Genève : STOP BUNKERS, fermons les abris P.C

« Sans lumière naturelle, en sous-sol, entassés dans cet abri… Je suis scandalisé des conditions dans lesquelles ces hommes vivent ».

Jeudi en fin de journée plus de cent personnes se sont rassemblées devant l’Hôtel-de-Ville pour interdire l’hébergement prolongé de requérants d’asile dans des abris PC.

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13 commentaires

  1. Posté par bonardo le

    Bonjour, à la lecture de certains commentaires, étant seulement Suisse, je me pose des questions sur le devenir de notre beau pays qui devient une poubelle, notre pays devient sale, manque de sécurité, vols, brigandages, incivilités, un conseil fédéral incapable de gérer la situation, une Suisse qui souffre et un tas de profiteurs qui dilapident notre richesse, qui ne respectent pas nos us et coutumes, bref un bordel pas possible, des requérants déboutés qui exigent, revendiquent et occupent en toute illégalité des lieux. En tant que Suisse, je suis victime de discrimination, mais personne pour m`aider; je devrais certainement aller dans une église pour m`installer ??

  2. Posté par Ecce Homo le

    La radio Suisse Romande 1 vient de passer un reportage sur l’asile et l’imposition des centres de requérants dans nos communes. Un spécialiste de la communication nous dit qu’il suffit de trouver les bons mots pour ôter les peurs irrationnelles de la population!!
    Nous (le peuple) devons bloquer totalement l’accueil des requérants.
    RÉVOLTONS-NOUS!
    Non à la destruction de notre civilisation!
    Ne plus en accueillir et couper totalement l’aide sociale à cette population qui se reproduit, à un rythme effréné, sur notre sol!

  3. Posté par Ueli Davel le

    La Suisse n’a pas colonialisé le monde comme l’on fait les pays qui nous entourent. Comme disent les politiciens français à chaque deuxième phrase: qu’ils prennent leurs responsabilités!

  4. Posté par Wilhelm le

    Stop aux renvois; No bunker…et pis quoi encore ?..oui à plus de social, oui à un appartement avec télé connexion internet, oui à des toilettes propres nettoyées par l’état, oui à des lieux de culte ou l’on peut dénigrer vos valeurs et votre civilisation de koufar et ou l’on peut faire de la ségrégation sexuelle (sous le silence assourdissant des gauchistes-féministes). Nous voulons la liberté que nous n’aurons jamais dans nos pays, sous le dicta de l’islam (soumission) que nous chérissons. Nous voulons la liberté chez vous mais nous prônons la charia chez nous… Allez oust ! dégagez-moi tout ça !

  5. Posté par Martell le

    Quand je lis ou entends que l’asile est un droit, j’ai les cheveux qui se hérissent très haut.
    Non, l’asile n’est pas un droit, nonobstant la litanie tant de fois rabâchée par le Club des Généreux. L’asile est un privilège (que les pays occidentaux, surtout européens, accordent d’ailleurs avec beaucoup trop de largesse, au détriment même de leurs propres concitoyens), car de quel droit, moral ou légal, suffirait-il de frapper à la porte d’un pays pour que celui-ci vous accueille, vous fournisse le gîte, le couvert et la sécurité?
    Quand je dis que l’asile est un privilège, je précise bien qu’il s’agit d’un privilège EXTREMEMENT COUTEUX pour le pays qui accueille, et au final par sa population; non seulement en termes d’argent (en en peu plus de quarante ans, notre pays a déjà dépensé des centaines de milliards de francs pour la partie des étrangers qui a décidé de ne pas travailler), mais aussi en termes de désagréments, la criminalité n’étant pas le dernier de ceux-ci.
    Et au final, le citoyen du pays d’accueil, à qui l’on n’a jamais demandé son avis sur l’arrivée d’étrangers sur son sol, dont une partie de ses impôts bénéficie à ces mêmes étrangers, se voit traiter de vilain beauf raciste et intolérant, tout ça parce qu’il aime son pays et qu’il tient à défendre son identité.
    Petite question: avez-vous senti la moindre gratitude chez les réfugiés, ces gens à qui l’on ne devait absolument rien, et qui ont reçu énormément de notre part? Pas moi en tout cas, tout ce que j’ai senti, c’est un mépris à peine caché, quand ce n’étaient pas carrément des insultes (si, je vous jure)… Fais du bien à Martin, il te chiera dans la main.

  6. Posté par bose birgitt le

    Nos soldats y stagnent pendant leur service militaire et personne n’y trouve à redire… la nuit est faite pour dormir et les journées, ils ont la possibilité de bouger ou pas? En tt cas on notera que ce ne sont que des hommes musulmans qui réclament de façon si vindicatives, ça devient une habitude de jouer les victimes et même de réclamer ce qui n’est pas dû. Il y a eu des plaintes de requérants qui ont été considérées comme mensongères et qui avaient fait la une de notre Impartial il y a 1 dizaine d’année, c’était le début! Maintenant cela devient un chantage systématique. Dites-moi SVP si les soldats se plaignent et si ces malheureux requérants y passent également leurs journées. Merci

  7. Posté par Gilx Favre le

    Pourquoi n’acceptent-ils (visiblement, il s’agit d’hommes) de retourner en Italie ?

  8. Posté par Nicolas le

    Fermons ces abris immondes pour les loger chez nos socialistes bobo, dans un joli pavillon en France voisine cela va de soi.

  9. Posté par bigjames le

    L’asile est un droit…
    et vous foutre dehors aussi !!!
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  10. Posté par JeanDa le

    Ils repartent quand ils veulent !
    Et que les bien-pensants à droite sur la photo les accompagnent.

  11. Posté par Vautrin le

    La photo parle d’elle-même !

  12. Posté par Derek Doppler le

    90% d’envahisseurs, le reste, ces ignobles baby-boomers, la plus infecte génération qui soit, celle qui a renié les pères et trahi les fils.

  13. Posté par Ueli Davel le

    Je suis sûr que si les élus gauchistes et autre élu bien pensants ainsi que leurs électeurs, prenaient ces pauvres chez eux et leurs donnaient du travail, il n’y aurait pas de problème. Bien sûr que des places de parking en plein air seraient offerte par la commune. Ils devraient aussi penser que plus les apparts seront somptueux, plus leurs amis immigrés seront contents, c’est humain,non? Il fallait y penser, just do it, now, sofort, maintenant. Qui vous en empêche?

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