A propos de l'article d' Olivier Francey, "Mauvais" requérant, Star de l'extrême droite", Le Temps, 19 juin 2015
Quand quelque chose déplaît à un journaliste, surtout lorsqu’il n’ose pas traiter un sujet que d’autres acteurs des médias présentent sur les sites de Réinformation, sans gêne aucune, en faisant totalement fi de la bien-pensance médiatico-politique, que fait ce journaliste vexé et qui enrage de voir que d’autres font le travail qui devrait être le sien?
Il fait appel, comme nous l’avons déjà montré à plusieurs reprises, à l’antienne, au hochet, à l’excuse passe partout et accuse. Quel est ce hochet préféré des complexés médiatiques?
Mais voyons c'est l’accusation d’extrême droite !
Eh oui ! Tout ce qui n’est pas bien-pensant sur les sujets brûlants et risqués de l’actualité est assimilé à "l’extrême droite".
Tout de même un peu facile, et faux. C’est tellement faux et diffamatoire que nous avons donc décidé de maltraiter et de caricaturer ces idiots utiles de la manière la plus négative, comme ils le font avec ceux qui leur déplaisent. Voir nos précédents papiers à ce propos ici et ici.
Dernier exemple en date, celui de ce faux requérants d’asile du foyer des Tattes à Vernier (près de Genève) interviewé par deux collaborateurs occasionnels de notre site Lesobservaterus.ch et qui ont maintenant leur propre blog Pravda.ch. Les réponses données par ce requérant débouté sont scandaleux et montrent l’image que certains de ces requérants ont d’un pays auquel ils osent demander l’asile. C’est un exemple particulier mais aussi un révélateur paroxystique d’un phénomène beaucoup plus général.
Passons sur le fait que ce faux réfugié refuse de dormir dans des abris souterrains. Il traite d'emblée les intervieweurs d’islamophobes et de racistes, sans que l’on remarque la moindre trace de cela dans les questions. La leçon a été bien apprise!
Ses propos sont odieux, notamment envers les femmes. Il pense qu’il pourrait rendre service à certaines femmes de 40 ans en les « baisant », etc., etc., en prenant ensuite une douche chez elles et en leur demandant un peu d’argent en partant. Voilà l’image du pays d’accueil. Nous n’inventons rien ; le journaliste cite d’ailleurs in extenso ses propos, ce qui peut étonner. Sans doute lui faut-il du croustillant, mais ce sera pour dénigrer et diffamer les interviewers et non pour critiquer un requérant qui n’a vraiment rien à faire dans notre pays.
La vidéo de cette interview a un très grand succès et a été très largement diffusé sur les réseaux sociaux. Nous l’avons également repris sur Lesobservateurs.ch, ici .
Le journaliste parle des intervieweurs comme des « individus » ; l’un est pourtant journaliste indépendant qui publie parfois sur « la nouvelle plateforme de Dieudonné » et parfois, autre scandale, sur notre propre site. Le journaliste rappelle que je suis le responsable de ce site et ancien professeur de sociologie à l’Université de Genève « rappelé à l’ordre par l’institution en 2009 ». Quel rapport avec ce sujet?
Il ne dit pas bien sûr que la gauche a voulu ma peau à plusieurs reprises à l'Université parce que je n’étais pas de gauche et ai toujours été anti-politiquement correct (en fait libéral, conservateur et tolérant) sans jamais verser dans l’extrémisme. Il ne dit pas non plus que ceux qui ont intenté cette action contre moi se sont ridiculisés très largement auprès du grand public. Une nouvelle fois ! (j’ai consacré un livre à cette affaire ubuesque : L’Affaire UW, Un révélateur politique et médiatique , Ed. L’Age d’Homme, 2010.)
