Les multiples expressions employées pour désigner une même réalité nuisent à la compréhension d'un phénomène et de ces enjeux. L'emploi abusif du mot "migrant" ne vient adoucir qu'en surface les crispations autour de l'afflux de clandestins en Europe, détournant notre attention du fond du problème.
Comme souvent constaté il ne s’agit pas de réfugiés de guerre mais de réfugiés économiques qui veulent travailler dans le mème spectre de couleurs que la couleur de leur peau.
Quel que soit le mot “qu’ils” emploient, l’homme avisé saura toujours quelle sordide réalité il cache et que les gouvernants veulent masquer. La novlangue contient en elle-même le principe de son échec, et c’est heureux.