Il faut déchoir Plenel de la nationalité française !

Quand on vit à l’étranger, l’image que l’on perçoit de la France est saisissante. Je me réfère à tout ce que je vois, entends ou lis sur la toile et je ne peux plus rester impassible. J’en tombe malade. Que dire ? Je pense jour et nuit à ce pays où j’ai vu le jour en 1952, pays de mon identité, ma patrie de filiation étant la Bretagne. La France est en proie à une tourmente, comme celles qui martyrisent les côtes finistériennes quand le noroit se met en colère. Jean-Marie Le Pen est un vrai Breton, Edwy Plenel se prétend Breton par snobisme, mais il n’en est rien.

A Brest, dans ma jeunesse, j’ignorais ce qu’était l’islam, j’ignorais qu’il y avait plusieurs religions (j’ai découvert au fil du temps qu’en fait il n’existe qu’une seule religion monothéiste en trois étapes). Mes copines m’enviaient car je n’allais ni au catéchisme, ni à la « confesse » ni à l’église, et moi je les enviais car le dimanche matin je voyais les chrétiens à la sortie de la messe faire la queue devant la pâtisserie du quartier pour acheter des gâteaux à la crème. Comme consolation je goutais avec délice les crêpes dégoulinantes de beurre fondu que ma mère dévouée à son foyer nous servait après le poulet rôti, pommes de terre, salade. La vie s’écoulait doucement comme dans la chanson de Charles Trenet « Douce France, cher pays de mon enfance ». Les seuls étrangers étaient les « sales parigots » devant lesquels on parlait en breton en se moquant d’eux…

Récemment, j’ai appris que dans cette petite ville de Brest, naguère bastion du catholicisme, on a construit une mosquée sur les murs de laquelle les Brestois « Charlies » fanatiques ont, pendant la nuit, accroché des cœurs par solidarité avec leurs « frères » musulmans, après l’épisode de Charlie Hebdo. J’ai reçu un choc. Entre l’islamisation, la féminisation de la société où les hommes émasculés par les féministes tombent en pleurant dans les bras les uns des autres au moindre incident (François Hollande et l’urgentiste Patrick Pelloux…), les histrions, incultes, cuistres qui confondent tout, mélangent tout, fabriquent des mots erronés qui ne veulent rien dire, la France est à feu est à sang.

Alors oui la riposte laïque est bien celle du peuple mais, non laïque ne signifie pas « absence de religion ». Ce mot très ancien de laos (λαός), n’ayant jamais changé de l’antiquité à nos jours est formé à partir de las (λας) qui signifie « pierre ». Dans la mythologie grecque, Pyrrha et son époux Deucalion créèrent les hommes en provoquant sur terre un cataclysme de pierres qui se mutèrent en hommes. Le laos est donc le peuple depuis des milliers d’années. A l’époque, la notion de religion n’existait pas, seul le divin existait. Le peuple grec se dit « ellinikos laos » (ελληνικός λαός). Il n’existe aucun rapport de près ou de loin avec la religion ou son absence. Quant à « laïcité », il n’existe pas du tout, ce n’est que pure invention.

Dans mon enfance j’ai assisté aux grandes manifestations en faveur de l’école laïque, en famille. Je m’en souviens parfaitement. Mon père, bien que n’étant pas enseignant, avait été fait officier des Palmes Académiques pour son dévouement à l’école du peuple, les écoles privées en France étant traditionnellement catholiques et payantes, réservées aux enfants d’une élite nostalgique de la monarchie qui ne se mélangeait pas au petit peuple. Il y avait eu la loi de 1905, elle n’était pas respectée car l’Etat finançait encore l’église catholique. Mon père et ses compagnons de résistance eurent gain de cause. En 1985, à Tours, je voulus mettre mon fils à l’école maternelle du quartier où j’habitais. Quand j’allais le chercher à midi le premier jour, je constatais qu’un élève sur deux était arabe. Je l’enlevai de là, manu militari et le mis à l’école privée (popularisée sans marque ostensible de religion) afin qu’il se trouve avec des Français comme lui. Quand en 1996 nous revînmes d’Italie où nous avions passé trois ans, installés à Nice désormais, je dus l’inscrire au collège public pour sa dernière année de scolarité : trois élèves sur quatre étaient Maghrébins, il y avait un noir qui devint son copain. Il ne passa même pas le brevet, ne fit rien en classe avec mon accord, les professeurs crasseux, vulgaires, étaient entièrement assujettis à la toute puissante religion musulmane, nous attendîmes l’été de ses 16 ans où il commença à travailler. Aujourd’hui, il est Chef de cuisine, marié, père de famille et propriétaire d’un trois pièces.

Son fils n’a que 33 mois, mais quand il ira à l’école, la France sera-t-elle encore la France ? Déjà le ministre de l’Education nationale est une étrangère de moins de quarante ans, sans connaissances ni expérience, née au Maroc de parents musulmans, arrivée en France à l’âge de 11 ans. N’y avait-il pas dans toute la France un homme, Français, ayant de la bouteille, instruit, capable de se charger de l’instruction – non de l’éducation, celle-ci incombant uniquement à la famille – des futurs décideurs de cette France martyrisée ? Ces malades mentaux qui ont pris en otage notre langue, notre pays, qui ont défait l’histoire de notre nation se rengorgent dans leur « laïcité », leur « diversité ». Ils ont été contraints de fabriquer ce mot stupide de « laïcité » quand ils se sont aperçus que l’islamisation galopante remettait en question la fameuse loi de 1905, ils l’ont donc arrangée à leur sauce « religions plurielles ». Non ! C’est faux ! C’est de la poudre de perlimpinpin !