A ce propos toujours, il cite uniquement le communiqué du rectorat, rien d’autre. Alors que l’affaire a donné lieu à un vaste débat public. Encore du tout grand journalisme. Le règlement de compte semble constituer une autre technique pour s’en prendre à ceux qui ne partagent pas les idées « nauséabondes » des journalistes faisandés d’extrême gauche.
Vous l'avez cherché! Je réponds sur le même ton, même si cela me demande un gros effort.
Avec le titre de son article (« Mauvais requérant, star de l’extrême droite ») l’ individu journaliste du Temps voulait évidemment associer tous les acteurs, et moi-même par la même occasion, à cette "extrême droite", éternelle marotte de la pensée indigente et médiocre de ce genre de journalisme de gauche dont la capacité d’analyse est du niveau des idéologues faisandés.
Le deuxième auteur de l’interview est « secrétaire de l’UDC Ville de Genève » et il a été, une fois, lui-même interviewé par son coéquipier. Sans doute un autre grand scandale!
Or, si ce genre de personnes en viennent à faire un travail journalistique c'est bien parce que les journalistes bien-pensants ne font pas leur travail et révulsent de plus en plus de lecteurs. La prochaine étape pourrait être le refus d’acheter un journal ou de le jeter...
Je dois rappeler qu’à une autre occasion, toute récente, et bien plus grave, je n’ai pas intenté de procès en diffamation à l’encontre de ce même journal par simple manque de temps, temps que je préfère justement consacrer à la Réinformation face aux désinformateurs patentés. Mais je pourrais bientôt changer d'avis. Le dossier c'est ici.
L’individu journaliste termine donc en s’offusquant du fait qu’il y a eu dans le cas de cette interview collaboration entre journalisme et politique ! Là on a envie de rire. Quand on sait que très souvent le journalisme devient pure idéologie à l’appui d’un seul camp politique, la gauche évidemment, rien que la gauche, on se tord.
Après cela on ose encore se plaindre de la désaffection des lecteurs envers ces unijambistes politiques qui prétendent faire un métier indispensable à la démocratie alors qu’ils ne sont que des trafiquants d’informations au service d’une idéologie « nauséabonde » sérieusement à la peine.
Plus la menace devient sérieuse plus ces « individus » journalistes deviennent arrogants et indignes de leur métier. Un chant du cygne ? « Des stars provisoires de l’extrême gauche » ?
Il semble que la concurrence du NET et des sites de Réinformation doit leur devenir insupportable.
L’arme de l’anathème « extrême droite » devient-elle leur nouveau mécanisme de défense et une arme de désinformation massive ?
Pour notre part, avec Lesobservateurs.ch nous continueront à établir un palmarès de ces désinformateurs patentés, avec pour objectif une attribution des meilleurs prix aux plus chevronnés d’entre eux.
La divulgation de la nature des prix est encore sous embargo.
Uli Windisch, 22 juin 2015
Un autre journaliste du Temps, Alexis Favre, utilise la même technique, plus sournoise il est vrai, pour associer la création de l’Association Suisse Vigilance Islam (ASVI), présidée par Mireille Vallette, ici, à l’extrême droite. Une vraie intoxication au Temps?
Voir l’article de A. Favre, La passionaria de l’anti-islam passe à l’action, Le Temps 20 juin 2015, en fin de ce dossier.
Annexe : l’article en entier de l’individu journaliste, Olivier Francey ci-dessous :
CONVERSATION vendredi 19 juin 2015
«Mauvais» requérant, star de l’extrême droite
@OlivierFrancey
#BruissementsDigitaux @OlivierFrancey
Notre chroniqueur fouille les circonvolutions du Net politique et des politiques sur le Net
A l’échelle romande, la vidéo de ce requérant d’asile du foyer des Tattes à Vernier (GE) est un véritable succès. Alors que ces lignes s’écrivent, la diffusion de son interview via Dailymotion a été visionnée près de 17 000 fois, partagée à des centaines de reprises sur les réseaux sociaux. Si la situation n’était pas aussi sérieuse, on parlerait déjà de buzz, à défaut de pouvoir employer le terme «ramdam», propice à toutes les interprétations, et surtout les plus pernicieuses dans le contexte qui suit.
