Dans un village genevois, les livres chrétiens ne sont pas les bienvenus au marché de Noël, comme le dévoile le journal de l’UDF Impulsion.
Parmi les différents stands, proposant nourriture, boissons, souvenirs et autres objets divers, l’un d’entre eux voulait – entre autres – vendre des livres chrétiens.
Cela n’allait pas du goût des responsables qui s’y sont opposés catégoriquement. Ainsi, ce genre de livres ne peut pas être présent au marché… de Noël.
Devra-t-on le rebaptiser bientôt « marché d’hiver »? Une telle proposition pourrait venir de nos opposants, désirant enlever tout rapport au christianisme de l’événement, mais aussi des croyants eux-mêmes, ne se sentant plus représentés aucunement par la manifestation.
Un tel état de fait constitue, selon nous, une atteinte à la liberté d’expression, qui plus est à l’encontre des valeurs historiques du Canton de Genève.
Une honte ! Et aussi les crèches interdites une honte…
Bonjour Alors si cela s’avère vrai, faites de la résistance: portez votre culture dans ce marché: pourquoi d’ailleurs ne pas le citer ce “village genevois”? on aurait peur de représailles? Soyons précis et arrêtons comme m. Aldo de chercher des boucs émissaires en se dévoilant xénéphobe. C’est détourner le problème qui est l’effacement d’une culture ou le complexe de ses racines.
Genève, c’est la France. Il y a longtemps que cette ville ne m’intéresse plus.
Soyez sur vos gardes….
Les conquérants ne sont plus ceux de José-Maria de Heredia…
Informez M.Pierre Maudet ou ses collègues …il y va de la survie de nos racines et coutumes chrétiennes.
Vous serez moins surpris en apprenant que les places sont squattées par des Français et à l’instigation de qui, je vous le demande? Comme pour le reste, les Suisses seraient incapables, mais les filières maçonniques qui tripotent ce marché devraient nous donner la solution à ces multiples interrogations.
La seule réponse c’est le boycott de Ce marché de noël… ses responsables sont des irresponsables!
Quand on a commencé à censurer des ouvrages historiques portant sur des sujets controversés, tout le monde a tourné la tête. Maintenant, presque tout le monde est visé par une censure rampante et insidieuse qui vise à détruire l’esprit critique et le débat d’idée, avec en prime l’obligation d’applaudir les rois de la pleurniche qui nous l’impose les doigts dans le nez et la main au porte-monnaie ! Et, comme en Corée du Nord, le premier qui arrête d’applaudir, c’est le traitre !