Le Tessin demande une clause de sauvegarde spécifique au canton dans le cadre de l'application de l'initiative sur l'immigration. Il propose de tenir compte des différences de salaires, du coût de la vie et du taux de chômage de part et d'autre de la frontière.
Le président du gouvernement tessinois Norman Gobbi a illustré le cas très particulier, selon lui, du Tessin, où la population avait accepté à 68,2% - taux le plus élevé de tous les cantons - le 9 février 2014 l'initiative sur l'immigration de masse: «C'est comme si Munich avait comme voisin Athènes». Cet exemple extrême, avoue-t-il, montre à quel point le coût de la vie est très différent entre le Tessin et les régions italiennes limitrophes.
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Finalement, la clause de sauvegarde est deja pas evidente a appliquer, mais ne concerne pas les migrations extra- europeennes qui deviennent une charge sociale de plus en plus lourde et va detruire le systeme social instaure depuis 1945, grâce au Nouvel Ordre Mondial!
La clause du besoin est une mesure parmi tant d’autre. Mais la plus efficace serait d’instaurer une taxe patronale équivalente au différentiel du salaire médian d’un frontalier ajoutée à la remise fiscale perçue par le patronat pour la perception de l’impôt à la source. Pour Genève, par exemple cela donnerait environ 21%. Cette taxe serait mensuelle. Là on touche le système et non plus l’individu. D’autre part, avec un tel réajustement le prétexte du “personnel qualifié” d’outre-frontière serait réel et non plus fictif….Cela règlerait aussi l’immigration continue voulue ou non, démontrant que nous formons, en Suisse, une relève compétente qui ne veut pas travailler pour des salaires euro-misérables compatibles !