Nul besoin d’une analyse cinématographique des 4 minutes et 37 secondes que dure la séquence pour comprendre l’attrait de ce Tunisien, débouté de sa demande d’asile: c’est lui, le mauvais requérant. Celui qui préfère «aller chercher une vieille de 40 ans et la baiser chaque soir, avant de dormir chez elle». Elle? Cette «Suissesse qui manque de sexe», laquelle lui lâchera finalement «un peu d’argent» à son réveil avant que l’amant d’un soir s’octroie une «douche». Ce requérant, quelle belle opportunité pour les amoureux des frontières étanches.
Devant l’objectif de la caméra, l’homme explique «qu’on ne peut pas vivre dans un abri PC pendant le ramadan», le «mois préféré des musulmans». Et de questionner: «Parce que tu penses que les Suisses, eux, accepteraient de vivre dans une cave?» Réponse de celui qui lui avait tendu le micro? «Mais les soldats suisses vivent dans des abris PC, vous le savez?» Ah, ce requérant: du pain bénit pour l’extrême droite.
Réalisée le 15 juin, diffusée le 16 sur le compte du site La Pravda.ch, média «romand» autoproclamé «indépendant», l’interview a été réalisée par deux individus: Alimuddin Usmani et Joseph Navratil. Ces noms ne vous disent sûrement rien. A moi, oui.
Le premier est un journaliste indépendant, contributeur régulier du site d’Alain Soral, Egalité et Réconciliation, et de la nouvelle plateforme de Dieudonné,Quenel +, ou encore des Observateurs.ch, propriété d’Uli Windisch, ancien professeur de sociologie à l’Université de Genève, rappelé à l’ordre par l’institution en 2009.
Le deuxième, secrétaire de l’UDC Ville de Genève, fut candidat aux dernières élections municipales genevoises. Mieux, il a été interviewé par… Alimuddin Usmani, le 31 mars 2015.
Tout cela pour dire quoi? Que Le Temps est devenu un repaire d’affreux gauchistes? Pas encore. Qu’un militant UDC n’a pas le droit de poser des questions? Encore moins. Que n’importe qui peut être journaliste? Assurément au nom de la liberté d’expression. Non, juste pour vous dire qu’en règle générale, un journaliste et un politicien n’interrogent pas, main dans la main, la même personne. Fût-il un «mauvais» requérant, n’est-ce pas Messieurs?
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© 2015 LE TEMPS SA
Le lien vers l'article de Alexis Favre :
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/eb3b5c92-171e-11e5-96f4-d5eb39d18cde/La_pasionaria_de_lanti-islam_passe_%C3%A0_laction
Voir également un autre article de notre site en rapport avec cet exemple de requérant :
Asile : La grande presse et le service public refusent le débat, ici
@Dominique Bianchi
Votre commentaire est exact, excellent et important, tout comme l’article de M. Windisch.
Je vous félicite, Uli, pour ce nouveau rappel à propos de l’insupportable arrogance hautaine et partisane dont fait partie l’oligarchie des journalistes du Temps et leurs homologues de la grande majorité de la presse romande.
Avec le développement d’internet et l’accès démocratique à de multiples réseaux d’informations internationaux aussi divers qu’innombrables les journaliste ont beaucoup perdu de leur prestige d’enquêteurs et d’analystes pour devenir simplement les porte voix d’une ligne politique se contentant souvent de reprendre les sources d’agences de presse officiellement agrées. Le lectorat n’est plus dupe.
Aujourd’hui n’importe quel citoyen qui a un certain sens critique et surtout du temps peut collecter des informations à des sources souvent plus directes et variées que ce qu’il peuvent trouver dans la morne uniformité de pensée de leur presse quotidienne. Leur esprit critique s’est aiguisé au point de souvent trouver insipide ou indigeste ce que les journaux leur proposent ce qui explique d’ailleurs le désintérêt que le jeune lectorat affiche pour la presse-papier.