Pour finir, la diversité au sens où ils l’entendent n’existe pas non plus : seule la diversité biologique existe. On n’est pas citoyen en tant que musulman, noir, juif, homosexuel, handicapé etc. On est citoyen d’une cité, non d’un Etat, du reste. L’Etat est un ensemble d’institutions comme l’armée, la justice, la police. On n’est pas citoyen « d’institutions ». La cité est ce qu’en grec on appelle « politeia » (hier et aujourd’hui), de là vient le mot « politique ». Donc, la déclaration des droits de l’homme et du citoyen c’est de la poudre de perlimpinpin aussi ! Mais ceci est une autre histoire… Aujourd’hui, l’islam nous gouverne, l’islam est une race puisqu’il suffit de prononcer le mot « islamiste » pour se faire traiter de raciste. Des types comme Edwy Plenel et bien d’autres ont été endoctrinés car ils ont des esprits faibles, malades mais, nous Français à l’esprit fort et sain, nous ne devons pas laisser dégénérer la situation, car nous allons perdre la France.

Regardez ce clip vidéo et faites-le passer :

Simone Le Baron

Cet article est paru en premier sur Riposte Laïque

4 commentaires

  1. Posté par Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard le

    Pourquoi faut-il déchoir Plenel de la nationalité française ? Ce manipulateur hystérique et dérisoire ne mérite pas qu’on apporte de l’eau à son moulin égocentrique et à sa vanité qui confine à la nullité.

  2. Posté par Ping Pong le

    Le Plenel n’a plus aucun crédit… povre con, casse toi !

  3. Posté par Pierre H. le

    Ce gars là est un parasite et comme tout bon communard qui se respecte, il ne peut pas juste s’occuper de ses affaires mais il faut qu’il contrôle tout le monde, qu’il soit le chef et on doit tous faire comme il dit. Le communisme (socialisme, c’est la même chose) est la maladie mentale des faibles. Etant faibles, ils pensent qu’ils sont entourés de gens forts (les gens normaux, en fait) qui veulent les écraser ou les détruire (ce qui est totalement faux, c’est tout dans leur tête) et que donc, ils doivent contrôler tout le monde pour survivre et ne pas être détruit d’où la construction d’un Etat puissant et totalitaire qui vous écrase et dont il est un des rouages, bien évidemment, et s’il n’y est pas, il y a plein de copains comme lui ou alors est copain avec des gens d’influence dans la presse qui peuvent vous détruire en une ligne dans un journal ou en 3 mots sur un plateau TV. Ils utilisent toutes les armes des faibles. Mensonges, manipulations, chantage, montages de faux dossiers contre vous, etc… D’ailleurs, entre eux, ils se tiennent tous par la barbichette. Leur solidarité n’existe que pour nous détruire ou nous contrôler sinon ils se déchiquetteraient entre eux. Ils ne vous mettront jamais un pain dans la gueule comme tout mec couillu. Ils utiliseront leurs amis de la presse ou l’Etat pour vous régler votre compte. Ils n’aiment pas l’armée car l’armée représente quelque chose de puissant qui n’aime pas la faiblesse, et donc il faut détruire l’armée sinon, pensent-ils, ce sont eux qui seront détruits par elle. Ils sont un peu comme le gars en train de se noyer et qui doit gesticuler continuellement pour maintenir sa tête hors de l’eau. Ils abhorrent tout ce qui est fort ! L’armée, les patriotes, les entrepreneurs, les armes, les sportifs de force, etc. En fait, les vrais forts protègent les faibles et les faibles subsistent grâce aux forts. Mais ces avant-derniers voient dans les forts des personnes qui veulent les détruisent tous. Bienvenue dans la mentalité des gouvernants socialistes et de la presse !

  4. Posté par Sancenay le

    Le laïcisme n’existe pas dites -vous ? Mais voilà bien un cri de désespoir désespérément laïc. On peut comprendre votre sentiment de révolte et le partager sur de nombreux points. Mais vous ne pouvez pas parler de “moindre incident” en ce qui concerne les assassinats, fut-ce celui de personnes qui l’ont très consciemment provoqué et que l’on a insidieusement poussés à provoquer dans le cas exclusif de Charlie-Hebdo.
    Cette violence des mots qui exprime que vous le vouliez ou non un mépris de l’humanité ne peut que rajouter à la violence des armes ou des blasphèmes.
    Mais j’ose espérer pour vous que la” laïcarde” de père en fille que vous revendiquez d’être se trouve en bonne voie de découvrir à présent dans la source de notre civilisation, les éléments justes et apaisants propres à vous aider à la défendre, fut-ce au recours de la force guidée, par la justice et à la reconstruire.

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