L'homophobie de la haine et les activistes du lobby LGBT à l'école
Le documentaire partisan de Guéret et Besson, Homos, la haine, a été diffusé sur France Télévisions.
Le Yagg titre : Neuf voix contre l'homophobie dans le documentaire "Homos, la haine". On lit : "Bien entendu, le contexte de 2013 avec son lot de manifestations contre l'ouverture du mariage aux couples de même sexe n'est pas épargné par le documentaire" homosexuel partisan… qualifiant sans hésiter de "harcèlement moral" cette homophobie omniprésente et décomplexée, alimentée par l'omniprésence de la "Manif pour tous" dans le débat public. "Homos, la haine" apparaît comme une véritable photographie du problème de l'homophobie en France à l'heure actuelle, de sa violence la plus extrême à la plus insidieuse, un mal qui n’épargne aucune classe sociale et qui impacte finalement la société dans son ensemble".
Vous reprendrez-bien un peu de désinformation ? Lisez encore le Yagg et vous serez comblés.
Yagg-à-demander ! D'abord le titre provocateur : "États-Unis : Un enfant de 12 ans se suicide "après" des insultes homophobes !" Le Yagg veut faire croire au lecteur pressé que "après" signifierait "à cause" :
"À 12 ans, Ronin Shimizu s'est donné la mort… D'après sa famille… c'est le harcèlement homophobe dont il a été la victime plusieurs mois qui l'a poussé à se suicider… D'après des camarades, des élèves l'ont insulté avec des injures homophobes. Malgré les plaintes de ses parents auprès de l'établissement scolaire, la situation a empiré et Ronin a alors dû quitter cette école et a poursuivi sa scolarité à domicile".
À ce que l'on comprend, le jeune vivait dans sa famille et il n'était plus scolarisé quand le suicide est intervenu. C'est pourquoi : "Les responsables de l'établissement soulignent que la police n'a pour l'instant établi aucun lien de causalité entre la mort du jeune garçon et le harcèlement dont il fut la victime".
Post hoc, ergo propter hoc est une locution latine qui signifie "à la suite de", donc "à cause de".
C'est ce qui permet de croire à une cause qui n'est en réalité qu'un événement précédent ! C'est "ce qui permet à la famille de croire qu'elle n'aurait joué aucun rôle" dans le suicide du jeune. C'est ce qui permet aussi au Yagg de renouveler en ligne le fonds de commerce de sa propagande homosexuelle, c'est-à-dire sa "guerre déclarée contre l'homophobie". La logique faussée du Yagg est fondée sur le sophisme qui lui permet de prétendre abusivement que si le suicide du jeune "suit à distance des injures homophobes à l'école" qu'il ne fréquente plus, alors "le harcèlement homophobe doit être la cause du suicide", même si la police n'a établi aucun lien de causalité entre la mort du jeune garçon et le harcèlement dont il fut la victime".
"What are LGBT fighting for ?" C'est sûrement la vraie question qu'il faut se poser à l'occasion de la nouvelle "guerre déclarée contre l'homophobie", c'est-à-dire contre ceux qui ne pensent pas selon la logique pernicieuse de la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT.
L'homophobie de la haine des activistes et des idéologues du lobby LGBT se cache derrière la haine médiatiquement auto-proclamée de l'homophobie ! Ainsi, on constate que la soi-disant haine de l'homophobie n'est plus en réalité que "l'homophobie de la haine", c'est-à-dire la haine de la vie des familles hétérosexuelles normales, dans un pays que l'on croirait soi-disant civilisé !
La guerre des activistes du lobby LGBT contre l'éducation de la famille traditionnelle est une autre forme du "suicide français". Si les activistes du lobby LGBT veulent la guerre contre la laïcité à l'école, ils veulent aussi et surtout la destruction de la famille traditionnelle, c'est-à-dire de la "famille hétérosexuelle normale". Si un activiste homosexuel du lobby LGBT, qui manipule la santé mentale des élèves avec l'idéologie des "ABCD de l'égalité" et la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT à l'école, est un pervers, comment appeler la ministre féministe JBKC de l'éducation nationale socialiste pro LGBT qui donne l'ordre et la permission, autrement que comme son "chef" ?
C'est là le rôle assumé en toute connaissance de cause par la ministre féministe JBKC.
Personne ne pouvait penser que le droit au respect légitime des homosexuels en tant que tels provoquerait une telle réplique impérialiste et tyrannique de la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT à l'école. L'idéologie des "ABCD de l'égalité" est l'occasion de conduire la "guerre déclarée" sabre au clair, contre les familles et les parents d'élèves. Il faut toute l'ignorance brutale, l'impuissance et l'amateurisme de la ministre féministe JBKC, pour justifier l'intervention des activistes pervers qui ont sali la laïcité à l'école et révélé combien la démocratie de la république socialiste a été aliénée par les idéologues du lobby LGBT.
C'est pourquoi les idéologues activistes du lobby LGBT dégradent la cause pour laquelle ils seraient censés lutter, si on veut ignorer leur motivation profonde : la "destruction socialiste de la famille hétérosexuelle normale", c'est-à-dire par le dogme de "l'homophobie de la haine" contre la laïcité républicaine.
Avec l'idéologie des "ABCD de l'égalité" à l'école, c'est encore et toujours la "fabrique du faux". Ainsi, le Gender tombe dans un vacuum théorique absolu, tel que seul le manque d'habileté des commentateurs et des soi-disant critiques pourrait, dans un faux débat à la télé-bavardage, donner une forme trompeuse et un nom, avec un "faux-nez", et attribuer des qualités au Gender ou des principes qui n'existent pas, pour faire parler les gogos minables sans cervelle du "suivisme de la mode" des bobos de la gauche caviar.
C'est le règne des charlatans du Gender qui mystifient les journaleux, dans les magazines et dans les médias. Ces idéologues charlatans et activistes du Gender sont les alliés objectifs de la mondialisation pour la destruction de la civilisation occidentale chrétienne, soutenus par le pouvoir occulte des compagnons de cette "puissance sectaire et mystérieuse" qui manipule le gouvernement de la république socialiste.
C'est pourquoi les familles et les parents d'élèves sont de plus en plus méprisés et insultés par les activistes du Gender, les "ABCD de l'égalité" à l'école et les agents de l'éducation nationale socialiste.
Malgré cela, les familles et les parents d'élèves exigent de procéder à un réexamen du dispositif des "ABCD de l'égalité" à l'école, afin de déterminer si les contributions des activistes du Gender à l'école, et les mesures prises contre les pervers, suffisent à remplir le respect de la laïcité à l'école et l'obligation de légitime défense des élèves les plus fragiles, devant la propagande homosexuelle collective du lobby LGBT à l'école et de préciser les mesures requises pour remédier à toute déficience de l'école face aux pervers sexuels.
Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard, 16.12.2014
Et vous, qu'en pensez vous ?