Les journalistes du Temps et leurs confrères d’autres journaux sont devenus de véritables agents de propagande et leur fonction est devenue avant tout une prestation idéologique dont la partialité échappe de moins en moins aux lecteurs attentifs. Ces gens se défendront becs et ongles pour protéger leurs postes de privilégiés contre toutes concurrences ou tentatives d’aller collecter des informations à leur place, comme nous l’avons vu à l’occasion de l’interview du requérant algérien des Lattes. La sinistre mentalité de ce personnage pourtant représentatif d’une tranche de l’immigration bien réelle devait être à tout prix cachée au public. C’est bien ce type d’immigrant qui représente aussi l’état d’esprit d’une grande partie des envahisseurs que la presse préfère cacher sous le tapis de la bonne pensée du “Bien” tissé avec le fil blanc de l’idéologie multiculturaliste imposée par les instances de Bruxelles et de Washington.
@KANDEL le 22 juin 2015 à 16h34
“Cesla Amarelle est la personne choisie pour répondre au tessinois : le traite de xénophobe, nous rappelle que c’est contraire aux accords de Schengen, et cela brutalisera les migrants !”
Et personne bien évidemment pour lui demander si la fermeture de Vintimille par le gouvernement français. -de gauche- était contraire ou non aux accords de Schengen…
Cet article, auquel vous joignez qqs autres, écrits en 2014, évoque la révolte qui anime Ivan RIOUFOL, journaliste atypique dans le paysage médiatique français.
Pages 120 et 121 de “DE L URGENCE D ETRE REACTIONNAIRE”, il écrit:
“Nombreux sont les Français qui en ont plus qu’assez de se faire malmener, ridiculiser, enfumer par des démocrates qui n’aiment pas le peuple, des humanistes qui n’aiment pas les gens, des journalistes qui n’aiment pas les faits, des antiracistes qui n’aiment pas les Blancs, des progressistes qui aiment tellement les pauvres qu’ils sont prêts à en faire venir toujours davantage… Les parallèles convenus qui sont faits par les commentateurs labellisés avec la France des années 1930 sont une autre façon de tenter de nazifier un phénomène qui n’est rien de moins que le sursaut d’un peuple qui a survécu à des décennies de bourrage de crâne.”
Qui veut noyer son chien l’accuse de rage.
Qui veut jeter l’opprobre sur une personne ou une idée l’accuse « d’extrême droite », « de populiste ».
La démagogie de la TSR, TJ du 21.06.2015 1:50-8:30 concernant l’invasion de l’Europe : 19h30. http://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/19h30?id=6884611
C’est inouï ! Le reportage commence avec un clandestin Soudanais, suivi d’un député socialiste, la France ne fait pas assez, il y a une surenchère xénophobe.
Norman Gobi, chef du gouvernement tessinois, parle du projet de fermeture provisoire à Chiasso (que la speakerine nomme : proposition de choc !).
Cesla Amarelle est la personne choisie pour répondre au tessinois : le traite de xénophobe, nous rappelle que c’est contraire aux accords de Schengen, et cela brutalisera les migrants ! Pour Cesla Amarelle il faut mettre des structures en place pour accueillir tout le monde !
Reportage fait appel à Etienne PIGUET, professeur de l’institut de géographie de Neuchâtel, spécialiste des flux migratoires :
La speakerine : si le système des quotas ne fonctionne pas ?
Etienne PIGUET : « il faut que ça fonctionne. Mais tout d’abord, il faut relativiser un petit peu. On a eu des flux migratoires bien plus importants et on les a gérés. L’Indochine, la Bosnie, le Kosovo. On n’a pas de flots de personnes mais on a une crise qui a une ampleur considérable. Il faut donc une répartition… »
Puis, PIGUET répond à la question de la speakerine : est-ce que la Suisse en fait assez ?
