Par Alexandre Del Valle (géopolitologue renommé. Ancien éditorialiste à France Soir, il enseigne les relations internationales à l'Université de Metz et est chercheur associé à l'Institut Choiseul. Il a publié plusieurs livres sur la faiblesse des démocraties, les Balkans, la Turquie et le terrorisme islamique. Il est notamment auteur des livres Pourquoi on tue des chrétiens dans le monde aujourd'hui ? : La nouvelle christianophobie (éditions Maxima), Le dilemme turc : Ou les vrais enjeux de la candidature d'Ankara (Editions des Syrtes) et Le complexe occidental, petit traité de déculpabilisation (Editions du Toucan).
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D’où vient l’exception islamique en matière de critique ?
Alors que nulle autre religion n’est protégée de la critique dans nos sociétés sécularisées, la rédaction de Charlie, se demandait à juste titre, juste avant les attentats, après avoir été accusée d’islamophobie : "au nom de quoi la religion musulmane devrait, elle, être épargnée" ?
La rédaction de Charlie, se demandait à juste titre, juste avant les attentats, après avoir été accusée d’islamophobie : "au nom de quoi la religion musulmane devrait, elle, être épargnée" ?
N.B. Quand l’accusation d’homophobie n’est que le “faux-nez de l’offensive des organisations LGBT”, US et internationales, pour introduire la “propagande homosexuelle” dans les écoles des États occidentaux, avec le “prosélytisme auprès des jeunes”, pour satisfaire les instincts avides des vieux pervers bobos.
Réponse “Bête et méchante” (comme l’ancêtre de Charlie Hebdo) L’exception leur permet de revendiquer toujours plus jusqu’au crime. C’est ce qu’on appellait au Québec “Les accomodements raisonables” qui dès le départ étaient déraisonables.