L'Autriche réexpédie systématiquement chaque jour des centaines de réfugiés vers Italie.
Chaque jour, entre 70 et 100 réfugiés tentent de quitter l'Italie pour chercher fortune dans les pays du centre et du nord de l'Europe. C'est un flux constant depuis près d'une année. Mais ils sont arrêtés à la frontière du Brenner. A peine entrés sur territoire autrichien, ils sont renvoyés et remis au commissaire italien du Brenner.
La plus grande partie d'entre eux arrivent à bord des coûteux trains internationaux, munis de billets pour l'Allemagne (Münich), d'autres montent et descendent des trains régionaux et inter-régionaux espérant de cette façon arriver au moins jusqu'à Innsbruck. Il ne viennent pas d'un seul pays mais de tout un continent, l'Afrique. Il n'y a pas seulement des Syriens, des Erythréens, des Sénégalais, des Soudanais, des Gambiens, des Malien, mais aussi des gens qui viennent d'autres pays du centre de l'Afrique.
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Ce problème [l'immigration de masse] a vraiment été sous-évalué et si une solution n'est pas trouvée très vite, il perdurera pendant 20 ans. Et il est inutile de renforcer les contingents de policiers. Le problème devra être résolu à la source, c'est à dire suspendre tout de suite le règlement de Dublin III. [...]
Suite en italien
C’est certes gênant pour les Italiens, mais la faute en incombe aux européâstres qui ne se décident pas à prendre des mesures draconiennes pour stopper l’invasion. Les Autrichiens ont raison. Et les Italiens – le peuple – a raison d’en avoir marre de ces barges de débarquement qui ne cessent de vomir des divisions d’immigrés sur leurs côtes. Il faut cesser “triton” et “mare nostrum” et envoyer des flottilles couler les bateaux dans les ports de départ, sans demander l’autorisation du machin onusien. Et rendre les frontières hermétiques.