PIGUET : « …par rapport à sa population pas mal mais par rapport à sa richesse, son taux de chômage et sa place disponible, elle pourrait en faire beaucoup plus ».
Fermer nos frontières ? « Non, à long terme, ça va donner une explosion de demandes d’asile »
Cesla Amarelle : Norman Gobi, qui veut fermer nos frontières est un xénophobe, une telle mesure brutalisera les migrants, il faut mettre en place des structures d’accueil.
LUSCHER, PLR (ni-oui, ni-non) : fermer nos frontières serait trop radical !
La semaine dernière, il y a eu plus de 1000 demandeurs d’asile au Tessin, ils arrivent en flux continu, leur nombre explose, le Tessin a de gros problèmes et quand il veut prendre des mesures, il ne trouve aucun soutien des autres cantons.
EN FAIT, LES PROBLÈMES DE FOND NE SONT JAMAIS ABORDÉS, À SAVOIR :
– l’Islam est incompatible avec notre civilisation,
– la Suisse est un petit pays déjà très densément habité,
– l’Afrique est un continent gigantesque vivant actuellement une explosion démographique insoutenable à très court terme ; par ailleurs, ce continent est continuellement habité par des conflits/guerres de toute nature, il n’est pas en mesure de nourrir sa population ; le rêve de la plupart des familles africaines : envoyer en Europe un membre de la famille afin qu’il puisse envoyer régulièrement de l’argent en Afrique pour faire vivre sa famille,
– l’Europe (et la Suisse) va être soumise à une pression migratoire africaine incompatible avec sa survie ; ou bien l’Europe parvient, sans délai, à endiguer cette pression migratoire ou bien s’en est fait de son existence même ; pour mettre fin à la migration africaine, il faut, et il suffit, de ramener tout migrant « en Afrique », cela sans état d’âme et sans rien remettre à ces migrants-envahisseurs dont le sans-gêne est sans limite ; une persévérance sans faille est nécessaire … et tout ce courant cessera de lui-même,
– comme il s’agit d’une question de survie de l’Europe, aucun accord, de quelque nature que ce soit, ne peut être avancé pour contrer ce combat totalement légitime, la libre circulation doit être abrogée sans délai, chaque nation européenne retrouve le contrôle de ses frontières (les états laxistes ne pourront s’en prendre qu’à eux-mêmes, ils ne pourront plus faire subir les effets de leurs laxismes à tous les pays de l’espace Schengen).
Oui Jacques, un canard boiteux qui ne sait pas nager! La sélection naturelle fera son oeuvre!
Journaleux bien-pensants (Le Temps, RTS, etc…), soyez attentifs, vous méritez au quotidien ces portraits bien ciblés !
• Trafiquants d’informations
• Porteurs d’idéologie nauséabonde
• Indignes de leur métier
• Désinformateurs patentés
• Unijambistes politiques
• Capacité d’analyse des idéologues faisandés
• Révulsent les lecteurs (auditeurs aussi)
Le palmarès du journaliste à la bien-pensance la plus toxique sera difficile à établir car ils se disputent tous la première place.
Ces journaleux du Temps ont perdu toute crédibilité, ils ne font pas d’analyses approfondie, ni des recherches, (pour cela Le Temps invite régulièrement des “spécialistes”), tout ce qu’ils savent faire c’est taper surtout sur lUDC à l’instar de l’éternel Yves Petignat (lassant!!!). Quelle misère, mais heureusement le journal perd des lecteurs ce qui est plutôt rassurant.
C’est marrant, quelle coïncidence ! J’ai toujours qualifié Le Temps de “sale canard”, y compris quand on voulait me démarcher par téléphone pour que je prenne un abonnement. J’ai systématiquement répondu qu’il faudrait être masochiste pour payer afin de lire un sale canard de cet acabit…