Cet homme a attaché sa victime. Il lui a infligé une quinzaine de coups de couteau, l'a frappée avec un pistolet «soft-air», lui a tiré des balles en plastique au visage, l'a étranglée, et lui a tranché la gorge.
Maître Hayat, avocate du prévenu, a appelé à voir la blessure de l'homme derrière ces actes. «On peut aimer mal mais aimer quand même», a martelé l'avocate. L'amour et la haine sont parfois proches, a-t-elle ajouté, concédant que le prévenu a tenu des propos «disgracieux» au sujet de la défunte.
Le Tribunal a suivi la défense… sans commentaire!
“Le Tribunal cantonal fribourgeois a partiellement suivi la défense du prévenu, qui demandait une diminution de peine. Condamné à 20 ans de prison, l’accusé échappe à la perpétuité. Seul un élément aggravant non lié à l’acte – par exemple de lourds antécédents – aurait pu contrebalancer cette obligation. Aucun élément de ce genre ne figure au dossier, estime la Cour.”
http://www.lematin.ch/faits-divers/peine-reduite-homme-egorge-epouse/story/23517138
Or l’assassin avait déjà des antécédents: “Possessif, paranoïaque et narcissique, le mari surveillait constamment sa compagne et lui faisait subir des violences bien avant l’époque du crime. Cette femme de 37 ans s’est séparée de lui et commençait à revivre, jusqu’à ce qu’il la massacre.”
Quelqu’un peut m’expliquer la logique de nos tribunaux?
En Europe , il y a aussi des violences graves exercées à l’encontre des femmes . Mais le coté religieux, traditions, honneur de la famille ne rentre pas en compte dans l’acte. Dans les sociétés Musulmane, il n’y a pas encore l’égalité hommes/femmes. Et lorsque des personnes venues de pays Musulmans où ils ont été éduqués dans ce cadre , ces repères, on arrive parfois à tuer au nom de la tradition, des coutumes , des règles religieuses. C’est pourquoi, on voit des cas extrêmes dans des familles Turques, Maghrébines Africaines où la désobéissance d’une jeune fille poussent le clan à lui régler son compte pour sauver l’honneur. Ces comportements sont induits par une culture médiévale où la femme est totalement soumise..il faut savoir qu’en Islam le corps de la fille ne lui appartient pas. Il appartient à ses parents et à “l’oumma” ( la communauté ). La notion d’individu n’existe pas . C’est la communauté qui prime sur l’individu qui lui doit soumission. Dès que la fille est réglée , il faut la surveiller, l’enfermer. C’est un danger pour l’honneur de la famille car elle peut enfanter en dehors du cadre légal familial et religieux ( un bâtard serait un désastre pour la famille ) . C’est pourquoi, on la marie vite et sans lui demander son avis. D’où les problèmes que rencontrent certaines familles immigrées en voie d’intégration en Europe qui marient de force leurs filles dans leur pays d’origine.
Evidemment , il y a heureusement des Musulmans éduqués qui ne tombent pas dans ces schémas terribles issues de la soumission totale au dogme, aux textes Coranique, à la tradition médiévale, à un certain sens dévoyé de l’honneur etc…
On espère bien que la peine sera maintenue, voire aggravée, et que Maître Hayat se mordre les doigts de ne pas avoir conseillé à son client de ne pas faire appel.
@ Dulex Philippe : “leur” appliquer la charia: surtout pas, car la charia ne punit pas les hommes qui tuent leur femme, je crois (ou en tout cas pas assez).
Bien formaté par la RATP, Religion d’Amour, de Tolérance et de Paix. CQFD.
Puisqu’ils le veulent appliquez leurs la charia !!!!!
Il va falloir vous habituer à réfléchir comme vos ennemis, c’est à dire en termes communautaires et raciaux avant tout, si vous souhaitez saisir correctement ce qui se joue et surtout si vous voulez avoir une petit chance d’éventuellement vous en sortir.
“Maître Hayat” défend avant tout les ressortissants de sa “communauté” -proche ou élargie- contre ce qui reste de notre civilisation tout en utilisant notre code pénal, ce n’est pourtant pas difficile à comprendre.
Et il y en a encore qui justifient l’injustifiable, excusent l’inexcusable, expliquent l’inexplicable, soutiennent l’insoutenable !!! Maître Hayat, à vomir !!! L’assassin, pendu haut et court ! Point final !