"Au nom de la lutte contre l'homophobie, le ministère de l'Éducation nationale agrée des organismes de prévention ouvertement gay dans les établissements scolaires", révèle la Note bleue n° 06 de mai 2009 (analyse de la Fondation de Service politique, 83 rue Saint-Dominique F-75007 Paris) qui poursuit :
"Sous couvert de la lutte contre les discriminations" et l'homophobie, la propagande homosexuelle de ces organismes promet à l'école "l'homosexualité considérée comme "une orientation [soi-disant] naturelle de la sexualité". La lutte contre les discriminations doit-elle justifier la propagande homosexuelle à l'école ?
Que doit-on penser de ces affirmations ? A-t-on raison de promouvoir la lutte contre l'homophobie par le moyen de la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT à l'école ?
"Est-ce le bon remède" pour soigner ou prévenir cette soi-disant maladie politique de l'homophobie ?
"Les militants de la cause gay utilisent le registre" de la soi-disant lutte contre l'homophobie du lobby LGBT "pour faire taire leurs adversaires". Pourquoi ces amalgames entre propagande gay et homophobie ?
"Que les associations gay demandent pour les personnes homosexuelles le respect dû à tout individu est une requête légitime… En revanche, en tentant de prendre en charge l'éducation sexuelle des enfants et des adolescents dans les établissements scolaires, elles changent de registre…"
"Exploiter politiquement les problèmes d'une minorité [gay], jouer sur les ressorts personnels, moraux, intimes pour culpabiliser.. et [vouloir] annihiler les réactions éventuelles [des familles hétérosexuelles], sont des méthodes caractéristiques des idéologies [sectaires]… Il ne s'agit plus d'une juste revendication, mais de prosélytisme et d'une activité militante qui utilise la souffrance et la culpabilité pour parvenir à ses fins…
Thierry Boutet a "été mis en examen pour provocation à la haine, à la violence ou à la discrimination, à l'égard d'une personne ou d'un groupe à raison de leur orientation sexuelle". Anciennement à la rédaction de Liberté politique, il a "publié sur le site Liberté politique… des propos très généraux sur le rôle des lobbies homosexuels dans les milieux de pouvoir… [dans] un entretien de Christian Vanneste durant la campagne des élections présidentielles…
"Le Tribunal Correctionnel de Paris, reconnaissant, dans un jugement en date du 3 avril 2014… que les propos incriminés, dénués de toute véritable portée, n'apparaissent pas de nature à inciter… à la haine, à la violence ou à la discrimination envers les homosexuels [a] "relaxé [Thierry Boutet] en première instance…
Sur appel du procureur, l'affaire sera examinée devant la 7ème chambre de la Cour d'Appel de Paris.
Thierry Boutet pense que le Garde des Sceaux et certains lobbies veulent "obtenir une condamnation pour faire jurisprudence et pour pouvoir ensuite s'en prendre à ceux qui ne pensent pas comme eux. C'est l’opinion que l'on veut mettre au pas, c'est la presse libre que l'on veut intimider et museler.
"Si nous perdons ce procès, qui osera publier le moindre article libre et critique sur le sujet ?
"Nous devons le gagner afin que la liberté de penser et de s'exprimer soit protégée par la justice".
L'arrêt Vanneste de la Cour de cassation du 12 novembre 2008 www.libertepolitique.com a mis fin aux procédures intentées par les militants de la cause gay contre la liberté d'expression sur la question de la propagande homosexuelle en faveur de l'homosexualité.
