Face à la recrudescence des actes terroristes, le recteur de l'une des plus importantes mosquées de France, a déclaré, le 22 décembre dernier :
"Il faut miser sur l'éducation".
"Education", et non : "Instruction".
En effet, si l'instruction est du ressort de l'école, l'éducation est l'apanage de la sphère familiale. Des parents, en particulier.
Combien de parents éduquent leurs enfants, dans le "droit-chemin", à l'heure actuelle ?
"Il faut miser sur l'éducation".
Voilà qui est bien-dit.
Non par la voix d'un prêtre, d'un pasteur, d'un rabbin, mais par la voix d'un recteur de mosquée :
Quelle sera l'attitude d'un adulte, lorsque, durant son enfance, il aura vécu :
- Les violences corporelles et mentales, infligées à sa mère par un père respectant des préceptes désuets ?
- L'effacement physique de sa mère, sous un amas de tissus, la couvrant de la tête aux pieds ?
- l'effacement virtuel de sa mère, confinée aux basses besognes ?
- le père violant une fillette âgée de 10 ans, en tant qu'épouse supplémentaire ?
- Les cris de cette fillette terrorisée ?
- Le père pratiquant le mariage provisoire ?
- Le père réduisant autrui, en quasi-esclavage ?
- La mise au rebut de la condition féminine ?
- Le père fainéantant à longueur-de-journée ?
- Le père entretenant sa famille, à l'aide d'allocations sociales, tout en jonglant entre diverses identités différentes ?
- L'attitude de l'entourage, appelant à la haine des juifs et des chrétiens ?
- Le même entourage, volant, mentant, tuant, de manière pseudo-licite, selon "les commandements divins" ?
- Le saignage-à-vif, répété, festif, d'animaux sans défense ?
- L'apprentissage de l'égorgement du mouton, par l'intermédiaire d'une "peluche" ?
- Les programmes télévisés prônant l'apologie de la crucifixion, la lapidation, la torture, l'amputation, la mise-à-mort des apostats, la guerre -fut-elle-sainte- ?
- La nourriture basée sur des interdits et des obligations ?
- Le fouet, au motif qu'il ne prie pas suffisamment ?
- La boisson d'urine de chameau, afin de soigner le rhume de cerveau ?
- L'interdiction de boire, de manger, de vivre, en journée, durant un mois, chaque année... Mais de se livrer "à la java", pendant la nuit ?
- Le versement d'une rente, par le voisin-mécréant ?...
Dans le même registre, quelle sera l'attitude d'un adulte, lorsque, durant son enfance, il aura vécu :
- La violence, la pornographie, par le biais de "jeux"-vidéos, ou, par l'exemple de ses ainés ?
- L'unique valeur de ses parents, se nommant : "fric", "pognon", "consommation-à-outrance" ?
- L'asservissement d'autrui, au nom de cette unique valeur : "fric" ?
En revanche, quelle sera l'attitude d'un adulte, formé, durant son enfance :
- Dans l'amour, la paix, la tolérance ?
- Dans la pratique des quatre vertus cardinales, chères à Platon, Socrate, Aristote : la justice, la prudence, la tempérance, le courage ?...Bref, les fondements de la civilisation occidentale.
Convenablement éduqués, "les-donneurs-de-leçons-politiquement-corrects" nommeront : "Un chat, un chat". "Un terroriste, un terroriste, et non "un déséquilibré", "un-c'est-pas-d'-sa-faute", "un-sans-repère".
Ils cesseront de mentir, afin d'éviter la stigmatisation, les amalgames-douteux.
Ils cesseront de mentir, en niant tout lien entre les attentats-terroristes. Le lien s'inscrivant en : "idéologie mortifère".
Ils cesseront de mentir, à l'instar du "père-du-mensonge".
Ils cesseront de mentir leurs mensonges !
Alors, oui, Monsieur le Recteur de la Grande-Mosquée, vous avez raison :
"Il faut miser sur l'éducation".
Jan Appelghem, 26 décembre 2014
Il y a encore du boulot à ce que je vois.
http://www.leprogres.fr/loire/2015/08/06/vous-osez-dire-a-votre-pere-qu-il-est-un-mauvais-musulman-et-que-vous-allez-l-egorger
Mais où ce fils a-t-il pu apprendre qu’il fallait égorger un mauvais musulman, fût-il son père?
@Anne Lauwaert : “Si on libérait les jeunes des … frustrations sexuelles”
Très juste ! Mais que proposez-vous comme méthode ? Que chaque Aziza fasse son quota mensuel attesté dans un “permis à points” ? 🙂
Mais c’est pas tout!
Si on libérait les jeunes des complexes et des frustrations sexuelles, ils ne devraient pas aller en Syrie faire le jiad du sexe.
Si à l’école on permettait aux jeunes de se battre pour être premier en math ou en dessin ou en gym ils n’auraient pas besoin d’aller en Syrie pour se valoriser.
Si on encourageait les jeunes à se passionner pour le patinage artistique ou le violon, ou le bel canto, ils ne devraient pas aller en Syrie pour tuer l’ennui en tuant d’autres gens.
On pourrait même expliquer à tout le monde que la religion est encore toujours l’opium du peuple et qu’il vaut mieux cultiver des patates que de l’opium car les patates ça vous remplit l’estomac tandis que l’opium ça vous vide le cerveau.