Didier Burkhalter a annoncé que la Confédération soutiendra financièrement les deux pays à hauteur de 50 millions de francs.
L'aide à la Syrie se montait jusque-là à 30 millions de francs par an. Le conseiller fédéral a rappelé que la Suisse a investi 178 millions en quatre ans, depuis le début de la crise syrienne.
Il a évoqué aussi une nouvelle stratégie de coopération avec l'Ukraine pour la période 2015-2018, dont le lancement est prévu en avril. Celle-ci prévoit des projets bilatéraux et son budget passe à 100 millions de francs, soit le double par comparaison à la période quadriennale précédente.
Le conseiller fédéral a souligné que la Suisse a augmenté le financement de son aide humanitaire de 40 millions de francs en 2014 en raison des appels d'urgence des organisations caritatives. Le budget de la Confédération pour l'aide humanitaire s'élève à 2 milliards pour la période 2013-2016.
Source
Budget à additionner avec celui de l'aide au développement qui s'élève à 11,35 milliards libérés pour la période 2013-2016.
La barre des 100’000 personnes à accueillir, loger, et souvent à entretenir à vie, est largement franchie chaque année.
A côté de cela, 3 milliards de CHF sont dilapidés annuellement pour « sauver l’humanité ». Nos élites (les socialopards et leurs alliés) prennent le peuple pour Globus, ou Jésus Christ, qui doit porter le poids de la misère du monde. Ce type de “dons” doit cesser totalement immédiatement, … tous ceux qui veulent être généreux peuvent le faire avec leurs sous mais jamais avec l’argent du contribuable (c’est vraiment trop facile).
Il semblerait que Ziegler et Cie poussent la candidature de D. Burkhalter pour la présidence de l’ONU. Tant de prestige, ça se paye …..(avec notre fric).
Ecoutons Top Gun: « Le seul moyen qui reste est le soulèvement et la chasse!!! »
• 22 mars 2015
• Le Matin
• Camille Krafft
«Ils siphonnent l’aide au développement»
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Fonds Le président de la Commission de politique extérieure du National (PS/GE), Carlo Sommaruga, dénonce un détournement progressif de l’aide publique destinée aux pays pauvres.
L’annonce d’hier n’a pas fait beaucoup de bruit. Le Conseil fédéral disait son intention de participer au processus de fondation de la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (AIIB). Une démarche susceptible de créer des tensions avec les Etats-Unis, mais pas seulement. Le président de la Commission des affaires extérieures, Carlo Sommaruga, craint que la contribution financière de la Suisse à l’AIIB ne vienne grever le budget alloué à l’aide au développement. Car c’est très probablement là que l’argent sera pris, selon le Secrétariat d’Etat à l’Economie (SECO), qui rappelle par le biais de sa porte-parole, Antje Baertschi, que «c’est déjà le cas pour d’autres banques de développement». La Confédération met du reste en avant le fait que la Banque asiatique a pour but «la promotion d’un développement économique durable en Asie, avec un accent particulier sur les pays les plus pauvres de la région».
Laurent Crottet Carlo Sommaruga dénonce des attaques répétées contre l’aide au développement.
Selon le SECO, qui livre «un ordre de grandeur», la participation suisse représenterait un engagement conditionnel de 600 millions de dollars américains, dont le capital versé se monte à 20%, c’est-à-dire 120 millions de dollars. «Le montant exact dépendra de beaucoup d’éléments et fera encore l’objet de négociations», précise le Secrétariat d’Etat.
Or, pour Carlo Sommaruga, «il n’est pas encore démontré qu’il s’agit d’une banque de développement dont les investissements viseront à une amélioration des conditions de vie des plus pauvres dans les pays visés». Le SECO, qui assume l’aide au développement conjointement avec la Direction du développement et de la coopération (DDC), précise que cela sera déterminé au final par le Comité d’aide au développement de l’Organisation de coopération et de développement économiques, laquelle est responsable de la définition de l’Aide publique au développement. Mais les inquiétudes du socialiste ne portent pas que sur la participation suisse au processus de la fondation de l’AIB. Selon le conseiller national, outre les attaques politiques régulières contre le budget de l’aide au développement, qui représentent « la partie visible de l’iceberg », la tendance est au siphonage en sous-main de l’APD. Carlo Sommaruga cite deux exemples récents pris sur les 11,35 milliards destinés à l’aideau développement entre 2013 et 2016 (0,5% du PIB en 2015.) : l’assistance aux requérants d’asile en Suisse « pour 360 millions de francs pour les quatre prochaines années », et la participation de la Suisse au fonds vert pour le climat, annoncé en janvier (100 millions de dollars).
Dans le premier cas, le Comité d’aide au développement de l’OCDE a admis que les dépenses effectuées durant la première année de prise en charge des réfugiés pouvaient être considérées comme de l’aide au développement. «Mais il aurait fallu un crédit supplémentaire, et non pas piocher dans les sommes à disposition pour les plus démunis de la planète», estime Carlo Sommaruga. Quant au Fonds vert pour le climat, même si la contribution était déjà inscrite dans les crédits pour l’aide au développement, il vise à soutenir les pays dans l’élaboration de leurs propres politiques climatiques. Si le programme touche certains pays prioritaires de la DDC (Burkina Faso, Mali, Mozambique), il se concentre principalement sur la Chine, l’Inde, le Pérou et l’Afrique du Sud. «Il faudrait que la Suisse puisse choisir quels pays elle aide dans ce fonds, estime Carlo Sommaruga. Sinon, on réduit encore un budget qui était destiné aux plus pauvres dans les pays du Sud.»
Ces questions seront discutées dès demain au sein de la Commission des affaires extérieures du Conseil national. »
Article paru le 22 mars 2015 au matin Dimanche
Sur internet, la partie chiffrée avait été coupée, je l’ai rajouté à la main….
Souvenez-vous en à chaque votation !
Je suis de l’avis de Top Gun : « Le seul moyen qui reste est le soulèvement et la chasse!!! »
Il va falloir que le Souverain reprenne le contrôle de ce pays et tape sur les doigts de ce Conseil fédéral qui n’est que son mandataire.
Ce cher conseiller fédéral semble très imprudent.Il aurait dû ouvrir son “parapluie” en disant que l’aide de la Suisse ne concerne aucunement le gouvernement syrien, mais seulement les différentes oppositions, sinon Mr Fabius , ministre des À.E, risque la déprime.
ILs veulent runier les classes moyennes: Le social devient hors controle à l’intérieur du pays par les socialos et verts,et hors controle à l’ étranger par la faute aussi du pdc. et plr,