L'arrêt de la Cour de cassation a reconnu que "l'opinion exprimée par le député Christian Vanneste selon laquelle "il existe un modèle social qui est celui du mariage hétérosexuel et de l'éducation des enfants" et selon laquelle, face à ce modèle social, [la propagande homosexuelle en faveur de] l'homosexualité est "une menace pour la survie de l'humanité", constitue l'expression d'une opinion et à ce titre ne dépasse pas les limites admissibles de la liberté d'expression et ne peut, en conséquence, constituer une injure (au sens de la loi sur la presse)"…
L'arrêt de la Cour de cassation a constaté que "les expressions utilisées par Christian Vanneste sont mesurées, exemptes de toute invective et de volonté de blesser, ayant pour seul objet de nourrir un débat quant à la nécessité d'adopter le texte qui sert de base à l'incrimination, qu'ainsi ces propos ne dépassaient pas les limites admissibles de la liberté d’expression…"
Selon l'analyse de la Fondation de Service politique, "le piège politique fonctionne [quand] les lobbies gays trompent les homosexuels en leur faisant croire qu'ils seront… respectés lorsque leurs luttes obtiendront la reconnaissance… des comportements homosexuels à l'égal des comportements hétérosexuels…
Le piège politique, c'est aussi "l'utopie que l'on veut enseigner dans les écoles [pour soi-disant] libérer les tendances homosexuelles refoulées…
Le piège politique, c'est "conférer une identité à un individu sur la base de son comportement sexuel, c'est à coup sûr l'aliéner… Pour [le] respecter, il n'est pas nécessaire de qualifier son comportement sexuel…
"La réduction d'un individu à ses actes entraîne une conséquence redoutable : juger un acte devient juger la personne… et par conséquent la rejeter si cet acte est jugé négativement…
"L'adolescence est fréquemment l'occasion d'expériences de toute nature, y compris homosexuelles, souvent passagères, voire réduites au stade préliminaire, expériences qui témoignent d'une ambivalence… À cause de la confusion entre l'acte et l'identité, des jeunes qui ont eu une relation homosexuelle occasionnelle en viennent de ce seul fait à se [croire] défini comme homosexuels et ils sont contraints [par la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT] de s'enfermer dans ce qui leur est imposé comme une identité.
Après cela, les idéologues du lobby LGBT veulent faire croire que certains de ces jeunes, qui se sont vu imposer, par la propagande homosexuelle du lobby LGBT, la confusion entre une relation homosexuelle occasionnelle et une soi-disant identité homosexuelle, se seraient suicidés du fait du harcèlement à l'école ou à la maison et du fait de soi-disant discrimination résultant de cette fausse identité homosexuelle usurpée.
C'est pourquoi, en menant un combat de manière irresponsable sur le plan politique, la propagande homosexuelle dans les médias gay fait des ravages psychologiques, ou même parfois psychiatriques, auprès de certains jeunes, dont la personnalité est souvent instable et fragile.
"Imaginer que l'on va enseigner le respect de l'autre en jetant un voile sur la structure profonde de la personnalité, en confondant identité et comportement sexuel à un âge où la personnalité est mouvante, relève de la plus pure utopie et d'un grave déni de la réalité…
"La lutte officielle contre l'homophobie, parmi les dix priorités du ministère de l'Éducation nationale, prévoit la promotion de la Ligne Azur… un "forum d’entraide et de soutien sur les questions d'orientation et d'identité sexuelles". La brochure Homophobie, éditée par Sida-Info-Service, [veut et croit pouvoir] aider les jeunes à [soi-disant] "s'identifier" sexuellement… Il faut entendre les difficultés que les adolescent(e)s ont à se repérer et à se construire, car il y a souvent un manque d'identification à des images valorisantes. Pourtant, des gays et lesbiennes sont reconnus [comme] Bertrand Delanoë, Elton John, Amélie Mauresmo…
"L'objet de l'association Contact, agréée Par arrêté du ministre de l'Éducation nationale, en date du 3 juillet 2008 (paru au B.O du 10 juillet 2008), est le dialogue entre les parents, les gays et lesbiennes, leurs familles et amis. Financés par le ministère de la Santé et le ministère de la Jeunesse et des Sports, ses membres sont des parents d'enfants [soi-disant] homosexuels ou des [militant(e)s] "homosexuel-l-es" qui affirment que "l'homosexualité est une composante de l'identité"…
La mystification politique de l'idéologie des "ABCD de l'égalité" est détectée par la Circulaire n°2008-042 du 4-4-2008 : "l'école doit offrir à tous les enfants des chances égales et une intégration réussie dans la société.
"Sa mission est aussi de promouvoir l'égalité entre les hommes et les femmes, de permettre une prise de conscience des discriminations, de faire disparaître les préjugés, de changer les mentalités et les pratiques"… [sexuelles].
Thierry-Ferjeux MICHAUD-NERARD, 27 février 2015
N.B. "La Fondation de Service politique est un centre d'étude politique créé en 1992. Indépendant de tout parti politique, son but est de promouvoir dans la vie publique une pensée politique cohérente avec l'enseignement social de l'Église. Elle publie depuis 1996 la revue d'idées trimestrielle Liberté politique".
Andrea, a Geneve, on n’enseigne plus l’histoire de la Suisse, une consequence de la lubie du Grand Geneve ?
Alors pourquoi la zoophilie ne serait-elle pas aussi “considérée comme “une orientation naturelle de la sexualité” ?
Dans le même esprit, on pourrait immaginer de lutter contre la discrimination des suisses en demandant que l’hymne national et les cours de civisme deviennent obligatoires dans toutes les écoles, de l’école primaire à l’Université.