Quand tout va mal, que la crise identitaire atteint des sommets vertigineux, que les bons résultats économiques promis par l’exécutif soient en fait une chimère, nos amis socialistes nous ressortent les bonnes vieilles mesures antiracistes. Je ne vais pas revenir sur le fond de ces réformes, je les ai commenté, disséqué et il n’est pas nécessaire de rédiger des articles qui en feraient des doublons.
Cette vague d’annonces sur le ô combien grave problème du « racisme Français », nos élites mondialisées accusant le peuple de France est intolérant, xénophobe, peut-être même mangeur d’enfants immigrés. Les étrangers vivant dans notre pays reclus de peur de vivre une ratonnade quotidienne. L’Etat et son peuple brimant, torturant, humiliant, une partie entière de la population. Evidemment tout cela est faux, pire ce sont les Français de souche les victimes de l’invasion étrangère. Pourtant nos gouvernants en ont cure de la souffrance des Français, seul l’intérêt étranger importe.
Cette préférence des exécutifs dure depuis bien 40 ans, obligeant les Français à s’assimiler à l’étranger pour ne pas être stigmatisé, à détester ce qu’ils sont, simplement parce qu’autochtones. Ils sont victimes de la racaille immigrée pourtant aucun plan, aucune mesure, aucune protection, rien seul le mépris leur est montré. Pire ils doivent se taire, encaisser, accepter d’être des citoyens de seconde zone au profit d’autres ayant posé leur pied la veille sur le sol Français. Ces derniers insultent notre drapeau national, crachent sur notre histoire millénaire, jouissent de la solidarité des compatriotes, leurs enfants se sentent avant tout de leur bled et rejettent l’idée même d’une nation Française.
Pour nos gouvernants cela n’a aucun intérêt, ces méfaits n’existent pas, ils sont niés, la préférence étrangère jouant à plein. Donc on culpabilise l’indigène de France, on le rabroue, de toute façon il n’est rien, il doit à terme être remplacé par d’autres considérés plus beaux, plus forts, plus intelligents, plus tout. L’antiFrance est en marche et elle n’est pas prêt de s’arrêter.
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