Pourquoi j'ai pas mangé mon père, anatomie d'un ratage
Pour son premier passage derrière la caméra, Jamel Debbouze, 39 ans, a transposé, librement et maladroitement, le livre de Roy Lewis (1960). Décryptage d'une comédie bancale.
● Un scénario poussif
Jamel Debbouze voulait faire rire avec une comédie optimiste, «à message», mais les aventures d'Édouard, le fils aîné du roi des Simiens, un personnage qui lui ressemble et auquel l'humoriste prête sa voix laissent de marbre.
@Le pragma
Ah, c’est vous qui faites des heures supp. le week-end à attraper les cacahuètes.
N’empêche qu’il vaut mieux être Debouze que rassi (ste).
Il me semble l’avoir croisé a Servion ce weekend end
Jamel Debbouze laisse toujours de marbre.
Ce qui est rigolo c’est que quand on fait allusion au singe en parlant de madame Taubira ça provoque un cataclysme, par contre – si j’ai bien compris – ici c’est Jamel qui s’identifie lui-même à un être simiesque ???