voisine.

  6. Posté par Aude le

    Plus simple encore…..ne plus prendre de jeunes musulmans(nes) en course d’école ou voyages d’étude en période de ramadan…
    Bizarre… il y a un ou 2 collèges à Lausanne qui ont systématiquement des emmerdes lors de voyages d’étude..l’année passée en Italie..et le jeu du couteau qui s’est terminé par un mort. Laxisme….tolérance….

  7. Posté par Patrick Stocco le

    @ Anne Lauwaert: vous avez bien compris que c’est le DIP qui impose de recourir à un imam, subordonnant de fait l’autorité des maîtres à celle d’un religieux extérieur à l’institution scolaire !!

  8. Posté par Anne Lauwaert le

    si des maitres recourent à un imam ils jouent le jeu de la religion
    dans un cas semblable, ce n’est pas un imam qu’il faut appeler mais la police
    et une ambulance et s’il y a maltraitance de la part des parents d’un mineur d’âge, c’est à la justice de règler l’affaire mais en aucun cas un imam qui n’est ni un policier, ni un médecin ni un juge.

  9. Posté par Patrick Stocco le

    Partir en balade ou en voyage d’étude avec une classe et devoir gérer ce genre d’imbécilité ? Comme professeur, j’exigerais que les parents musulmans signent une décharge obligeant leur enfant à obéir au maître. Sinon l’enfant reste en classe ou je ne sors pas. Point barre.

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