Deux prostituées ont vécu l'enfer en septembre 2012, entre 4h et 6h du matin à Delémont. Une fois leurs méfaits commis, les deux bourreaux s'emparent de l'argent, des téléphones et d'un ordinateur avant de disparaître dans la nature. Le calvaire des victimes prend fin deux heures plus tard grâce à l'intervention de la police et d'un serrurier.
Mais des prélèvements ADN dans la bouche d'une des femmes permettent d'identifier un des bandits: il s'agit d'un requérant d'asile algérien de 25 ans basé en Autriche. Cet adepte du brigandage est déjà connu des justices soleuroise et autrichienne. Quant à son complice et compatriote, bien qu'identifié, il est introuvable.
La Banque http://www.24heures.ch/vaud-regions/riviera-chablais/frappe-coups-bouteille-gare-aigle/story/29964709
Frappé à coups de bouteille en gare d’Aigle
Clément Rapaz a été agressé par trois hommes en gare d’Aigle. Témoignage.
Douze points de suture sur le crâne. Le bilan est presque léger compte tenu de la violence de l’agression dont Clément Rapaz, 19 ans, a été victime le 15 février en gare d’Aigle, au petit matin.
Le Bellerin, qui effectue actuellement un stage en œnologie dans la région de Saint-Gall, rentre en train du Carnaval de Monthey, où il a passé la soirée avec quelques copains. Il attend sa correspondance pour Bex, qui doit arriver une demi-heure plus tard. Il décide de s’acheter un snack dans un distributeur automatique.
Un homme arrive alors derrière lui et le ceinture. Clément se dégage et se retrouve nez à nez avec deux hommes. «Deux Noirs. L’un s’est contenté de regarder. L’autre, qui m’avait attaqué, s’est excusé: il m’a dit qu’il était soûl et qu’il pensait que j’essayais de voler dans le distributeur.»
Le jeune homme tente de s’éloigner mais un troisième larron arrive et lui assène un coup de bouteille sur le crâne. Il le force à avancer jusqu’au passage sous voies. Clément reçoit là deux nouveaux coups de bouteille, puis des coups de pied au dos et au thorax.
C’est l’arrivée d’une Aiglonne qui met fin à l’agression. «Je suis arrivée vers eux en leur demandant s’ils avaient besoin d’aide pour tabasser ce jeune homme. Ils ont détalé», se souvient Cathy Bertholet. Cette dernière se défend d’avoir agi avec courage: «Quand j’ai vu Clément allongé, j’ai vu mon propre fils de 23 ans. Je suis intervenue, c’est normal.»
Clément Rapaz reconnaît qu’il avait bu quelques verres au carnaval, «mais je n’ai rien fait pour provoquer. Je ne les ai même pas vus arriver. Ils ne m’ont rien volé du tout, ni argent ni téléphone. Ils n’avaient qu’une envie: taper.»
Une plainte a été déposée et une enquête est en cours, confirme la police cantonale. Municipal de Police à Aigle, Frédéric Pernet se dit surpris de cette violente agression: «En dehors de ce cas, la situation s’est bien calmée à la gare. La présence des agents, des parrains et marraines et des caméras de surveillance semble bien fonctionner.» (24 heures)
(Créé: 24.02.2015, 17h29)
Elles devraient être reconnaissantes de ne pas s’être fait égorger. C’est un traitement royal par les amis des socialopes.
Ah Simonetta, si elle retrouvait la raison en 2015 et qu’elle change son fusil d’épaule et arrive à comprendre que l’immigration, ce n’est pas un enrichissement, mais une déperdition pour la Suisse. Les tunisiens, face à l’arrivée massif de requérants égyptiens n’acceptent l’entrée qu’avec l’assurance que le pays d’origine les récupère.
Il faut utiliser des méthodes …radicales contre ce genre d’individus !
“Menacées avec un couteau, battues, humiliées, contraintes à se livrer à des actes sexuels, ligotées et enfermées dans un salon de massage… ”
Où sont les bien-pensants lorsque de telles saloperies se passent à cause de leur idéologie “d’ouverture”?