Invitée de la grande interview du dimanche dans l'émission Forum de La Première, Astrid Epiney, rectrice de l'Université de Fribourg, estime que le peuple ne devrait se prononcer que sur des initiatives formulées en termes généraux.
Selon elle, cela éviterait les frictions qui apparaissent lorsqu’un texte constitutionnel rédigé en termes précis est en contradiction avec la Constitution ou les engagements internationaux de la Suisse.
Adhésion populaire difficile
Et "il n’y aurait pas moins de démocratie", puisque le peuple aurait toujours le mot de la fin puisque le peuple pourrait toujours combattre la loi d'application par référendum, précise cette professeure de droit de 49 ans.
Astrid Epiney, qui a pris ses fonctions de rectrice il y a une semaine, reconnaît que sa proposition de biffer le droit d’initiative formulée en termes précis a peu de chances aujourd'hui de rencontrer l'adhésion populaire.
Mais elle en est convaincue: si les frictions continuent de se multiplier ces prochaines années - comme pour le renvoi des criminels étrangers ou l'initiative anti-immigration de l'UDC -, on finira par y arriver.
Ecoutez :
Et c’est ce genre de bonne femme que l’on nomme recteur d’université !!
Et elle ose dire des âneries pareilles, seulement une semaine après avoir été nommée à son poste … on devrait la virer vite fait car très dangereuse !!!
Cette dame est tout simplement en train de dire que les citoyens sont des veaux décérébrés auxquels il faut donner des idées prédigérées qui n’ont aucun sens ou alors si général qu’il permettra de faire tout et n’importe quoi. De Gaulle avait déjà dit ça cela lui a valu un coup de pied magistral !
Autre solution: “Puisque le Conseil Fédéral est contre la population, il faut dissoudre le Conseil Fédéral”.
“Puisque le peuple vote contre le Gouvernement, il faut dissoudre le peuple.” Bertolt Brecht
En clair, des textes flous afin que le gouvernement puisse faire ce qui lui plaît. Question: à quoi cela sert-il de voter puisqu’au final ce sont d’autres personnes qui vont pouvoir imposer ce qui les arrange?
Alors que bien des pays envient notre démocratie directe, cette dame (hum!!) veut des initiatives arrangeant le Conseil Fédéral et ses valets.
@Bigjames : “Je n’ai pas pour habitude de m’attarder sur le physique des gens, mais je parie que cette dame n’est pas mariée et n’a pas d’enfants, et c’est son droit. C’est surtout ses mains qui me font penser ça.”
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C’est exactement ce que j’ai voulu dire dans mon précédent commentaire. C’est sûr que c’est son droit. C’est néanmoins significatif 🙂
C’est une fois de plus typiquement ce genre d’engeance qui parasite le système et veut nous donner des leçons de démocratie. Cette dame a largement le niveau d’incompétence des 3 cruches qui squattent inutilement un siège au conseil fédéral.
Ces gens là vivent en “Théorie”, ce pays imaginaire où tout est beau, les réfugiés tous honnêtes, ou personne ne ment ni ne triche.
On peut donc lui prédire un bel avenir politique du côté de la gôche internationaliste et bien pensante. A nos frais évidemment, il ne faudrait qu’un jour cette blanche colombe salisse ses belles mains de bureaucrate avec un ingrat travail manuel. C’est pas le genre de la maison!
Je n’ai pas pour habitude de m’attarder sur le physique des gens, mais je parie que cette dame n’est pas mariée et n’a pas d’enfants, et c’est son droit. C’est surtout ses mains qui me font penser ça.
Vive la démocratie directe. On se battra pour ça s’il le faut!
En voyant la photo, j’ai cru que c’était un homme !
Voici le profil de cette parasite ruineuse:
“Astrid Epiney a étudié le droit à Mayence, Lausanne et Florence. Ses recherches sur le droit international lui ont valu en 1991 un doctorat de l’Université de Mayence et l’habilitation en 1994 (droit international, droit européen et droit public). Après une activité de collaboratrice scientifique à l’Institut de hautes études en administration publique (IDHEAP Lausanne), elle a été nommée professeure associée en 1994 puis professeure ordinaire de droit européen et international à l’Université de Fribourg (Suisse) en 1996.
Elle a conduit plusieurs projets de recherche financés sur fonds externes (notamment le Fonds national suisse) et assumé divers mandats d’expert pour des organisations publiques et privées. Ses recherches portent notamment sur les relations Suisse-UE, le droit européen de l’environnement, le droit constitutionnel européen, le droit européen des transports, le droit de la protection des données et le droit européen de la migration.
Elle a assumé diverses fonctions de gestion universitaire (elle a été notamment doyenne de la faculté de droit et vice-recteur de l’université).
Elle est membre du Conseil suisse de la science et de l’innovation depuis 2012.
Astrid Epiney est née le 9 juillet 1965.”http://www.swir.ch/fr/le-cssi/organisation/le-conseil?id=252
Depuis 45 ans, les sciences humaines en Suisse Romande, n’engendrent que la déchéance.
Si le peuple réussissait à chasser ces saletés nuisibles de leurs trônes, la moitié de la bataille pour sa souveraineté serait gagnée.
Non, il est préférable de régler le problème par un grand oui à la primauté du droit suisse.
Exclu d’affaiblir la position démocratique, les putschistes du CF n’ont qu’à s’exécuter. Hors de question de tout le temps discutationner et de s’aplatir devant les baillis de Bruxelles.
Inutile d’en adoucir la forme et la manière; cette gouvernance UE on n’en veut pas.
Pour se rendre intéressant on peut lancer n’importe quelle idée.Mais comme cette Dame l’admet il n’y aura aucune “adhésion populaire” ni autre à son idée.
Pour essayer de se rendre intéressant on peut proposer n’importe quelle idée,mais comme elle l’admet il n’existera “aucune adhésion populaire”